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Le MPC soupçonne Pictet de blanchiment d'argent aggravé

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Le portail d'information judiciaire, spécialisé dans la criminalité en col blanc, se base notamment sur plusieurs arrêts récents du Tribunal fédéral (TF), dans lesquels les noms des protagonistes sont caviardés (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La Banque Pictet & Cie est dans le viseur du Ministère public de la Confédération (MPC). Le parquet fédéral mène une instruction pour blanchiment d'argent aggravé et corruption d'agents publics étrangers à son encontre, rapporte jeudi le site Gotham City.

Le portail d'information judiciaire, spécialisé dans la criminalité en col blanc, se base notamment sur plusieurs arrêts récents du Tribunal fédéral (TF), dans lesquels les noms des protagonistes sont caviardés. Dans un de ces documents, le TF indique que la banque n'a pas pris les mesures "raisonnables et nécessaires" pour empêcher des actes de blanchiment d'argent aggravé dans cette affaire de détournements de fonds au Koweït, sur une période s'étalant entre 2003 et 2012, au moins.

La procédure visant Banque Pictet & Cie remonte au 15 janvier 2020.

Le MPC avait lancé en 2012 une enquête sur Fahad Al-Rajaan, ancien directeur de l'Institution publique de Sécurité sociale du Koweït (PIFSS). Ce responsable et son épouse sont accusés d'avoir touché des commissions illicites de la part de banques suisses - dont Pictet - en échange d'investissements de ces mêmes établissements, précise l'article.

Ces versements indus auraient atteint un montant 390 millions de dollars (360 millions de francs au cours actuel) et auraient été déposés sur des comptes suisses au nom de sociétés écran aux Bahamas et à Singapour, selon les indications du Tribunal Fédéral.

Enquête interne chez Pictet

En 2019, la justice koweïtienne a condamné le couple par contumace à une peine de prison à vie et à une amende de 160 millions de dollars. La procédure menée par le MPC à l'encontre de Fahad Al-Rajaan n'est pas encore terminée, selon Gotham City, qui cite un porte-parole du parquet fédéral.

Malgré ce scandale et la mise en cause de Pictet, la PIFFS est restée cliente de la banque genevoise jusqu'en 2018, a affirmé à AWP une source proche du dossier.

Contacté par AWP, Pictet a confirmé l'existence de la procédure, mais de manière indirecte. Le groupe rappelle que l'affaire remonte à plus de dix ans et doit être replacée dans le "contexte d'enjeux politiques propres au Koweït". Celle-ci s'inscrit dans le cadre d'un litige international impliquant de nombreux autres groupes financiers.

"En coordination avec la Finma, Pictet a diligenté en 2014 de sa propre initiative une analyse interne. Le dossier a été réglé la même année auprès de l'autorité de surveillance", souligne la maison-mère de Banque Pictet & Cie dans une prise de position écrite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

International

Pourparlers sur l'Ukraine: un émissaire russe en route pour Miami

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Le président russe Vladimir Poutine a affirmé que "la balle" était "dans le camp" de Kiev et de ses alliés européens. (© KEYSTONE/AP/Mikhail Metzel)

Les pourparlers pour mettre fin à la guerre en Ukraine se poursuivent samedi à Miami, où se trouvent des négociateurs ukrainiens, européens et américains. Ils seront rejoints par une délégation russe, sans toutefois que toutes les parties ne se rassemblent.

L'émissaire russe Kirill Dmitriev a annoncé samedi être en route pour cette ville de Floride où des équipes ukrainienne et européenne se trouvent déjà pour participer aux négociations menées par Steve Witkoff, l'envoyé spécial de Donald Trump, et Jared Kushner, le gendre du président américain.

"En route pour Miami", a écrit M. Dmitriev dans un message sur le réseau social X, ajoutant un emoji de colombe de la paix et en joignant une courte vidéo montrant le soleil du matin perçant les nuages au-dessus d'une plage bordée de palmiers.

"Alors que les bellicistes continuent de travailler d'arrache-pied pour saper le plan de paix américain pour l'Ukraine, je me suis souvenu de cette vidéo de ma précédente visite: la lumière perçant les nuages d'orage", a ajouté M. Dmitriev.

MM. Witkoff et Kushner ont rencontré vendredi près de Miami le négociateur ukrainien Roustem Oumerov et des représentants de la France, du Royaume-Uni et de l'Allemagne.

