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Maths et brillant va vous en mettre plein la vue au parc des Bastions

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@Judith Monfrini

Maths et brillant, le traditionnel mapping scientifique, qui a lieu au parc des Bastions, a débuté dimanche soir à Genève. Une animation ludique et colorée qui arrive à la conclusion que tout est question de mathématiques. 

Maths et brillant vous en met plein les mirettes depuis ce dimanche et jusqu'au 21 novembre tous les soirs sur le mur de l’Uni Bastions à Genève. Le traditionnel mapping qui accompagne le colloque Wright aborde le thème des mathématiques cette année. Des artistes de Rennes, les Spectaculaire allumeur d’images ont conçu ce spectacle lumineux qui se joue trois fois par soir, à 18, 19 et 20 heures.  C’est le 4ème mapping organisé par le colloque Wright, un colloque scientifique qui a lieu tous les deux ans depuis 1984. Les explications de Fanen Sisbane, chargée de projet au service de communication à l’Université de Genève.

Fanen SisbaneChargée de projet au service de communication à l'UNIGE

Des artistes venus de Rennes, qui ont été en plein réglage toute la semaine dernière. Ecoutez Simon Vilmen, de Spectaculaire allumeur d’images, une entreprise de Mapping basée près de Rennes.

Simon VilmenSpectacular allumeur d'images

Le colloque Wright est un colloque scientifique qui existe depuis 1984 et il a pour but de démocratiser la science comme l’explique Fanen Sisbane, chargée de projet au service de communication à l’UNIGE.

Fanen SisbaneChargée de projet au service de communication à l'UNIGE

La première conférence scientifique a lieu ce mardi à Uni Dufour. Hugo Duminil Copin répondra à la question : "Le hasard existe-t-il vraiment ?"

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International

Stormy Daniels témoigne au procès de Donald Trump à New York

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Les avocats de Donald Trump réfutent tout délit pénal. (© KEYSTONE/AP/Sarah Yenesel)

L'ancienne star de films X Stormy Daniels, personnage central du procès aux lourds enjeux politiques de Donald Trump à New York, a commencé à témoigner mardi. Elle a raconté devant le tribunal l'histoire de sa rencontre avec l'ancien président des Etats-Unis.

Un peu nerveuse, l'actrice de 45 ans a commencé à détailler avec force détails ce jour de 2006 où, en marge d'une compétition de golf, elle a fait la rencontre de Donald Trump, alors une figure du monde des affaires et de la jet-set.

"C'était une très brève rencontre", puis, la sécurité "(m'a) dit 'M. Trump voudrait savoir si je souhaitais dîner avec lui'", a-t-elle raconté, devant des jurés visiblement absorbés par son récit, et Donald Trump, demeuré impassible lorsqu'elle est entrée dans la salle d'audience.

Stormy Daniels, de son vrai nom Stephanie Clifford, affirme avoir eu ensuite une relation sexuelle avec le milliardaire dans la suite de son hôtel, ce que le républicain réfute catégoriquement. Durant son témoignage, les procureurs ont montré une photo devenue célèbre où Donald Trump et elle posent ensemble.

L'actrice a détaillé la conversation qu'ils ont eue dans la suite de l'hôtel, "une chambre d'hôtel qui faisait trois fois la taille de mon appartement", où elle a trouvé Donald Trump "habillé d'un pyjama en soie ou satin", dont elle s'est souvenue s'être moqué. Elle parle d'une conversation plutôt badine, durant laquelle Donald Trump s'intéresse à elle, tout en lui confiant, affirme-t-elle, qu'avec son épouse Melania "nous ne dormons pas dans la même chambre".

Télé-réalité

Puis, comme elle l'a déjà raconté, Donald Trump lui aurait fait miroiter une apparition dans sa célèbre émission de téléréalité, "The Apprentice".

La rencontre est au coeur de l'affaire. Dix ans plus tard, à la fin de la campagne présidentielle de 2016, Stormy Daniels a reçu 130'000 dollars pour se taire sur cet épisode, un paiement dissimulé au centre du dossier.

L'argent avait été versé par l'ancien avocat du milliardaire, Michael Cohen, via une société-écran. Il avait été remboursé en 2017 par le groupe d'entreprises de Donald Trump, la Trump Organization, des dépenses enregistrées en "frais juridiques" qui sont au centre des poursuites.

Depuis le 15 avril, le candidat des républicains à la présidentielle de 2024 comparaît devant un jury pour 34 falsifications de documents comptables, qui pourraient lui valoir la première condamnation pénale d'un ancien président des Etats-Unis et, en théorie, une peine de prison.

Même condamné, il pourrait toujours se présenter le 5 novembre contre Joe Biden.

Le paiement lui-même n'est pas contesté, mais les avocats de Donald Trump réfutent tout délit pénal.

