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Actualité

Alain Berset s'exprime sur son vol privé en France

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Seul le Département fédéral de l'intérieur s'était exprimé sur le vol privé du conseiller fédéral au moment des faits (image prétexte). (© KEYSTONE/TI-PRESS/PABLO GIANINAZZI)

Le conseiller fédéral Alain Berset est revenu sur son silence après que la police aérienne française l'a contrôlé lors d'un vol privé le mois dernier. "Il ne m'a pas semblé nécessaire de faire des commentaires", a-t-il indiqué samedi.

"J'ai mon travail à accomplir, avec notamment deux votations populaires importantes en septembre", a-t-il commenté dans les journaux du groupe ESH, ainsi que dans La Liberté.

Le vol privé du ministre de la santé, qui possède une licence de pilote depuis 2009, a fait couler beaucoup d'encre ces dernières semaines, certains l'appelant à démissionner. Le Fribourgeois reste toutefois serein quant aux éventuelles conséquences sur son avenir au Conseil fédéral à l'approche des élections fédérales en 2023.

"Qu'il y ait beaucoup d'agitation, à différents niveaux d'ailleurs, n'est pas nouveau", a-t-il déclaré avant d'ajouter: "Pour ma part, je vais continuer, avec toute la sérénité requise et toute la force nécessaire, à faire avancer mes projets, sans me laisser détourner par d'autres questions".

Vives réactions

Mi-juillet, le Département fédéral de l'intérieur (DFI) annonçait que le ministre de la santé avait été forcé d'atterrir par la police aérienne française le 5 juillet après avoir brièvement survolé une zone réglementée. Après un contrôle d'identité au sol et un échange sur les faits, le socialiste avait pu reprendre son vol à bord de l'avion qu'il avait loué.

Quelques jours plus tard, des messages radio diffusés par le journal alémanique SonntagsZeitung montraient que l'intervention avait été déclenchée en raison d'une mauvaise communication de la police aérienne française avec M. Berset. Aucune poursuite n'a été engagée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Culture

15 portraits de bénévoles pour fêter les 160 de la Croix-Rouge genevoise

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La Croix-Rouge genevoise fête ses 160 ans. Une exposition photo met en avant ses bénévoles, pour l’occasion. Elle est à découvrir, Parc des Bastions, du 2 au 26 mai. 

160 ans ça se fête! La Croix-Rouge organise du 2 au 26 mai, une exposition photo pour rendre hommage à ses bénévoles.  C’est Bertrand Carlier, lui-même bénévole, qui en est le photographe. 15 portraits pour remercier les plus de 1400 personnes, indispensables au fonctionnement de l’ONG… dont de nombreux jeunes… 

Stéphanie Lambert, directrice générale de la Croix-Rouge genevoise.

 

« Sur les 1400 bénévoles, il y en a plus de 400 qui sont des bénévoles de la Croix-Rouge jeunesse avec des actions comme le soutien scolaire, les visites pour les personnes âgées en ENS. Donc des jeunes qui s’organisent eux-mêmes pour aider des personnes qu’ils ne connaissent pas, c’est là où l’on retrouve ce sentiment d’humanité le plus pur. »

L’exposition photo est aussi l’occasion de mettre en lumière les nombreuses aides proposées par la Croix Rouge. Dont un nouveau service de transport pour les personnes démunies ou isolées.

Éric Mégevand, le président de la Croix-Rouge genevoise.

« Le bénévolat c’est aussi l’accès à certains soins que les gens ne peuvent pas se permettre, parce que les gens n’ont pas les moyens. Ils sont un peu trop riches pour bénéficier de l’aide social, mais pas assez pour aller chez le dentiste. Alors nous avons des dentistes bénévoles qui se déplacent dans des locaux de la Croix-Rouge parfaitement équiper de la dernière technologie. »

L'exposition Genève fête sa Croix-Rouge est à découvrir aux Bastions du 2 au 26 mai. Toutes les informations sur cette exposition, sont à retrouver sur le site de la Croix-Rouge genevoise

 

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Suisse

La discrimination souvent en forme de violence psychique ou verbale

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Dans l'enquête "Discrimination et racisme en Suisse en 2023", 6% des répondants font état de violence physique (image symbolique). (© KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI)

La violence, psychique ou verbale, est la forme la plus répandue de discrimination en Suisse. L'an dernier, près de quatre victimes sur dix rapportent avoir subi une exclusion, une absence de considération ou des moqueries, selon une enquête de l'OFS.

