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Geneva Lux: onze nouvelles oeuvres autour de la Rade

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La 8ème édition du festival Geneva Lux débute ce vendredi jusqu'au 6 février. Il présente 23 œuvres lumineuses dont 11 nouveautés autour de la rade.

Deux bonshommes géants qui partent à l’assaut du Pont du Mont-Blanc, un orgue lumineux et musical sur l’île Rousseau, des bouées éclairantes en face de l’Hôtel des Bergues font partie du spectacle cette année, qui se visite comme un circuit. Le passage sous le Pont du Mont-Blanc est devenu un tunnel de lumières habité par des poissons multicolores. Bref de quoi vous en mettre plein les yeux.

Le genevois François Moncarey, fin connaisseur de la scène régionale, a repris la direction artistique cette année. Une édition placée sous le signe de l'écologie. François Moncarey.

François MoncareyDirecteur artistique de Geneva Lux

Parmi les artistes cette année, plusieurs Genevois, dont le collectif Spot et son lotus géant symbole de vie  dans le kiosque du Jardin anglais. Le lotus qui prend naissance dans les marécages. Ecoutez Jenifer Herger, membre du collectif Spot.

Jenifer HergerMembre du Collectif Spot

Le lotus s’anime grâce à des batteries électriques de voiture recyclées.

Deux artistes français, Jean-Pierre David et Christian Thellier sont les créateurs des Flower power et d'une grande mouette illuminée. Ecoutez Jean-Pierre David.

Jean-Pierre Davidplasticien

Avec son acolyte, Christian Thellier, ils ont aussi créé Flower power. Une fleur qui ressemble à un moulin lumineux, il y en a deux, une à la place du Molard, l'autre aux Bains des Pâquis On l'écoute.

Christian Thellierplasticien

Coût du festival pour la Ville de Genève: 400'000 francs. Ce musée à ciel ouvert est gratuit et se visite sans passe sanitaire. Geneva Lux dure trois semaines, soit une semaine de plus que l’an dernier.

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La gratuité pour les jeunes est enterrée à Genève

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Le Grand Conseil n'a pas réussi à se mettre d'accord jeudi soir sur le souhait du gouvernement d'offrir l'abonnement des Transports publics genevois (TPG) aux jeunes. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Grand Conseil n'a pas réussi à se mettre d'accord sur le souhait du gouvernement d'offrir l'abonnement des Transports publics genevois (TPG) aux jeunes. Par 50 non et 47 oui, le projet de loi a été refusé jeudi soir.

Lors de l'annonce de l'excédent record affiché par les comptes 2023 de l'Etat, le gouvernement avait proposé un abonnement des TPG gratuit pour les jeunes. Dans la foulée, le Parlement allait voter cette mesure sur le siège. Or l'adoption d'un amendement du Centre visant à accorder également la gratuité aux seniors dès 65 ans a bloqué le vote.

Mettant en garde contre le risque juridique lié à cette extension de la gratuité, le conseiller d'Etat Pierre Maudet, en charge du Département de la santé et des mobilités a refusé de demander le troisième débat. Ce troisième débat, qui a eu lieu jeudi soir, a abouti au rejet du projet de loi suite à une manoeuvre du PLR.

Aide de 50%

Plusieurs amendements étaient sur la table. Une majorité semblait se dessiner pour accepter celui du Conseil d'Etat visant à offrir les abonnements Unireso aux jeunes de 6 à 24 ans révolus, sous condition de formation ou de revenus. L'amendement du Centre visant à accorder une aide financière de 50% aux bénéficiaires de prestations AVS/AI était aussi en bonne voie et conforme d'un point de vue juridique.