Stormy Daniels devrait témoigner pendant plusieurs heures et fera probablement l'objet d'un contre-interrogatoire serré de la défense.

Message effacé

L'une des avocates de Donald Trump, Susan Necheles, a plaidé d'emblée mardi matin pour que Stormy Daniels ne puisse pas évoquer de relation sexuelle avec son client. "C'est excessivement préjudiciable", a-t-elle ajouté.

La procureure Susan Hoffinger lui a répondu que les détails pourraient être laissés de côté mais qu'il était "important d'établir qu'il y a eu un acte sexuel et ce qu'elle a ressenti".

Depuis que le paiement a été révélé par le Wall Street Journal en janvier 2018, en plein mandat présidentiel de Donald Trump, ce dernier a toujours démenti une relation avec l'ancienne star américaine de films pornographiques.

Il a attaqué sa crédibilité et l'a affublée du surnom de "face de cheval".

Quelques heures plus tôt mardi, une publication sur le compte de Donald Trump sur son réseau Truth Social a été effacée. L'ancien président des Etats-Unis s'y plaignait, sans le nommer, du témoin attendu dans la matinée en protestant du faible temps mis à disposition de ses avocats pour préparer ce moment.

Le juge a interdit à Donald Trump de s'en prendre publiquement aux témoins ou aux jurés en dehors de la salle d'audience et lui a déjà infligé dix amendes de 1000 dollars, soit le montant maximal, pour autant de violations de cette interdiction.

Lundi, il l'a menacé pour la deuxième fois de l'incarcérer s'il recommençait.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

TikTok porte plainte contre les États-Unis

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En 2020, TikTok avait réussi à bloquer un décret similaire de l'ancien président Donald Trump (archives). (© KEYSTONE/AP/Michael Dwyer)

TikTok et sa maison mère chinoise ByteDance ont porté plainte mardi contre les États-Unis. Ils estiment que la loi posant un ultimatum à la plateforme de vidéos, qui risque de la bannir du pays l'an prochain, est "inconstitutionnelle", d'après le document judiciaire.

Washington a adopté fin avril un texte qui oblige ByteDance à vendre TikTok dans un délai de douze mois, faute de quoi l'application utilisée par 170 millions d'Américains serait interdite.

Le réseau social et de nombreuses personnalités et ONG considèrent que cette loi viole la liberté d'expression de ses utilisateurs, garantie par le premier amendement de la Constitution américaine.

"Pour la première fois dans l'histoire, le Congrès a adopté une loi qui bannit une plateforme d'expression, et elle seule, de façon permanente à l'échelle nationale, et qui interdit à chaque Américain de participer à une communauté en ligne unique comptant plus d'un milliard de personnes dans le monde", déclarent les avocats de l'entreprise dans la plainte déposée devant un tribunal fédéral de Washington.

Après le vote par les élus et la promulgation par la Maison-Blanche, TikTok avait prévenu qu'elle utiliserait toutes les voies légales possibles contre la loi baptisée "Protecting Americans From Foreign Adversary Controlled Applications Act" ("protéger les Américains d'applications contrôlées par des adversaires étrangers").

Soupçons d'espionnage

Les promoteurs de ce texte font valoir des soupçons de manipulation et d'espionnage des utilisateurs américains par les autorités chinoises via TikTok.

Selon la loi, la plateforme dispose de 270 jours pour trouver de nouveaux investisseurs non chinois, faute de quoi elle sera interdite aux États-Unis. La Maison-Blanche peut accorder un délai supplémentaire de 90 jours. La bataille judiciaire pourrait monter jusqu'à la Cour suprême.

En 2020, TikTok avait réussi à bloquer un décret similaire de l'ancien président Donald Trump. Elle avait alors déposé un recours et un juge avait suspendu provisoirement le décret, estimant que les raisons invoquées pour l'interdiction étaient exagérées et la liberté d'expression menacée.

La nouvelle loi vise à contourner les difficultés rencontrées précédemment. Des experts estiment que la Cour suprême pourrait être sensible aux arguments de sécurité nationale avancés par les élus, sans certitude.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Les étudiants propalestiniens veulent passer la nuit à l'UNIGE

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Une bonne centaine d'étudiants occupent le hall du bâtiment UniMail, à Genève, et demandent à l'Université de Genève de prendre position sur le conflit à Gaza. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Une bonne centaine d'étudiants pro-palestiniens qui occupent depuis mardi midi le hall d'UniMail, à Genève, veulent passer la nuit dans le bâtiment. Ils l'ont indiqué à l'issue d'une assemblée convoquée par la Coordination étudiante Palestine-Université de Genève.