Nouveauté

A l'issue de ces discussions, M. Oumerov a simplement assuré que sa délégation s'était mise d'accord avec les Américains "pour poursuivre le travail en commun dans un avenir proche".

L'inclusion directe des Européens constitue une nouveauté par rapport aux précédentes réunions qui ont eu lieu ces dernières semaines entre Ukrainiens et Américains à Genève, Miami et Berlin.

Vendredi, alors que cette nouvelle série de discussions venait de débuter, le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a assuré qu'aucun accord ne serait imposé à l'Ukraine.

"C'est à eux de conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer l'Ukraine à conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer la Russie à conclure un accord. Il faut qu'ils (le) veuillent", a affirmé lors d'une conférence de presse à Washington le chef de la diplomatie américaine.

Les pourparlers diplomatiques destinés à mettre fin au conflit, qui entrerait en février dans sa cinquième année, se sont accélérés ces dernières semaines après la publication d'un plan de l'administration Trump, sans aboutir à un cessez-le-feu.

Sur le terrain, la Russie continue de viser les infrastructures ukrainiennes: vendredi soir, un missile balistique a fait sept morts et quinze blessés près d'Odessa, a annoncé le gouverneur local Oleg Kiper. Moscou a également affirmé samedi avoir pris deux villages dans les régions de Soumy (nord) et Donetsk (est).

De son côté, Kiev a annoncé samedi avoir détruit deux avions de combat russes sur un aérodrome situé dans la péninsule de Crimée occupée, selon les services de sécurité SBU.

"Progrès"

De plus en plus impatient, Donald Trump a pressé Kiev de "bouger rapidement", lors d'un échange avec la presse dans le Bureau ovale.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a lui aussi fait part des "progrès" vers un compromis entre Kiev et Washington sur le contenu d'un plan à proposer à Moscou pour mettre fin aux combats. Mais, a-t-il averti, la Russie se prépare selon lui à une nouvelle "année de guerre" en 2026.

Les Etats-Unis ont proposé, il y a plus d'un mois, un plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine déclenchée par la Russie en février 2022. Ce texte initial, perçu comme étant largement favorable au Kremlin, a depuis été remanié après les consultations avec Kiev.

Les détails de la nouvelle mouture ne sont pas connus mais, selon le président ukrainien, elle implique des concessions territoriales de la part de l'Ukraine en échange de garanties de sécurité occidentales.

Vendredi, le président russe Vladimir Poutine a affirmé que "la balle" était "dans le camp" de Kiev et de ses alliés européens, la Russie ayant déjà accepté des "compromis" au cours de ses propres pourparlers avec les Américains.

Il s'est félicité des gains territoriaux obtenus dans l'est de l'Ukraine par les forces russes, assurant que celles-ci "avancent sur toute la ligne de contact".

Les troupes russes ont accéléré cette année leurs conquêtes sur le front en Ukraine, dont elles contrôlent environ 19% du territoire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse Romande

Trois hôpitaux romands veulent valoriser le vécu des patients

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L'Ensemble Hospitalier de la Côte, l'Hôpital Riviera-Chablais et le Centre hospitalier Bienne veulent mieux connaître et valoriser le vécu de leurs patientes et patients (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

L'Ensemble Hospitalier de la Côte, l'Hôpital Riviera-Chablais et le Centre hospitalier Bienne s'associent pour mieux comprendre le vécu de leurs patients. Ils lancent un modèle de suivi de la qualité des soins.

Ce projet est porté par SPX, une association internationale active dans la promotion de l'expérience du patient. L'idée consiste à développer "des questionnaires fiables et faciles à utiliser", puis "d'évaluer scientifiquement" la qualité perçue des soins, mais aussi de "guider la prise de décision clinique et d'orienter les ressources vers ce qui crée le plus de valeur" pour les patients, relèvent les trois hôpitaux dans leur communiqué.

Le projet, qui bénéfice notamment du soutien de la fondation Leenaards, est prévu pour deux ans. Il est déployé dans onze domaines comme la maternité, la chirurgie de la hanche ou du genou, le dépistage du cancer du sein, la prise en charge de la sclérose en plaques ou encore le diagnostic d'Alzheimer.

