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Actualité

Elena Quirici portera le drapeau suisse

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Un honneur pour Elena Quirici (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Elena Quirici portera ce dimanche le drapeau suisse lors de la cérémonie de clôture des Jeux de Tokyo. Avec ce choix, Swiss Olympic a tenu à récompenser les qualités de battante de l'Argovienne.

Samedi, Elena Quirici a échoué d'un souffle dans la course aux demi-finales pour se classer cinquième. On rappellera que le karaté figurait pour la première et... la dernière fois au programme olympique. "L'esprit combatif qu'Elena a montré sur son chemin vers les Jeux Olympiques et sa performance pleine de courage lors du tournoi olympique m'ont fasciné. Elle est donc un modèle pour de nombreuses athlètes féminines de notre pays et mérite le rôle de porte-drapeau", explique Ralph Stöckli, le Chef de Mission de Swiiss Olympic.

Elena Quirici succède à Nino Schurter qui avait porté le drapeau suisse lors de la cérémonie de clôture des Jeux de Rio alors qu'il venait de remporter l'or en VTT. A Tokyo, l'épéiste Max Heinzer et la sprinteuse Mujinga Kambundji avaient porté ensemble le drapeau suisse lors de la cérémonie d'ouverture.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le Festival de Cannes embarque Omar Sy dans son jury

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L'acteur français Omar Sy débattra avec les autres membres du jury pour départager les 22 films en compétition (archives). (© KEYSTONE/AP/PETROS GIANNAKOURIS)

A une quinzaine de jours de la course à la Palme d'Or, le 77e Festival de Cannes a annoncé lundi la composition de son jury, dont fait partie Omar Sy, l'un des visages du cinéma français dans le monde.

Le festival, qui se tiendra du 14 au 25 mai, a choisi quatre hommes et quatre femmes qui officieront sous la présidence de la réalisatrice Greta Gerwig, figure du cinéma d'auteur américain devenue reine du box-office avec "Barbie" l'an dernier. A 40 ans, elle est la plus jeune présidente depuis Sofia Loren en 1966.

Dans son jury, est présent l'acteur français Omar Sy, 46 ans, qui franchit une nouvelle marche dans une carrière exceptionnelle depuis ses premiers pas dans l'humour potache ("Omar et Fred") jusqu'à son début de carrière à Hollywood, comme acteur et producteur. En passant par ses succès populaires en France ("Intouchables").

Cannes a choisi l'une des stars d'un cinéma tricolore qui se veut plus représentatif de la diversité de la société: Omar Sy est né en banlieue parisienne, à Trappes, de parents venus de la frontière entre le Sénégal et la Mauritanie.

L'acteur, qui débattra avec les autres membres du jury pour départager les 22 films en compétition, devrait faire sensation sur le tapis rouge: il est à la fois l'une des personnalités préférées des Français et un interprète prisé dans le monde, notamment depuis le succès de la série de Netflix "Lupin".

Répétition générale avant les Jeux

A ses côtés siègera l'actrice française Eva Green, 43 ans, connue aussi bien pour ses rôles en France (dernièrement celui de Milady dans "Les Trois Mousquetaires") qu'à Hollywood, chez Tim Burton notamment, ou aux côtés de Daniel Craig dans les James Bond.

Un an après avoir foulé le tapis rouge pour "Killers of the Flower Moon" de Martin Scorsese, rôle pour lequel elle a été nommée aux Oscars, l'actrice Lily Gladstone, issue d'un peuple amérindien, rejoint elle aussi le jury, dont elle est à 37 ans la benjamine.

S'ajoutent à cette liste l'acteur italien Pierfrancesco Favino ("Le Traître"), 54 ans, le réalisateur japonais Hirokazu Kore-Eda, 61 ans, Palme d'Or en 2018 pour "Une affaire de famille", le cinéaste espagnol Juan Antonio Bayona ("Le cercle des neiges", sorti en France sur Netflix), 48 ans, la réalisatrice libanaise Nadine Labaki, 50 ans, et la scénariste et photographe turque Ebru Ceylan, 48 ans.

Avec son jury au complet, ses 22 films en compétition pour succéder à "Anatomie d'une chute" de Justine Triet, Palme d'Or en 2023, et plus d'une centaine de films annoncés, y compris dans les sélections parallèles, la grande fête mondiale du cinéma est désormais prête à ouvrir. A deux mois des Jeux olympiques, cet évènement majeur sera une répétition générale en matière de sécurité pour les autorités.

