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Actualité

Les mesures préconisées par Lausanne pour endiguer le deal de rue sont-elles cosmétiques?

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Par Olivier Francey

Les mesures préconisées par Lausanne pour endiguer le deal de rue sont-elles cosmétiques? - La loi sur les jeux d’argent (LJAr) est-elle une mauvaise loi? - Projet Praille-Acacias-Vernets: certains affirment qu’on construit trop de logements sociaux, certains renchérissent: «on construit trop, tout court» Vraiment?

Nos invités:

Caroline Marti, députée socialiste (GE)

Vincent Maitre, député démocrate-chrétien (GE)

Jérôme Cachin, journaliste à La Liberté, correspondant vaudois du quotidien

Le Club Radio Lac - Les mesures préconisées par Lausanne pour endiguer le deal de rue sont-elles cosmétiques?
Le Club Radio Lac - La loi sur les jeux d’argent (LJAr) est-elle une mauvaise loi?
Le Club Radio Lac - Projet Praille-Acacias-Vernets: certains affirment qu’on construit trop de logements sociaux, certains renchérissent: «on construit trop, tout court» Vraiment?

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Politique

Les Suisses voteront sur la LPP et la biodiversité en septembre

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Pour la gauche et les syndicats, la réforme de la LPP se fait une nouvelle fois au détriment des femmes (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le peuple votera sur deux objets le 22 septembre prochain. La réforme de la prévoyance professionnelle et l'initiative biodiversité sont au menu.

Le référendum contre la réforme du 2e pilier, lancé fin mars 2023 par la gauche et les syndicats, a récolté plus de 141'000 signatures, soit près de trois fois plus que nécessaires.

La réforme prévoit un abaissement du taux de conversion, de 6,8% à 6%, devenu nécessaire en raison de l'augmentation de l'espérance de vie. Le capital constitué par un rentier durant son activité professionnelle aboutira donc à une rente plus petite. Pour les référendaires, les femmes seront à nouveau pénalisées.

Les Suisses se prononceront également sur l'initiative biodiversité. Le texte exige une meilleure protection de la biodiversité et davantage de surfaces et de fonds publics en faveur de la biodiversité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Prévoir une dérogation pour exporter du matériel de guerre

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Le Conseil fédéral aura une dérogation dans la loi pour exporter du matériel de guerre (illustration). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le Conseil fédéral aura une compétence dérogatoire pour autoriser des exportations d'armes lorsque des intérêts essentiels de politique extérieure ou de sécurité l’exigent. Sur demande du Parlement, il a ouvert mercredi une consultation en ce sens jusqu'au 4 septembre.

La compétence dérogatoire, à durée limitée, pourrait par exemple servir à maintenir certaines exportations de pièces détachées et d'éléments d'assemblage dans le cadre de collaborations industrielles entre sous-traitants suisses et des entreprises d'armement d'Etats partenaires soudainement impliqués dans un conflit armé, illustre le gouvernement dans un communiqué.

Il sera tenu de respecter les obligations internationales de la Suisse, notamment le droit de la neutralité. Les exportations vers des pays qui violent gravement et systématiquement les droits humains ne seront pas permises.

Le Parlement pourra exercer sa surveillance. Il sera impliqué en cas d'application de la compétence dérogatoire.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

TUI toujours tiré par la dynamique du tourisme au 2e trimestre

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Entre janvier et mars, TUI a vu ses revenus bondir de 16% sur un an, atteignant un "record" de 3,6 milliards d'euros (3,5 milliards de francs) (archives). (© KEYSTONE/DPA/MORITZ FRANKENBERG)

Le numéro un mondial du tourisme TUI a profité au deuxième trimestre de son exercice décalé de réservations en hausse. Le groupe allemand a été porté par la bonne santé du secteur touristique qui n'en finit pas de croître depuis la fin de la pandémie de coronavirus.

Entre janvier et mars, le groupe allemand a enregistré un chiffre d'affaires en hausse de 16% sur un an, atteignant un "record" de 3,6 milliards d'euros (3,5 milliards de francs), a-t-il indiqué dans un communiqué de presse publié mercredi.

L'entreprise qui offre une gamme de voyages, hôtels, vols charters et croisières dans le monde, a accueilli 2,8 millions de clients au cours de cette période, soit 400.000 de plus que l'an dernier à la même période.

Sa perte d'exploitation -traditionnelle à cette période de l'année en raison d'une activité touristique plus faible et de dépenses importantes- a été réduite de 54 millions d'euros, à 189 millions, a-t-elle ajouté.

Sa perte nette, elle aussi liée à la période, a chuté de 364,3 à 294,2 millions d'euros.

TUI a en conséquence confirmé ses prévisions pour l'ensemble de l'exercice en cours, avec une croissance de 10% du chiffre d'affaires et de 25% du bénéfice d'exploitation.