"A la suite de cette phase, il pourra servir d'exemple pour davantage de domaines et d'autres hôpitaux dans toute la Suisse", relèvent les partenaires du projet.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

La Ville de Genève veut "briller" pour le Nouvel An

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La Ville de Genève organise à nouveau une fête au bord du lac le 31 décembre pour marquer le passage à 2026. Cette St-Sylvestre est placée sous le signe de "Ensemble on brille!" (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La Ville de Genève organise à nouveau une fête au bord du lac le 31 décembre pour marquer le passage à 2026. Le quai Gustave-Ador accueillera des scènes musicales, un karaoké, des foodtrucks et un feu d'artifice. Cette St-Sylvestre est placée sous le signe de "Ensemble on brille!".

Deux grands bars et une quinzaine de stands de restauration seront ouverts dès 20h00. Le programme artistique démarrera lui, à 21h00 pour durer jusqu'à 02h00 le 1er janvier. Les trois scènes DJ proposeront des genres distincts: "italo-disco", avec notamment le collectif berlinois Toy Tonics, "latin rave", une scène exclusivement féminine, et "glitzy", avec un karaoké participatif.

Un feu d'artifice offert par un grand hôtel de la place illuminera la rade à minuit. Place ensuite au dancefloor tendance 80' pour fêter la nouvelle année.

A cette occasion, le quai Gustave-Ador sera entièrement fermé à la circulation. Le pont et le quai du Mont-Blanc ainsi que le quai Wilson seront, eux, fermés entre 22h00 et 01h00.

www.geneve.ch/actualites/reveillon-2025-bord-eau

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Quatre Suisses sur cinq portent des lunettes ou des lentilles

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Avec l'âge, presque personne ne peut se passer d'une aide à la lecture : dans le groupe d'âge des 55-74 ans, 89% portent des lunettes ou des lentilles de contact. (photo d'archives) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

En Suisse, quatre personnes sur cinq portent des aides visuelles. Selon une étude, cette proportion a légèrement baissé au cours des quatre dernières années, mais reste à un niveau élevé. Le vieillissement de la société et les écrans en sont la cause.

Comme l'a indiqué cette semaine l'Association suisse d'optométrie et d'optique (Optiquesuisse), la part des porteurs de lunettes et de lentilles de contact en Suisse a globalement diminué de 1,9% depuis 2021, pour atteindre 81%. Parmi eux, 53% portent des lunettes, 22% des lunettes et des lentilles de contact, 3% uniquement des lentilles et 3% ont subi une correction visuelle chirurgicale.

L'un des facteurs expliquant le pourcentage élevé de personnes ayant besoin d'une aide visuelle est l'évolution démographique. En raison de la presbytie naturelle, presque tout le monde a besoin d'une aide visuelle avec l'âge. Dans le groupe des 55 à 74 ans, 89% portent des lunettes ou des lentilles de contact, selon l'étude.

L'utilisation quotidienne d'appareils numériques tels que les smartphones entraîne également le besoin d'une correction, même chez les plus jeunes. En effet, le fait de regarder constamment de près sollicite énormément l'interaction entre les yeux et le cerveau. De ce fait, les légères amétropies, qui pourraient sans cela être facilement compensées dans la vie quotidienne, se manifestent parfois par des troubles.

Les enfants sont examinés plus tôt

Les enfants et les jeunes sont aujourd'hui contrôlés plus souvent et plus tôt qu'auparavant. Alors qu'en 2001, plus de la moitié des 16-24 ans déclaraient ne pas avoir besoin d'aide visuelle, ils ne sont plus qu'un tiers aujourd'hui.

En revanche, l'étude ne permet pas de conclure à une augmentation de la myopie chez les jeunes, comme cela a parfois été pronostiqué ces dernières années. La répartition des besoins de correction pour la vision de près ou de loin est restée relativement constante dans le groupe d'âge des 16 à 24 ans au cours des deux dernières décennies.

Malgré tout, Optiquesuisse met en garde contre le temps d'écran régulier et prolongé chez les enfants et les adolescents: cela peut affecter durablement la capacité visuelle pendant la phase de croissance. "Les yeux des enfants se développent le mieux en jouant à la lumière naturelle", explique l'association.

Pour cette étude, l'institut NIQ GfK, mandaté par Optiquesuisse, a interrogé en ligne en novembre 2025 1049 personnes âgées de 16 à 74 ans en Suisse alémanique et en Suisse romande.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Bondi: hommage aux victimes de l'attentat des sauveteurs en mer

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Les sauveteurs en mer de Bondi ont rendu hommage aux victimes de l'attentat de Bondi, à Bondi Beach. (© KEYSTONE/EPA/BIANCA DE MARCHI)

Des centaines de sauveteurs en mer australiens ont rendu hommage samedi aux 15 personnes tuées lors de l'attentat antisémite de la plage de Bondi, à Sydney.