Outre les dizaines de milliers de festivaliers, cette année encore, de très grands noms du cinéma y sont attendus: le créateur de Star Wars, Georges Lucas, pour une Palme d'Or d'honneur, le parrain de Hollywood Francis Ford Coppola, en quête d'une troisième Palme pour "Megalopolis", des acteurs stars comme Demi Moore, Emma Stone, Selena Gomez, Adam Driver ou Richard Gere.

Le top départ sera donné le 14 mai au soir avec la cérémonie d'ouverture, présentée par Camille Cottin, et la projection de la dernière comédie de Quentin Dupieux, avec Léa Seydoux, Vincent Lindon et Louis Garrel, "Le deuxième acte", qui sort en même temps en salle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Des tornades font au moins cinq morts dans le centre des Etats-Unis

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Plusieurs habitations ont été totalement détruites après que des tornades ont frappé plusieurs Etats du centre des Etats-Unis. (© KEYSTONE/AP/Ken Miller)

Au moins cinq personnes ont été tuées par certaines des nombreuses tornades qui ont balayé une partie des grandes plaines du centre des Etats-Unis. C'est ce qu'ont indiqué dimanche les autorités locales.

Après que 78 tornades ont été enregistrées vendredi, principalement dans l'Iowa et le Nebraska, 35 autres ont été dénombrées samedi du nord du Texas au Missouri, selon les services météorologiques américains (NWS).

Le gouverneur de l'Oklahoma, Kevin Stitt, a confirmé dimanche la mort de quatre personnes dans l'Etat. Une femme a été tuée dans la petite ville de Sulphur, particulièrement touchée, a-t-il indiqué en conférence de presse.

Des photos et vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des dizaines d'habitations totalement détruites et des véhicules écrasés. A plus de 100 kilomètres de là, à Holdenville, au moins deux autres personnes ont perdu la vie, d'après le département de gestion des catastrophes, les médias locaux faisant état d'un nourrisson de quatre mois parmi les victimes.

Véhicules retournés

Les opérations de déblaiement se poursuivent dimanche. Une quatrième personne a péri sur une autoroute à Marietta, dans le même Etat. Des diffusions par les médias locaux ont notamment laissé voir deux semi-remorques retournés et un entrepôt ouvert en deux.

Le gouverneur de l'Oklahoma a déclaré l'état d'urgence pour 30 jours. De fortes précipitations ont par ailleurs été enregistrées dans plusieurs localités et les alertes météorologiques restaient en vigueur dimanche, avec notamment un risque de crues soudaines, grêle et de tornades.

Et dans l'Iowa, un homme a succombé à ses blessures à l'hôpital, a annoncé sa famille au média KETV NewsWatch 7, portant le bilan à au moins cinq morts. Plus de 25'000 foyers étaient privés d'électricité dans le Texas et plus de 19'000 en Oklahoma dimanche après-midi, selon le site PowerOutage.

Les tornades, phénomène météorologique aussi impressionnant que difficile à prévoir, sont relativement fréquentes aux Etats-Unis, en particulier dans le centre et le sud du pays. Il est toutefois très rare que des tornades de grande ampleur se succèdent les unes aux autres, selon les météorologues.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

"Le CICR ne reprendra pas le mandat de l'UNRWA", dit son directeur

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Pierre Krähenbühl a dirigé l'UNRWA entre 2014 et 2019 avant de revenir au CICR en 2021 comme envoyé spécial de la présidence à Pékin. Il est, depuis avril, directeur général de l'organisation. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) ne remplacera pas l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA). "On a déjà suffisamment à faire sans chercher à se substituer à d'autres organisations", affirme lundi le directeur du CICR Pierre Krähenbühl.

Le Genevois réagissait dans Le Temps à la volonté d'élus de l'UDC et d'une partie du PLR de voir le CICR remplacer l'UNRWA, sous le feu des critiques depuis plusieurs semaines.

"Nous avons des mandats totalement différents. L'UNRWA a reçu le sien de l'Assemblée générale de l'ONU, le CICR des Conventions de Genève, indique-t-il. Le CICR ne reprendra donc pas le mandat de l'UNRWA". L'organisation a "déjà suffisamment à faire sans chercher à se substituer à d'autres organisations", ajoute-t-il.