Plus d'une victime sur trois (36%) évoque une expérience de violence verbale, de menaces, de mobbing ou de rétention d'informations, selon les résultats publiés vendredi de l'enquête "Discrimination et racisme en Suisse en 2023". Par ailleurs, 6% des répondants font état de violence physique.

L'an dernier, les informations sur les diverses formes de discrimination ont été recensées pour la première fois, précise l'Office fédéral de la statistique. L'enquête informe en outre sur les réactions des victimes à l'incident et sur ses conséquences.

Deux victimes sur trois (64%) déclarent avoir réagi à un indice de discrimination. Elles cherchent d'abord l'aide des proches (44%) et une minorité recourt aux canaux institutionnels tels que le signalement (7%) ou l'action en justice (5%).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

43 ans après, Genève redevient la capitale romande de la gymnastique

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Genève sera la capitale de la gymnastique romande pour les trois prochains weekends. Après 43 ans d'attente, le bout du lac accueille à nouveau la fête romande de gymnastique à partir du 4 mai.

Plus de 7 000 gymnastes ont rendez-vous à Genève pour les trois prochains weekends. La fête romande de gymnastique fait son grand retour dans le canton. Avec pour certains, le championnat suisse en ligne de mire. Au programme: gymnastique artistique, rythmique, acrobatique, ou trampoline.  Et une nouveauté cette année: un weekend sera réservé aux enfants. Martine Jacot, présidente technique de l’union romande de gymnastique.

« On s’est dit que l’avenir repose sur les jeunes. Il faut leur donner le goût du rassemblement, le goût de la fête. » 

En plus d’être une opportunité pour les athlètes, l’évènement est aussi une belle vitrine sportive pour Genève. Marie Barbey-Chappuis, conseillère administrative chargée de la sécurité et des sports de la ville de Genève.

« C’est plus de 7000 gymnastes qui vont venir à Genève alors c’est aussi des retombées économiques et touristiques qui sont importantes pour notre ville. »

Les compétitions débutent ce week-end aux centres sportifs du Bois-des-Frères, du Bout-du-Monde et de la Queue-d’Avre. Pour plus d’information : https://frg24.ch/

 

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Suisse

Lausanne et région: qualité "exemplaire" de l'eau potable en 2023

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L'eau distribuée dans la région lausannoise montre "une qualité exemplaire", selon la Ville de Lausanne (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Service de l'eau de la Ville de Lausanne annonce vendredi que l'eau distribuée en 2023 a maintenu "un niveau de qualité exemplaire". Sur les 3958 échantillons prélevés avant traitement et les 2869 échantillons d'eau potable analysés, seules 12 non-conformités mineures ont été détectées, lesquelles n'ont présenté aucun risque pour la santé publique.

Dans son communiqué, la Ville de Lausanne souligne que le laboratoire du Service de l'eau "poursuit le développement de nombreuses méthodes, en particulier dans le domaine des micropolluants." Dans ce domaine, "100% des analyses de l'eau distribuée sont conformes", relève-t-elle.

Le Service de l'eau de la Ville de Lausanne est responsable de la distribution d'eau potable de 20 communes de la région lausannoise. Il compte quatre stations de traitement, plus de 80 captages en service, 20 réservoirs et plus de 900 kilomètres de conduites.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

L'occupation de l'UNIL se poursuit dans le calme

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Démarrée jeudi soir, l'occupation du bâtiment Géopolis de l'UNIL se poursuit vendredi dans le calme. (© KEYSTONE/NOEMI CINELLI)

Une dizaine d'étudiants pro-palestiniens ont passé la nuit de jeudi à vendredi dans un bâtiment de l'Université de Lausanne (UNIL). L'occupation, démarrée la veille au soir, continue de se dérouler pacifiquement.

"Tout est calme", a indiqué vendredi matin la porte-parole de l'UNIL, Géraldine Falbriard, contactée par Keystone-ATS. Elle a répété que l'UNIL se positionnerait "dans les prochains jours" au sujet des revendications des étudiants, qui étaient une cinquantaine jeudi soir à investir le bâtiment Géopolis.

Ces étudiants réclament notamment "un boycott académique des institutions israéliennes ainsi qu'un cessez-le-feu immédiat sur les territoires palestiniens." Ils se sont engagés à mener leur action de manière pacifique, sans perturber les cours et les activités de recherche. De son côté, l'UNIL a promis de ne pas prendre de sanction académique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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