Pour l'été 2024, le groupe profite en effet déjà d'une hausse de 5% de ses réservations et de 4% de ses prix, alors que ses programmes sont déjà vendus à près de 60%.

Ces résultats sont les premiers publiés depuis que TUI a rapatrié en avril sa cotation à la Bourse de Francfort, après avoir été essentiellement coté à Londres depuis dix ans.

"Les voyages sont très populaires et nous observons des tendances qui renforcent cette popularité", a commenté Sebastian Ebel, PDG de l'entreprise.

TUI bénéficie de la forte reprise du tourisme mondial depuis 2022, qui est revenu à des niveaux désormais comparables, voire dépassant, ceux d'avant la pandémie de coronavirus.

Seule ombre au tableau: les "tensions géopolitiques, particulièrement au Moyen-Orient et dans la Péninsule arabique", que TUI- qui propose de nombreux séjours dans et autour de la région secouée depuis octobre par la guerre entre Israël et le Hamas- "surveille attentivement".

"Si la situation ou les demandes des clients changent, le modèle d'activité du groupe permet de basculer nos capacités de l'est à l'ouest de la Méditerranée", a-t-il commenté à ce sujet.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Suisse

Le salon GemGenève clôture une édition aux "affaires dynamiques"

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Selon les organisateurs de la 8e édition de GemGenève, les acheteurs internationaux n'ont pas hésité à faire l'acquisition de pièces exceptionnelles (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le salon dédié à la joaillerie, GemGenève, a clôturé dimanche en se félicitant d'"acheteurs très enthousiastes" en dépit du ralentissement du secteur. Il ne donne toutefois aucun chiffre sur les ventes, arguant que le milieu se doit de rester discret.

La 8ème édition de GemGenève, qui s'est déroulée du 9 au 12 mai dernier à Palexpo, a été "un bon cru", font savoir ses organisateurs dans un communiqué publié mercredi. Ils relèvent notamment que les acheteurs, internationaux, n'ont pas hésité à faire l'acquisition de pièces exceptionnelles, sans vouloir donner plus de détails.

En outre, "le salon a incarné, pour de nombreux jeunes créateurs, une étape essentielle dans la reconnaissance de leur travail", ajoutent-il. GemGenève se veut un laboratoire de créativité et d'innovation, en réunissant designers reconnus et talents émergents.

Cette année, 244 exposants provenant de 22 pays ont répondu présents,"un chiffre record dans l'histoire du salon", soulignent les organisateurs. Au nombre de 3'566, les visiteurs, de 75 nationalités, ont été pour leur part moins nombreux que pour l'édition de mai 2023 (5'390 visiteurs), ce qui s'explique en raison du 9 mai férié et d'"un ralentissement du marché".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Commerzbank: regain d'optimisme après un 1er trimestre exceptionnel

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Commerzbank confirme son retour à la rentabilité après des années de restructurations (archives). (© KEYSTONE/DPA/HELMUT FRICKE)

Commerzbank a fait état mercredi de son meilleur bénéfice net trimestriel en plus de 10 ans. Le numéro deux bancaire allemand a tiré profit des taux d'intérêts élevés, lesquels devraient lui rapporter plus de produits que prévu jusqu'alors sur l'année.

La deuxième banque allemande, en partie détenue par l'Etat après son sauvetage en 2008, confirme son retour à la rentabilité après des années de restructurations.

Le bénéfice net part du groupe a atteint 747 millions d'euros (732 millions de francs) à fin mars, en hausse de 28,8% sur un an. Il dépasse les 644 millions attendus par le consensus d'analystes sondés par Factset.

Les produits, à 2,74 milliards d'euros, ont été tirés par les produits nets d'intérêts. Ils augmentent de 9,2% sur un an à 2,13 milliards d'euros, et la banque les voit désormais atteindre 8,1 milliards d'euros sur l'année, au lieu de 7,9 milliards prévus auparavant.

Ce sera toujours moins que les 8,4 milliards d'euros obtenus en 2023, car il faut tenir compte de la baisse attendue des taux sur la seconde partie de l'année 2024.

Les revenus de commissions n'ont de leur côté augmenté que de 0,5% sur un an, mais sont toujours attendus en hausse de 4% pour l'année.

Les coûts ont baissé de 8% sur un an, à 1,59 milliard d'euros, ce qui s'explique en bonne partie par de biens moindres versements au fonds de résolution européen des banques, qui a fait le plein l'an dernier.

Les autres charges sont en légère augmentation, en raison notamment de frais de développement dans sa filiale polonaise mBank.

Les provisions nettes pour les crédits à risque ont augmenté de 8 millions d'euros sur un an, à 76 millions d'euros, mais restent modérées malgré un environnement économique toujours difficile.

"La forte activité clients et le très bon résultat du premier trimestre confortent notre ambition d'améliorer le bénéfice annuel en 2024", après celui de 2,2 milliards obtenu l'an dernier, a commenté président du directoire Manfred Knof dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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