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Actualité

Le nouveau Conseil d'Etat prête serment à Saint-Pierre

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Un discours de Saint-Pierre marqué par l’unité. Pierre Maudet bien décider à jouer son rôle de rassembleur.

Pierre Maudet a plaidé pour l’unité hier soir à la cathédrale Saint-Pierre à Genève lors de la prestation de serment. Un discours de circonstances au vu des affaires qui défrayent la chronique ces dernières semaines. Devant une cathédrale remplie à craquer, le président du Conseil d’Etat a évoqué les défis qui attendent le gouvernement genevois durant cette nouvelle législature. Un Pierre Maudet bien décidé à endosser avec vigueur son nouveau rôle de chef de gouvernement. Ecoutez plutôt.

Pierre MaudetPrésident du Conseil d'Etat genevois

Devant une cathédrale remplie à craquer, le président du Conseil d’Etat a évoqué les défis qui attendent le gouvernement genevois durant cette nouvelle législature. La mobilité d’abord, avec le Léman express, «cette nouvelle artère qui va irriguer toute l’agglomération». La culture ensuite avec la Nouvelle comédie et son quartier tout neuf mais aussi la question de la répartition des coûts entre Ville et Canton. Il a aussi clairement fait un appel du pied à la population pour qu’elle vote « oui » au PAV, le 10 juin prochain. Enfin il a plaidé pour que les autorités dépassent les différences et choisissent le compromis. Un discours où toute une frange de la population a été oubliée selon Pablo Cruchon, député d’Ensemble à gauche au Grand Conseil.

Pablo CruchonDéputé d'Ensemble à gauche au Grand Conseil genevois

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Politique

Les députés ne relâchent en rien leur soutien à Vetropack à St-Prex

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Politiques, syndicats, employés: la mobilisation est totale pour sauver le site de la verrerie Vetropack à St-Prex (VD), menacée de fermeture par sa direction. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les parlementaires vaudois ne relâchent pas leur mobilisation pour maintenir la verrerie Vetropack à St-Prex, menacée de fermeture. Après une résolution soutenue en mars dernier, ce ne sont pas moins de trois nouvelles interventions qui ont été défendues mardi au Grand Conseil: deux postulats et une motion. Ils sont tous les trois renvoyés en commissions pour examen.

La motion, déposée par le socialiste Arnaud Bouverat et cosignée par une soixantaine d'élus de tous les bords politiques, prévoit un renforcement de la loi sur l'aménagement du territoire (LATC) et du Plan directeur cantonal. L'objectif est de pouvoir sceller à très long terme la vocation industrielle et artisanale des terrains affectés aujourd'hui à ces activités.

Le premier postulat, déposé par le chef du groupe PLR Nicolas Suter et cosigné par quelque 75 députés, demande, lui, un rapport au Conseil d'Etat sur l'enjeu de Vetropack, dernière verrerie de Suisse, pour une région mais aussi pour toute une filière industrielle.

Le gouvernement est prié de fournir des réponses sur l'industrie du verre dans le canton (quantité, qualité, acteurs et filières), sur l'état d'avancement des solutions de recyclage et de réutilisation du verre ainsi que des moyens à disposition de l'aménagement du territoire pour maintenir un tissu industriel et artisanal.

Aide directe et indirecte

Avec presque autant de signatures, le deuxième postulat, déposé par le PLR Alexandre Berthoud, demande au gouvernement d'étudier tous les outils économiques et disponibles pour sauver l'usine de Vetropack.

"Cela peut se traduire par un soutien économique direct notamment. Mais il est possible de soutenir de manière indirecte certains secteurs spécifiques par le biais d'allégements fiscaux ou par des mesures d'aménagement du territoire en maintenant l'affectation de certains terrains propices à l'industrie ou à l'artisanat", note le postulant.

En mars déjà, le Grand Conseil a voté une résolution qui demandait à Vetropack et au Conseil d'Etat d’étudier des solutions alternatives à une fermeture. Les conseillers aux Etats Pierre-Yves Maillard et Pascal Broulis - tous deux anciens conseillers d'Etat - ont apporté leur appui aux employés qui se battent contre cette fermeture.