Mais le premier amendement à avoir été voté a été celui du PS pour que le Parlement conserve le pouvoir de fixer les tarifs des TPG. Il a été accepté par 65 oui et 30 non. En le faisant passer, le PLR, qui voulait limiter la gratuité aux jeunes et a demandé, en vain, plusieurs renvois en commission, a obtenu le rejet final du projet de loi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vers un contreprojet à l'initiative sur les soins dentaires

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Le Grand Conseil genevois n'est pas convaincu par l'initiative populaire "Pour des soins dentaires accessibles à toute la population". Il a refusé ce texte jeudi soir et décidé, à la quasi-unanimité, de lui opposer un contreprojet. (illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Grand Conseil genevois n'est pas convaincu par l'initiative populaire "Pour des soins dentaires accessibles à toute la population". Par 51 non et 31 oui, il a refusé ce texte jeudi soir et décidé, à la quasi-unanimité, de lui opposer un contreprojet.

Si la majorité des députés estime que cette initiative législative pose de bonnes questions, elle n'est pas convaincue par les solutions proposées. Le chèque dentaire annuel de 300 francs, destiné aux personnes éligibles aux subsides d'assurance-maladie, est jugé insuffisant compte tenu du coût des soins dentaires.

En plus de cette aide financière, l'initiative vise à renforcer la prévention de la santé bucco-dentaire par des campagnes de dépistage. Pour coordonner l'ensemble de cette politique de santé publique, le texte prévoit la création d'un poste de médecin-dentiste cantonal. Le coût de cette initiative est estimé à près de 45 millions de francs par année.

Soutenant le principe d'un contreprojet, le conseiller d'Etat Pierre Maudet, en charge du Département de la santé et des mobilités, souhaite lancer un vaste plan sur la santé bucco-dentaire en 2025. Il n'a pas caché qu'il envisage une taxe sur le sucre.

L'accès aux soins dentaires est un sujet politique récurrent à Genève et ailleurs. Les Genevois ont ainsi refusé en 2019 une initiative constitutionnelle pour une assurance obligatoire de soins dentaires, comme les Vaudois en 2018 et les Neuchâtelois en septembre dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le doyen des députés socialistes élu président du Parlement

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A Genève, le doyen des députés socialistes a été élu au perchoir du Grand Conseil lors du renouvellement du Bureau jeudi. Alberto Velasco, 76 ans, effectue sa sixième législature parlementaire (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A Genève, le doyen des députés socialistes a été élu au perchoir du Grand Conseil lors du renouvellement du Bureau jeudi. Jusqu'ici vice-président, Alberto Velasco, 76 ans, effectue sa sixième législature parlementaire. Sur les sept membres du bureau, à nouveau trois sont des femmes.

Alberto Veslaco a siégé au Grand Conseil de 1997 à 2009 et il y est de retour depuis 2013. "C'est dire s'il en connaît les rouages comme sa poche", a déclaré sa collègue socialiste Caroline Marti. Emu de devenir premier citoyen du canton, M. Velasco a indiqué qu'il est arrivé en Suisse à l'âge de 13 ans et qu'après son apprentissage, il a pu suivre des cours du soir pour devenir ingénieur.

Dans le respect du tournus, le MCG Thierry Cerutti a accédé à la 1ère vice-présidence. Ce "député atypique", comme l'a qualifié son collègue Sandro Pistis, n'a toutefois pas été élu à la majorité absolue et il n'a récolté que 34 voix au second tour, plus de la moitié des députés ayant voté blanc.

Déjà membre du bureau, la Verte Dilara Bayrak a été élue à la seconde vice-présidence. Les autres membres du bureau sont Francine de Planta (PLR), Patricia Bidaux (Le Centre), Laurent Seydoux (Libertés et justice sociale) et Guy Mettan (UDC).

Dans son discours, la présidente sortante Céline Zuber-Roy a rappelé qu'elle s'était notamment engagée à réduire l'ordre du jour. "En un an, quatre départements ont été traités en entier", a relevé la libérale-radicale, qui s'est aussi félicitée de l'élimination de textes anciens, permettant aux députés "de se concentrer sur des sujets d'actualité."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève et Bâle s'allient pour leurs projets ferroviaires

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Le hall de la Gare Cornavin à Genève (KEYSTONE/Martial Trezzini)
Bâlois et Genevois ont uni leurs forces, jeudi dans un congrès ferroviaire, pour sensibiliser la Confédération aux retards des projets ferroviaires qui les concernent. Les deux cantons frontaliers doivent notamment construire des gares souterraines. Certains de leurs projets feront partie du message 2026 du Conseil fédéral sur le rail.