"Pas de problèmes d'inconduite"

Le nouveau directeur général du CICR, et ancien patron de l'UNRWA, est également revenu sur les critiques émises par des sénateurs républicains américains à son encontre. Ceux-ci ont adressé en mars une lettre à l'Assemblée du CICR dans laquelle ils réclament le départ de Pierre Krähenbühl et menacent de couper les fonds américains accordés à l'institution.

Lors de son recrutement, une demande formelle a été adressée à l'ONU pour voir s'il y avait eu des problèmes d'inconduite à la tête de l'UNRWA, assure ce dernier. "La réponse de l'ONU fut claire et formelle: il n'y avait rien", précise-t-il.

Situation financière "stabilisée"

Outre les critiques liées à l'UNRWA, le CICR a été secoué par une grave crise financière. Le budget de l'organisation a été réduit de 700 millions de francs en 2024 et 4000 postes ont été supprimés.

"Les derniers départs ont eu lieu en mars", indique Pierre Krähenbühl, qui évoque une certaine fragilité intérieure sur le plan de la cohésion et de la confiance. Le volume des opérations a également souffert, notamment en Irak, au Sud-Soudan, au Nigeria et ailleurs, dit-il.

Le Genevois affirme toutefois que la situation financière du CICR est désormais stabilisée. "Il y avait deux chantiers à mener au moment de la crise: il fallait procéder à des coupes dans les budgets, mais il fallait aussi en parallèle élaborer une nouvelle stratégie institutionnelle, explique-t-il. D'être parvenu à le faire en une année n'est pas une mince affaire".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La loi sur "l'influence étrangère" devant le Parlement

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Brandissant des drapeaux européens et géorgiens, environ 20'000 personnes se sont rassemblées Place de la République dans le centre de Tbilissi (© KEYSTONE/EPA/DAVID MDZINARISHVILI)

Le Parlement de Géorgie examine lundi un projet de loi sur "l'influence étrangère", au lendemain d'une manifestation qui a rassemblé environ 20'000 personnes à Tbilissi contre ce texte jugé liberticide, et dont l'UE a averti qu'il mettait en péril l'adhésion du pays.

Le projet a fait descendre des milliers de Géorgiens dans les rues depuis qu'il a été déposé au Parlement pour la deuxième fois à la mi-avril par le parti au pouvoir Rêve géorgien. Il est dénoncé pour sa similitude avec une loi adoptée en Russie, qui a permis en quelques années de faire taire l'opposition au président Vladimir Poutine.

Il a également suscité l'inquiétude de Bruxelles qui a averti que l'adoption de ce type de loi pourrait réduire à néant les chances de la Géorgie d'intégrer l'UE. Brandissant des drapeaux européens et géorgiens, environ 20'000 personnes se sont rassemblées dimanche Place de la République dans le centre de Tbilissi, selon un journaliste de l'AFP sur place.

"Marche pour l'Europe"

Les manifestants ont ensuite entamé une "marche pour l'Europe" d'un kilomètre sur la principale avenue de la ville, pour rejoindre le Parlement géorgien. "Je suis ici pour défendre l'avenir de la Géorgie", a confié un des manifestants, Lacha Tckheidzé, 19 ans. "Non à la Russie, non à la loi russe, oui à l'Europe!".

La manifestation largement pacifique a connu un moment de tension quand des manifestants ont tenté de franchir un cordon de police devant le bâtiment du parlement pour y accrocher le drapeau européen, a constaté un journaliste de l'AFP. Après minuit, des centaines de policiers anti-émeutes ont été déployés dans ce secteur de la ville, le ministère de l'Intérieur dénonçant la tournure "violente" prise par la manifestation.

Une première tentative de faire passer ce texte avait échoué il y a un an après des manifestations de masse durant lesquelles la police avait fait usage de gaz lacrymogène et de canons à eau. De précédentes manifestations ces derniers jours ont été dispersées par la police dans les ruelles du centre-ville, les forces de l'ordre frappant et interpellant des manifestants.