Pétition

Une pétition - "Non à la fermeture de Vetropack" - a par ailleurs été remise la semaine dernière aux autorités vaudoises. Le texte, muni de 5003 signatures, demande le maintien des 175 emplois.

Pour rappel, la direction de Vetropack avait annoncé début mars l'ouverture d'une procédure de consultation concernant la fermeture de son site de St-Prex pour manque de rentabilité. La procédure a été prolongée jusqu'au 30 avril.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Un audit externe sur les procédures de recrutement aux SIG

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Un audit externe sera mené sur les procédures de recrutement aux SIG. Robert Cramer, président du Conseil d'administration de la régie publique a indiqué "prendre au sérieux" les accusations de favoritisme. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Un audit externe sera mené sur les procédures de recrutement aux SIG. Robert Cramer, président du Conseil d'administration de la régie publique a indiqué "prendre au sérieux" les accusations de favoritisme.

La Tribune de Genève et la télévision Léman Bleu ont révélé que deux beaux-fils du directeur général des SIG, Christian Brunier, travaillent dans l'entreprise. Selon la RTS, ce serait aussi le cas d'un de ses neveux. Des attaques qui ont poussé M. Brunier à quitter son poste avec effet immédiat mardi, avec onze mois d'avance sur la date annoncée de son départ à la retraite anticipée.

"Je n'emploie pas le terme de népotisme. Si c'est avéré, c'est très problématique comme comportement et pour l'entreprise", a déclaré mardi devant les médias M. Cramer. L'auditeur externe aura pour mission de chercher à savoir si les procédures de recrutement sont adéquates, si le règlement est perfectible et si, dans les cas en question, les procédures ont été appliquées ou s'il y a eu des dérives.

"Ligne rouge"

L'auditeur sera trouvé d'ici à la fin de la semaine, selon M. Cramer, qui refuse de se prononcer sur ces cas avant d'avoir reçu l'audit "dans deux mois ou à la fin de l'été". A ses yeux, toute intervention active dans le processus de recrutement est "la ligne rouge absolue" à ne pas franchir. Or la proximité ne se limite pas aux liens familiaux dans une entreprise qui compte 1700 collaborateurs.

De son côté, Robert Monin, directeur des ressources humaines des SIG, a expliqué qu'un candidat qui n'a pas de réelles compétences est balayé lors des différentes étapes de recrutement. "Les recommandations de l'audit externe seront mises en oeuvre par les SIG", a assuré le président, qui souhaite que les établissements publics autonomes s'alignent sur les mêmes pratiques.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Lazzarini: la Suisse doit poursuivre sa tradition humanitaire

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Pour Philippe Lazzarini, la Suisse ne doit pas mettre fin à son aide à l'UNRWA. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le commissaire général de l'UNRWA Philippe Lazzarini se réjouit de la recommandation de la commission de politique extérieure du National de maintenir une aide partielle à l'agence. Il juge important que la Suisse poursuive sa tradition humanitaire dans la région.

Il est important que la Confédération continue d'être un partenaire de la plus importante agence d'aide aux réfugiés palestiniens, au moment où ceux-ci ont le plus besoin de soutien, a ajouté le Genevois lors d'une conférence de presse.

Interrogé sur la volonté de la commission de ne plus financer directement l'UNRWA à terme, M. Lazzarini a dit espérer qu'elle ne se concrétise pas "avant que la Suisse et les autres Etats membres (aient) oeuvré à la création d'un Etat palestinien", c'est-à-dire avant que l'agence puisse se retirer de la région.

D'ici là, "tout affaiblissement de l'agence sera perçu par les Palestiniens comme une atteint à leurs aspirations à l'autodétermination", a-t-il averti.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Accord pour une nouvelle convention de travail chez Dnata

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Les employés de Dnata avaient fait grève le 24 décembre 2023 à l'Aéroport de Genève. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Genève, le personnel de l'entreprise d'assistance au sol des compagnies aériennes Dnata disposera d'une nouvelle convention collective de travail (CCT) qui entrera en vigueur dès mercredi et pour une durée de trois ans. Un accord a été trouvé entre le Syndicat des services publics (SSP - Trafic aérien) et la direction de l'entreprise.