A Genève-Cornavin, une gare souterraine à deux voies et ses deux tunnels d'accès doivent être construits sous la gare actuelle pour faire face à la hausse démographique et améliorer l'offre sur le bassin lémanique et la région frontalière genevoise. Les travaux doivent durer 9 ans, selon les CFF.

La mise à l'enquête publique est actuellement agendée pour la fin 2027. Coût du projet: 1,9 milliard de francs. L'infrastructure serait mise en service en 2038 au plus tôt.

Préfinancement des cantons

Lors du congrès ferroviaire Bahn24, jeudi à Bâle, le ministre genevois de la mobilité Pierre Maudet a souligné que les cantons et les régions devaient être les fers de lance de ces projets à l'impact pourtant bien plus large. Le canton de Genève pratique déjà cette méthode, a-t-il rappelé. Il en va de même à Bâle-Ville.

La vice-directrice de l'Office fédéral des transports (OFT), Anna Barbara Remund, ne s'est pas opposée à ce principe, mais elle a plaidé pour que la direction de l'aménagement ferroviaire reste en mains de la Confédération. La cadence du réseau suisse doit rester coordonnée, a-t-elle invoqué.

RER bâlois face aux priorités nationales

Comme Pierre Maudet, son homologue bâloise Esther Keller a évoqué les mégaprojets ferroviaires en cours dans son canton. La future gare souterraine à construire sous l'actuelle gare centrale de Bâle est considérée comme le cerveau de la pièce maîtresse du futur RER citadin bâlois, a-t-elle aussi rappelé aux médias avec son collègue de Bâle-Campagne Isaac Reber. Ce projet fera partie du message 2026 du Conseil fédéral sur l'aménagement ferroviaire.

L'Office fédéral des transports (OFT) a profité du congrès pour présenter les résultats intermédiaires d'une pré-étude de faisabilité du projet de RER citadin en ville de Bâle. Il en résulte notamment que la gare de la Deutsche Bahn, située sur la rive droite du Rhin, devra également être équipée de voies souterraines. Cet aspect ne fait pas partie des plans urgents du Conseil fédéral.

La vice-directrice de l'OFT, Anna Barbara Remund, n'a fait aucune promesse sur la priorisation des différents projets du RER bâlois. Le Conseil fédéral décidera de ceux qui feront partie de son message 2026, a-t-elle simplement déclaré. Et d'ajouter tout de même que beaucoup de projets étaient en cours en région bâloise, liés à la séparation des trafics régional, des grandes lignes et des marchandises pour 1,7 milliard de francs.

Le projet de réseau citadin bâlois comprend notamment une liaison en tunnel entre la gare centrale et une future gare au centre-ville ainsi qu'une ou deux autres liaisons souterraines sous le Rhin entre cette dernière et la gare de la Deutsche Bahn.

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Maxime Provini nouveau président du PLR Ville de Genève

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Maxime Provini a été élu à la présidence du PLR Ville de Genève (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Maxime Provini est le nouveau président du PLR Ville de Genève pour la période 2024-2025. Il succède à Kevin Schmid, qui a assumé la fonction ces deux dernières années. Le parti ne présentera qu'un seul candidat à l'Exécutif lors des élections de 2025.

Lors de leur assemblée générale mercredi soir, les membres du PLR Ville ont également validé à l’unanimité la stratégie en vue des élections municipales 2025 de la Ville de Genève. Le PLR présentera un seul candidat au Conseil administratif. Il partira seul, et donc sans alliance, choisissant ainsi la ligne de la clarté et de la lisibilité tant sur le programme que sur les candidats proposés.

L'actuel Conseil administratif compte deux Vert-e-s, deux socialistes et une représentante du Centre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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