La manifestation de dimanche a été organisée à l'appel d'une centaine de groupes de défense des droits de l'homme et de partis d'opposition, restés jusqu'à présent en retrait dans un combat qui mobilisait essentiellement les jeunes. "Les autorités, qui ont réintroduit le projet de loi russe, vont au-delà de ce que permet la Constitution et changent l'orientation donnée au pays, trahissant la volonté invariable du peuple", ont écrit les organisateurs dans un communiqué.

"Incompatible avec le choix européen"

"Cette loi, tout comme ce gouvernement, sont incompatibles avec le choix historique de la Géorgie qui est d'être un membre de l'Union européenne", a dit Nika Gvaramia, le chef du parti d'opposition Akhali, à l'AFP dans la manifestation. "La protestation sincère aujourd'hui de milliers de Géorgiens contre la loi russe est une nouvelle preuve que les Géorgiens sont déjà européens, la Géorgie est déjà dans l'Europe", a écrit pour sa part l'ancien Premier ministre Giorgi Gakharia sur le réseau social X.

Il a appelé le gouvernement à retirer le projet de loi, à "ramener le pays dans le cadre constitutionnel" et à organiser des élections. Le parti au pouvoir a annoncé qu'il organiserait sa propre manifestation lundi, quand le texte doit être examiné en deuxième lecture au Parlement géorgien.

Si elle était adoptée, cette loi contraindrait notamment toute ONG ou tout média recevant plus de 20% de son financement de l'étranger à s'enregistrer administrativement en qualité d'"organisation défendant les intérêts d'une puissance étrangère". La présidente géorgienne, l'ancienne diplomate française Salomé Zourabichvili, en conflit avec le parti au pouvoir mais dont les pouvoirs sont restreints, a assuré qu'elle mettrait le cas échéant son veto à la promulgation de cette loi.

Ancienne république soviétique dans le Caucase, la Géorgie a pris un virage pro-occidental il y a deux décennies, une orientation longtemps portée par l'ex-président Mikheïl Saakachvili aujourd'hui emprisonné. Le parti actuellement au pouvoir, Rêve géorgien, est accusé par l'opposition de ramener insidieusement le pays vers Moscou.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Richard Chassot: "Un rendez-vous à haute valeur sportive"

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Richard Chassot tire un bilan positif du TdR 2024 (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Richard Chassot a dressé un "très bon" bilan du 77e Tour de Romandie, qui s'est terminé dimanche à Vernier.

Le directeur de l'épreuve a aussi présenté les grandes lignes de la prochaine édition, qui pourrait bien passer par la Suisse alémanique.

"L'organisation a très bien fonctionné malgré des conditions météo pas toujours favorables. Heureusement, le froid du début de semaine n'était pas accompagné de précipitations", a-t-il relevé en conférence de presse. "Nous avons présenté un joli programme et j'ai reçu de très bons échos des coureurs, des équipes, et des villes qui nous ont accueillis."

Côté sportif, le directeur du TdR a souligné que la course n'était définitivement plus considérée comme une semaine de "test" en vue des grands Tours. "C'est un rendez-vous à haute valeur sportive. Pour le gagner, il faut aller le chercher", a-t-il déclaré.

Cette lutte acharnée pour la victoire finale fait que les chances de voir des Suisses aux avant-postes se font de plus en plus rares, comme lors de la semaine écoulée. "Ce n'est plus possible de remporter une étape sur un coup de chance comme ça a pu être le cas par le passé. Il faut se préparer longuement à l'avance et être un grand talent pour espérer jouer le général."

Un passage par Bâle?

Interrogé sur le programme de l'édition 2025, Richard Chassot a révélé qu'il souhaitait ardemment faire passer le peloton par la ville de Bâle. "Je viens d'envoyer un SMS à ce sujet", a-t-il lâché. "L'idée serait de fêter les 100 ans qu'aurait eu Jean Tinguely l'année prochaine, car cet artiste a beaucoup travaillé autour de la roue. Nous souhaiterions allier culture, Suisse romande et Suisse alémanique."

Quant au reste du parcours, il devrait contenir un prologue autour de Saint-Imier (BE) et des étapes en boucle à la Grande Béroche (NE) et à Cossonay (VD). Le classement général devrait se jouer entre une étape-reine se terminant une nouvelle fois à Thyon 2000 (comme en 2021 et 2023), et un contre-la-montre final à Genève.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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