L'émotion reste considérable six jours après la pire tuerie depuis près de 30 ans en Australie, dont les autorités multiplient les annonces pour éviter qu'un tel drame puisse se reproduire.

Après plusieurs jours marquées par les poignantes obsèques des victimes, âgées de 10 à 87 ans, des secouristes vêtus de leur uniforme rouge et jaune ont fait face à l'océan à Bondi samedi en silence.

Certains d'entre eux ont fondu en larmes, tandis qu'un hélicoptère de leur club survolait la plage mythique, emblématique du mode de vie australien.

"Nous n'oublierons jamais"

Le 14 décembre, deux assaillants, Sajid Akram, 50 ans, un Indien entré sur visa en Australie en 1998 et son fils Naveed Akram, né dans le pays il y a 24 ans, y ont tué 15 personnes et blessé des dizaines d'autres en ouvrant le feu contre un rassemblement pour la fête juive d'Hanouka.

Selon les autorités, l'attentat dont sont suspectés le père, abattu sur place, et le fils, arrêté et inculpé, a été motivé par l'idéologie du groupe djihadiste État islamique.

Dans un message, les secouristes ont fait part de leur "compassion pour la communauté juive prise pour cible".

"Nous rendons hommage à celles et ceux qui ont perdu la vie, qui ont risqué la leur et qui en ont sauvé: nous n'oublierons jamais", est-il encore écrit.

Le courage des sauveteurs pendant l'attaque, pour mettre des gens à l'abri, apporter les premiers soins aux victimes ou sortir des nageurs paniqués de l'eau, a été largement salué.

Une photo devenue virale montre l'un deux, Jackson Doolan, courir pieds nus sur la route depuis une plage voisine pour apporter un défibrillateur.

Vendredi, ce sont des centaines de centaines de surfeurs et nageurs qui s'étaient rassemblés dans les vagues de Bondi en hommage aux victimes.

Et dimanche, une semaine après l'attentat, la population de tout le pays-continent est invitée à allumer des bougies à 18h47 (08h47 en Suisse), à l'heure où tout a basculé sur la plage.

Ce sera "un moment pour faire une pause, réfléchir et affirmer que la haine et la violence ne définiront jamais qui nous sommes en tant qu'Australiens", a expliqué le Premier ministre Anthony Albanese.

Une journée de deuil national se tiendra par ailleurs en 2026, a-t-il dit.

Perquisitions

Concernant l'enquête, des perquisitions ont eu lieu encore vendredi en Australie, la police étudiant les contacts et fréquentations des assaillants avant l'attentat.

"Aucune piste ne sera négligée, en Australie comme à l'étranger", a assuré samedi la commissaire de la police fédérale Krissy Barrett devant la presse.

Les enquêteurs s'intéressent en particulier au voyage aux Philippines des suspects, qui ont passé plusieurs semaines en novembre dans la région de Mindanao (sud), considérée comme abritant des foyers d'insurrection islamiste.

Les autorités sont sous pression pour répondre au choc suscité par l'attaque, mais aussi aux critiques de membres de la communauté juive estimant que leur cri d'alarme face à la montée de l'antisémitisme depuis le 7-Octobre n'avait pas été entendu.

Après avoir annoncé qu'il comptait durcir la législation contre l'extrémisme, Anthony Albanese a annoncé vendredi un programme de rachat d'armes à feu en circulation.

Le port d'armes est déjà très strictement contrôlé en Australie depuis la fusillade qui avait fait 35 morts en 1996 à Port Arthur en Tasmanie.

Samedi, le dirigeant régional de l'Etat de Nouvelles-Galles du Sud, Chris Minns, a annoncé vouloir interdire certains slogans pro-Palestiniens comme "Mondialisez l'intifada" - en référence aux soulèvements palestiniens contre l'armée israélienne en 1987-1993 puis au début des années 2000 - ou des symboles comme le drapeau de l'Etat islamique.

Il veut également renforcer les pouvoirs de la police de ce territoire où se trouve Sydney pour ordonner aux gens de se découvrir le visage.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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