La coordination s'est dite ouverte au dialogue et s'est déclarée même prête à des concessions. Mais pour l'instant, le rectorat de l'Université de Genève (UNIGE) n'a pas répondu à ses revendications.

Le mouvement pro-palestinien réclame notamment une liste complète des collaborations de l'UNIGE avec des institutions académiques israéliennes, la suspension de toute collaboration de l'alma mater avec des universités et des instituts de recherche israéliens et une politique active d'accueil d'étudiants et de chercheurs palestiniens.

Le professeur Frédéric Esposito, du Global Studies Institute, a endossé le costume de médiateur entre les étudiants et le rectorat dans cette affaire. Il rappelle qu'UniMail ferme à 22h00. Mardi, en fin d'après-midi, il partait rendre compte au rectorat des dernières intentions de la coordination pro-palestinienne.

Le professeur Esposito a proposé d'inviter des représentants de la coordination à une entrevue avec le rectorat, notamment pour parler des collaborations entre universités qui sont essentielles et qui ne peuvent pas être suspendues du jour au lendemain. Les universités fonctionnent en réseau, a-t-il rappelé.

De nombreux drapeaux palestiniens ont été déployés à tous les étages du bâtiment d'UniMail, ainsi que des banderoles avec les messages: "Free Palestine, stop genocide" et "From the river to the sea, Palestine will be free". Ce dernier message pose problème au rectorat de l'UNIGE, a relevé M.Esposito.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le patron russe de LockBit identifié et sanctionné

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LockBit a notamment ciblé des infrastructures critiques et de grands groupes industriels (image symbolique). (© KEYSTONE/DPA/SINA SCHULDT)

Le responsable de LockBit, considéré comme le groupe de cybercriminels le "plus prolifique au monde", et récemment démantelé lors d'une opération internationale, a été identifié. Le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Australie ont imposé des sanctions à son égard.

Ces sanctions "visent le ressortissant russe Dmitri Khoroshev qui a été identifié, dans le cadre d'une enquête internationale (...), comme l'un des dirigeants de LockBit", détaille le gouvernement britannique dans un communiqué.

Le groupe LockBit est responsable d'"avoir extorqué plus d'un milliard de dollars à des milliers de victimes dans le monde", précise Londres.

Washington indique de son côté avoir pris des sanctions contre Dmitri Khoroshev "pour son rôle dans le développement et la distribution" de LockBit.

"La Russie continue d'offrir un refuge aux cybercriminels, où des groupes tels que LockBit sont libres de lancer des cyberattaques contre les États-Unis, leurs alliés et partenaires", affirme le département du Trésor dans un communiqué.

"Les États-Unis et leurs partenaires du monde entier sont déterminés à démanteler l'écosystème des pirates informatiques, notamment en révélant l'identité des auteurs des cyberattaques contre les États-Unis", a averti le sous-secrétaire au Trésor chargé du terrorisme et du renseignement financier, Brian Nelson.

Gels d'avoirs et interdictions de voyager

LockBit avait ciblé les infrastructures critiques et les grands groupes industriels, avec des demandes de rançon allant de cinq à 70 millions d'euros. "Depuis sa création en septembre 2019 jusqu'à aujourd'hui", il était "le groupe de cybercriminels le plus prolifique au monde", selon le ministère américain de la Justice.

"L'administrateur et développeur de LockBit, un ressortissant russe, est désormais soumis à une série de gels d'avoirs et d'interdictions de voyager", émis par le Royaume-Uni, les Etats-Unis, et le Canada, a précisé l'agence européenne de police Europol.

"Les données obtenues à partir de leurs systèmes ont montré que plus de 7000 attaques ont été menées" par LockBit "entre juin 2022 et février 2024". Les cinq pays les plus touchés ont été les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne et la Chine", détaille Europol.

Le département américain de la Justice a par ailleurs dévoilé un acte d'accusation visant Dmitri Khoroshev, "pour son rôle présumé de créateur, développeur et administrateur du groupe de ransomware LockBit depuis sa création en septembre 2019 jusqu'à aujourd'hui".

Après le démantèlement du groupe en février, lors d'une opération internationale, "aujourd'hui, nous allons plus loin", a commenté le ministre de la Justice, Merrick Garland.

Hôpitaux visés

Toujours à Washington, le département d'État a annoncé une récompense pouvant aller jusqu'à 10 millions de dollars "pour les informations permettant d'identifier ou de localiser toute personne occupant un poste de direction clé au sein du groupe LockBit".

En 2023, LockBit avait notamment attaqué l'opérateur postal britannique et un hôpital canadien pour enfants, mais aussi, en France, les hôpitaux de Corbeil-Essonnes et Versailles en région parisienne.

Les cybercriminels mettaient à disposition de leurs "affiliés" outils et infrastructures leur permettant de mener des attaques. Celles-ci consistaient à infecter le réseau informatique des victimes pour voler leurs données et crypter leurs fichiers.

