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Politique

Jeunes Verts et PS appellent à voter en bloc la liste rose-verte

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Les jeunes Verts et socialistes appellent à voter en bloc pour le ticket rose-vert au 2e tour (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les jeunes Verts et socialistes appellent à voter en bloc pour le ticket rose-vert lors du deuxième tour de l'élection au Conseil d'Etat vaudois. Le résultat s'annonce serré, le 10 avril prochain, entre le bloc de droite (PLR, UDC, Centre) et celui de gauche (PS et Verts).

Parfois très critiques - du côté des Verts surtout - face à leur parti cantonal, les jeunes des deux partis appellent dans un communiqué commun à serrer les rangs au 2e tour. "Que la gauche, souvent décriée et éparpillée, prouve qu'elle est capable quand il le faut de faire bloc et de mobiliser son électorat", écrivent-ils.

Les deux partis "jeunes" se disent "profondément consternés par la candidature de l'UDC Michaël Buffat" et par le soutien dont il est gratifié, notamment par le PLR. Ils critiquent notamment ses positions très à droite en matière sociale et d'environnement.

Jeunes verts et socialistes "s'étonnent" du soutien obtenu par la Centriste Valérie Dittli, dont le parti ne dispose d'aucun siège au Parlement cantonal. Ce score est le résultat "d'un attachement plus ou moins opportuniste à une liste de droite", estiment-ils.

Enfin, la Jeunesse socialiste vaudoise se réjouit de faire son retour au Grand Conseil, avec l'élection de Romain Pilloud, 26 ans, conseiller communal et président de la section de Montreux. Les Jeunes Verts fêtent une date "historique" avec leur tout premier élu au Parlement vaudois, Théophile Schenker, 25 ans, municipal à Mathod.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Un millier d'enfants à la finale de la Coupe de Suisse de foot

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Le Grand Conseil veut qu'un millier de petits Genevois puissent soutenir le Servette FC le 2 juin lors de la finale de la Coupe de Suisse de foot contre Lugano (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN MERZ)

Le Grand Conseil veut qu'un millier de petits Genevois puissent assister à la finale de la Coupe de Suisse de football qui aura lieu le 2 juin à Berne. Par 62 oui, 17 non et 2 abstentions, il a adressé vendredi une motion dans ce sens au Conseil d'Etat. Servette FC jouera contre Lugano.

"Le sport est un vecteur d'intégration, et la population genevoise s'identifie au Servette FC. Mais l'accès à un événement sportif de haut niveau n'est pas donné à tout le monde", a plaidé le socialiste Leonard Ferati. D'où l'idée de redistribuer des billets à des clubs et structures associatives pour que 1000 enfants assistent à la finale.

Une demande soutenue par le MCG Arber Jahija, qui évoque "les beaux souvenirs" qu'en garderont les enfants. "Cela fait 23 ans qu'on attend cette finale", a relevé le député du Centre Xavier Magnin. La dernière victoire du Servette FC en Coupe de Suisse remonte à 2001.

Rappelant que les équipes ont des quotas de billets, Laurent Seydoux, de Libertés et justice sociale, a mis en garde contre le risque de leur soustraire des places. Mais le conseiller d'Etat Thierry Apothéloz, en charge du Département de la cohésion sociale, s'est voulu rassurant: une solution sera trouvée. Le coût de l'opération est estimé à 140'000 francs, accompagnants compris.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

La veuve d'Alexeï Navalny au symposium de l'Université de St-Gall

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Julia Navalnaïa, veuve de l'opposant russe Alexeï Navalny décédé en prison, a accusé à St-Gall Vladimir Poutine d'être est un "dictateur" qui met ses opposants en prison ou les tue. (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Julia Navalnaïa, veuve de l'opposant russe Alexeï Navalny décédé en prison, s'est exprimée vendredi dans le cadre du 53e symposium de l'Université de St-Gall. Vladimir Poutine doit être poursuivi pour ses crimes, a-t-elle déclaré.

Vladimir Poutine est un "dictateur" qui met ses opposants en prison ou les tue, a-t-elle affirmé lors de son discours. Après avoir empêché Alexeï Navalny de se présenter aux élections de 2017, le président russe a "ordonné d'emprisonner (son) mari, puis de le tuer".

Pour M. Poutine, le plus horrible crime commis par Alexeï Navalny a été d'inciter les jeunes à s'engager en politique, a souligné Julia Navalnaïa. Un changement de génération est nécessaire au niveau politique en Russie pour sauver la démocratie, estime-t-elle.

Les pays occidentaux démocratiques, qui sont des Etats de droit, ont du mal à comprendre Vladimir Poutine. Le président russe agit comme "un boss mafieux", il est "corrompu". C'est perdre son temps que de le considérer comme un politicien si on veut l'affaiblir ou le faire tomber, selon Julia Navalnaïa. "Poutine doit être poursuivi pour ses crimes".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Quelque 160'000 Français de Suisse pourront voter aux européennes

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Soixante et un bureaux de vote seront répartis à travers toute la Suisse pour permettre aux électeurs français d'élire leurs eurodéputés le 9 juin (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Quelque 160'000 Français vivant en Suisse pourront voter aux élections européennes du 9 juin. Les ressortissants de l'Hexagone avaient jusqu'à vendredi pour s'inscrire sur les listes électorales auprès des consulats de Genève et Zurich.