Depuis 2018, le personnel de Dnata était sans couverture conventionnelle, indique mardi le SSP dans un communiqué. Jamshid Pouranpir, secrétaire syndical, se réjouit de cette nouvelle CCT "de bon niveau" qui permet de donner une impulsion au partenariat social.

Une courte grève avait eu lieu à la fin de l'année dernière, juste avant les Fêtes suite à l'échec des discussions entre la société émiratie Dnata et le syndicat devant la Chambre des relations collectives de travail (CRCT). Les partenaires s'étaient finalement mis d'accord sur une hausse de salaire de 3% et une prime unique de 500 francs ainsi que sur le principe d'une nouvelle CCT.

Les négociations menées depuis ont finalement débouché sur cette nouvelle CCT promise en décembre. Elle prévoit notamment des primes pour compenser la pénibilité du travail, plus de temps de repos, une sixième semaine de vacances pour les employés de plus de 50 ans, des négociations salariales à la fin de chaque année en plus des annuités et une compensation du travail du samedi.

Elle intègre également la reconnaissance des droits syndicaux avec une délégation syndicale étoffée ainsi que l'organisation de trois réunions par année entre la direction et le SSP pour discuter des problèmes particuliers. Il s'agit notamment d'évoquer la situation du personnel auxiliaire, a précisé M.Pouranpir.

Dnata emploie environ 600 personnes à Genève, soit un quart de tous les employés au sol. Ses collaborateurs s'occupent notamment de l'émission de billets, de l'acheminement des passagers et des bagages dans les avions. La société opère notamment pour le compte des compagnies aériennes Emirates, Ethiopian Airlines, Air France, KLM, British Airways, Iberia, Air Lingus et, en partie, Easyjet.

 

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Culture

Le roi Charles III reprend ses engagements publics (VIDEO)

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Le roi de 75 ans, détendu et souriant, était accompagné de la reine Camilla, 76 ans, pour cette visite symbolique et très scrutée. (© KEYSTONE/AP/Kin Cheung)

Le roi Charles III s'est rendu mardi dans un centre de traitement contre le cancer à Londres, son premier engagement public officiel depuis qu'il a annoncé il y a trois mois qu'il souffrait lui-même de cette maladie.

Le roi de 75 ans, détendu et souriant, était accompagné de la reine Camilla, 76 ans, pour cette visite symbolique et très scrutée, durant laquelle il devait rencontrer patients et médecins au centre Macmillan de l'University College Hospital.

Arrivé en voiture, il a serré des mains avant de rentrer dans le bâtiment.

Traitement en cours

Charles III suit toujours un traitement pour son cancer, découvert après une opération de la prostate en janvier, et dont la nature n'a jamais été précisée.

Mais le palais de Buckingham, prudemment optimiste, avait annoncé vendredi dernier que ses médecins étaient "suffisamment satisfaits des progrès accomplis jusqu'à présent" pour lui permettre une reprise graduelle de ses activités publiques, adaptée à son état de santé.

Ses engagements seront "soigneusement calibrés" en "concertation étroite avec ses médecins", a précisé Buckingham palace.

Le roi et la reine doivent aussi recevoir en juin à une date non précisée l'empereur Naruhito du Japon et son épouse l'impératrice Masako, pour une visite d'Etat à l'invitation du gouvernement britannique.

D'autres engagements possibles - Royal Ascot, 80 ans du D-Day, Trooping the Color en juin, traditionnelles garden parties - seront conditionnés à l'avis de ses médecins, plus près de leur date.

Après l'annonce de son cancer début février, neuf mois après son couronnement, Charles III avait suspendu ses activités publiques. Mais il a continué ses tâches de monarque constitutionnel selon Buckingham palace. Elles prévoient notamment qu'il signe les lois, s'entretienne régulièrement avec le Premier ministre et valide certaines nominations.

Le palais a régulièrement diffusé des photos ou de très courtes vidéos de lui recevant des personnalités, préparant un discours, ou lisant des cartes de bon rétablissement.

Impatient de reprendre, selon son neveu Peter Phillips, Charles III s'était offert un bref bain de foule au sortir des matines à la chapelle du château de Windsor le dimanche de Pâques.

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