Une rançon était exigée en cryptomonnaies pour décrypter et récupérer les données, sous peine de publication des données des victimes.

L'opération internationale visant à démanteler LockBit rassemble la France, l'Allemagne, les Pays-Bas, la Suède, l'Australie, le Canada, le Japon, le Royaume-Uni, les Etats-Unis et la Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Crédit accordé pour le Centre sécuritaire de la gare de Lausanne

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Le chantier du bâtiment qui abritera le Centre de compétences sécuritaire a démarré sous la gare de Lausanne (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Grand Conseil vaudois a accepté mardi d'octroyer un crédit de 4,1 millions de francs pour la mise en place d'un Centre de compétences sécuritaire (CCS) en gare de Lausanne. Des réticences se sont fait entendre à gauche de l'hémicycle quant au risque de détentions abusives dans ces locaux.

Le futur bâtiment nommé "Les Epinettes" est actuellement en cours de construction au sud-ouest de la gare. Il permettra de regrouper sous un même toit la police cantonale vaudoise (PolCant), la police des transports (STP) et l'Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF), a expliqué le député UDC Fabrice Tanner au nom de la majorité de la commission.

Pour ce faire, deux étages seront partiellement loués aux CFF, propriétaires du site. Prévus pour l'automne 2026, les locaux abriteront des surfaces administratives. Y seront également installées une cellule de rétention équipée d'une couchette et d'un WC ainsi que huit salles de garde à vue, (contre deux cellules et trois locaux de garde à vue actuellement).

Collaboration favorisée

Les locaux actuels n'ont pas évolué depuis des décennies et la Polcant a besoin d'une zone à partir de laquelle elle peut se déployer, tant pour les activités courantes que pour les manifestations, a souligné l'UDC.

Le projet permet de conserver un point d'appui sur place, la grande circulation de personnes et les activités commerciales sur le site demandant un travail policier important. La création d'un espace mutuel entre les différents partenaires sécuritaires est pertinente et elle favorise la collaboration.

Le projet ne risque pas de prendre du retard, malgré celui pris par les travaux de transformation de la gare. Le coût est estimé à 11,5 millions de francs, dont 4,1 millions à la charge du canton, a précisé M. Tanner.

Craintes pour les conditions de détention

Pas convaincue, une minorité des députés a demandé de retravailler le projet. Elle craint notamment que les conditions de détention ne soient pas acceptables pour les personnes interpellées, a relevé Hadrien Buclin (Ensemble à gauche et POP).

Le conseiller d'Etat Vassilis Venizelos s'est engagé à ce que les gardes durent tout au plus quelques heures. Mais la tendance ces dernières années est d'utiliser des locaux de police pour des périodes de détention prolongée, ce en raison de la forte surcharge des établissements de détention, a-t-il rappelé.

Différents mouvements s'en inquiètent. En 2022 déjà, le collectif "Droit de rester" dénonçait un "projet dangereux et inhumain", visant la création d'un "centre de sécurité géant", a-t-il rappelé. Un groupe de membres du collectif "Gare à toi" a d'ailleurs demandé aux députés de refuser ce crédit mardi matin devant le Grand Conseil.

Conception minérale

Sur le plan environnemental, la minorité estime que le bâtiment n'est pas en phase avec les objectifs de réduction de CO2 affichés par les autorités cantonales. Hadrien Buclin a cité entre autres un parking enterré sur quatre étages, des nuisances routières et sonores dans un quartier à forte densité d'habitants, ainsi qu'un nombre important de façades borgnes.

"En matière de végétalisation, on n'a pas appris beaucoup de Plateforme 10", a commenté le Vert Pierre Zwahlen regrettant "une conception entièrement minérale". Laure Jaton (PS) a, elle, émis des réserves sur l'absence d'aménagements extérieurs. La Vert'libérale Graziella Schaller a regretté un projet nébuleux, notamment sur le plan de sa situation géographique.

Favorable au CCS, la droite de l'hémicycle a estimé au contraire qu'il s'agissait d'un regroupement indispensable et que le projet répondait à un "besoin croissant", selon les termes de l'UDC Cédric Weissert.

Pas de détention

"Tout ce qui se fera là-bas se fait déjà, mais de façon regroupée", a précisé la conseillère d'Etat Isabelle Moret. Dans ces locaux, pas de cuisine, ni d'infirmerie. Il n'y aura pas de détention, mais de la garde à vue. La zone carcérale de la police cantonale reste à la Blécherette, a-t-elle assuré.

Au vote, une bonne majorité s'est prononcée en faveur de ce crédit. Le deuxième débat a été refusé mardi et aura lieu ultérieurement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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