Au 31 mars, 158'993 personnes s'étaient inscrites sur les listes électorales, a indiqué un porte-parole de l'ambassade de France à Berne, interrogé par Keystone-ATS. Ce nombre devrait peu évoluer d'ici le jour du vote. La Suisse abrite la plus grande communauté française établie à l'étranger.

Les Français devront désigner leurs 81 eurodéputés le 9 juin. Soixante et un bureaux de vote seront ouverts ce jour-là en Suisse pour permettre aux expatriés de choisir leurs représentants.

Les élections européennes se dérouleront du 6 au 9 juin dans les 27 Etats de l'Union. Chaque pays organise le vote selon ses propres règles. Au total, 720 députés européens seront désignés, contre 705 dans la législature qui s'achève. La France, qui compte aujourd'hui 79 élus à Strasbourg, est l'un des douze pays qui verront leur contingent grossir.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Stratégie de financement de la 13e rente AVS refusée en commission

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Le versement d'une 13e rente AVS a été accepté par le peuple lors de la votation du 3 mars (archives). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

La stratégie de financement de la 13e rente AVS ne convainc pas la commission de la sécurité sociale du National. Celle-ci veut attendre la prochaine vaste réforme de l'AVS pour déterminer le mécanisme de financement de la 13e rente, indique-t-elle vendredi.

Pour garantir le financement supplémentaire dès 2026, le Conseil fédéral propose d'augmenter les cotisations salariales de 0,8 point ou de rehausser ces cotisations de 0,5 point et la TVA de 0,4 point. Parallèlement, il prévoit de baisser la contribution de la Confédération aux coûts de l’AVS du niveau actuel de 20,2% à 18,7% jusqu’à l’entrée en vigueur de la prochaine réforme de l’AVS.

Par 13 voix contre 12, la commission est opposée au financement unilatéral séparé. Elle veut attendre la prochaine réforme de l'AVS. "Cela garantira une approche globale et mûrement réfléchie, permettant ainsi de sécuriser l'AVS et son financement pour la décennie suivante." Par 17 voix contre 8, la commission invite d’ailleurs le Conseil fédéral à ne pas réduire la contribution de la Confédération à l’AVS.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La ville de Berlin prête à offrir l'ancienne villa de Goebbels

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La villa abritait une salle de cinéma privée et de spacieux séjours avec vue sur le lac de Bogensee, où Joseph Goebbels recevait stars, personnalités et maîtresses (archives). (© KEYSTONE/DPA/PATRICK PLEUL)

Chère à entretenir, difficile à détruire, difficile à vendre... L'ancienne villa du ministre de la propagande de Hitler, Joseph Goebbels, est un fardeau pour la municipalité de Berlin. Celle-ci se dit désormais prête à en faire cadeau.

La ville-Etat de Berlin peine depuis des années à trouver une seconde vie à cette propriété autrefois luxueuse construite près d'un lac, sur une vaste propriété de 17 hectares, dans la campagne qui entoure la capitale allemande.

"Je fais don du terrain à quiconque voudrait le récupérer, c'est un cadeau du Land de Berlin", a déclaré le responsable chargé des finances, Stefan Evers, lors d'une discussion jeudi à la chambre des députés de Berlin, espérant ainsi mettre fin à ce débat interminable.

La propriété est située à une quarantaine de kilomètres de Berlin, dans le land du Brandebourg, mais ni ce dernier ni le gouvernement fédéral ne sont intéressés par un "cadeau aussi généreux", a-t-il ajouté.

Salle de cinéma privée

Joseph Goebbels s'était vu offrir le terrain en 1936. Il y avait fait édifier la vaste demeure grâce aux financements de l'UFA, la puissante société de production cinématographique sur laquelle il régnait en maître absolu. L'édifice en U abritait une salle de cinéma privée, de spacieux séjours avec vue sur le lac de Bogensee, où Goebbels recevait stars, personnalités et maîtresses.

La "villa Goebbels" est d'autant plus encombrante qu'elle vient empêcher toute nouvelle utilisation d'un autre vestige local de l'histoire tumultueuse de l'Allemagne: un vaste complexe érigé après guerre par les autorités de l'ancienne RDA sur le même terrain que la maison du ministre d'Hitler, au milieu de la forêt.

Cet ensemble de bâtiments construit dans le style stalinien du début des années 50 abritait le centre de formation des cadres de la Jeunesse allemande libre (FDJ), l'organisation de jeunesse du parti communiste est-allemand (SED).

Au sein de cette université communiste, la "villa Goebbels" avait été reconvertie notamment en supermarché pour les étudiants et en crèche.

Démolition envisagée

Faute de repreneur ou de subvention, Berlin envisage désormais de tout démolir et de rénover les terrains, car les coûts annuels de sécurité et d'entretien se chiffrent en millions, selon les médias allemands Bild et RBB. Il faudrait pour cela retirer aux bâtiments le statut de monument historique.

En 2016, le Fonds immobilier de Berlin avait renoncé à vendre "la villa Goebbels", déjà très délabrée. Il craignait "qu'elle ne tombe entre de mauvaises mains" et ne "devienne un lieu de pèlerinage pour les nazis".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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