Rejoignez-nous

Politique

Arrestation de Carles Puigdemont en Allemagne

Publié

,

le

L'ex-président catalan Carles Puigdemont a été arrêté par la police allemande à la frontière avec le Danemark, selon la police allemande. Parti en exil en Belgique, l'indépendantiste catalan était sous le coup d'un mandat d'arrêt européen lancé par l'Espagne.

Le dirigeant indépendantiste "a été arrêté aujourd'hui à 11h19 par la police autoroutière du Schleswig-Holstein", a déclaré un porte-parole de la police. "Il est maintenant sous la garde de la police", a-t-il ajouté.

"Bien traité"

Cette arrestation a été confirmée par la porte-parole du parti de M. Puigdemont, Anna Grabalosa. "Cela s'est passé au moment où il franchissait la frontière germano-danoise. Il a été bien traité et ses avocats sont là-bas. C'est tout ce que je peux dire", a-t-elle déclaré.

Carles Puigdemont avait fui à Bruxelles fin octobre 2017 pour échapper aux poursuites pour "rébellion" et "sédition" dont il fait l'objet en Espagne, à la suite de la tentative ratée de sécession de la Catalogne l'automne dernier. L'avocat de M. Puigdemont, Jaume Alonso Cuevillas, a précisé sur Twitter que son client avait été interpellé alors qu'il rentrait en Belgique après un séjour en Finlande.

Vendredi, le juge de la Cour suprême espagnole chargé de l'enquête sur la tentative de sécession d'octobre a inculpé 25 responsables séparatistes. Il a aussi lancé des mandats d'arrêt internationaux contre six dirigeants indépendantistes partis à l'étranger, dont M. Puigdemont.

(Source ATS - Photo : ©KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Trump ne s'engage pas à reconnaître les résultats de 2024

Publié

le

Donald Trump ne s'engage pas à reconnaître les résultats de l'élection 2024 (archives). (© KEYSTONE/AP/Paul Sancya)

Le républicain Donald Trump a refusé de s'engager explicitement à reconnaître le résultat de son match retour face à Joe Biden lors de l'élection présidentielle de novembre, selon une interview diffusée jeudi.

"Si tout est conduit de manière honnête, j'accepterai volontiers les résultats", a déclaré l'ancien président, interrogé sur la présidentielle dans le Wisconsin par le Milwaukee Journal Sentinel. "Mais si ce n'est pas le cas, alors il faudra se battre pour le bien du pays."

Ces propos font écho aux déclarations du septuagénaire durant la présidentielle de 2020. Donald Trump n'a jamais accepté sa défaite face à son adversaire démocrate Joe Biden lors de ce scrutin.

"Pour la faire courte: Donald Trump représente un danger pour notre Constitution et pour la démocratie", a affirmé un porte-parole de l'équipe de campagne de Biden, en réagissant à l'interview du milliardaire.

Flou sur d'éventuelles violences

Lors d'un autre échange, publié mardi, le républicain s'était déjà montré très évasif sur la possibilité de violences politiques dans la foulée du scrutin de novembre.

Ses partisans, convaincus de sa victoire lors de la présidentielle de 2020, avaient attaqué le siège du Congrès américain dans un chaos inimaginable. Donald Trump est poursuivi pour son rôle dans cet assaut, et pour avoir tenté d'inverser les résultats du dernier scrutin présidentiel, notamment dans l'Etat de Géorgie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Genève

Le doyen des députés socialistes élu président du Parlement

Publié

le

A Genève, le doyen des députés socialistes a été élu au perchoir du Grand Conseil lors du renouvellement du Bureau jeudi. Alberto Velasco, 76 ans, effectue sa sixième législature parlementaire (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A Genève, le doyen des députés socialistes a été élu au perchoir du Grand Conseil lors du renouvellement du Bureau jeudi. Jusqu'ici vice-président, Alberto Velasco, 76 ans, effectue sa sixième législature parlementaire. Sur les sept membres du bureau, à nouveau trois sont des femmes.

Alberto Veslaco a siégé au Grand Conseil de 1997 à 2009 et il y est de retour depuis 2013. "C'est dire s'il en connaît les rouages comme sa poche", a déclaré sa collègue socialiste Caroline Marti. Emu de devenir premier citoyen du canton, M. Velasco a indiqué qu'il est arrivé en Suisse à l'âge de 13 ans et qu'après son apprentissage, il a pu suivre des cours du soir pour devenir ingénieur.

Dans le respect du tournus, le MCG Thierry Cerutti a accédé à la 1ère vice-présidence. Ce "député atypique", comme l'a qualifié son collègue Sandro Pistis, n'a toutefois pas été élu à la majorité absolue et il n'a récolté que 34 voix au second tour, plus de la moitié des députés ayant voté blanc.

Déjà membre du bureau, la Verte Dilara Bayrak a été élue à la seconde vice-présidence. Les autres membres du bureau sont Francine de Planta (PLR), Patricia Bidaux (Le Centre), Laurent Seydoux (Libertés et justice sociale) et Guy Mettan (UDC).

Dans son discours, la présidente sortante Céline Zuber-Roy a rappelé qu'elle s'était notamment engagée à réduire l'ordre du jour. "En un an, quatre départements ont été traités en entier", a relevé la libérale-radicale, qui s'est aussi félicitée de l'élimination de textes anciens, permettant aux députés "de se concentrer sur des sujets d'actualité."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Politique

Mobilisation d'une centaine d'étudiants pro-palestiniens à l'UNIL

Publié

le

L'occupation pro-palestinienne se déroulait dans le hall d'entrée du bâtiment Géopolis de l'Université de Lausanne (UNIL). (© Keystone/NOEMI CINELLI)

Une centaine d'étudiants pro-palestiniens occupaient jeudi en fin d'après-midi le hall d'entrée du bâtiment Géopolis de l'Université de Lausanne (UNIL). Ils exigent un boycott académique des institutions israéliennes et un cessez-le-feu immédiat et permanent.

Cette action "suit l'exemple des mobilisations sur les campus au Canada, aux Etats-Unis ou encore en France", expliquent les organisateurs dans un communiqué. Des drapeaux palestiniens ont été posés à même le sol, d'autres suspendus en hauteur. L'occupation se déroulait de manière pacifique, a pu constater Keystone-ATS.

"Notre action est spontanée et n'a ni chef ni dirigeant. Les personnes qui occupent le bâtiment universitaire refusent d'être complices du génocide colonial perpétré par le régime d'apartheid israélien. Nous appelons tout le monde à nous rejoindre et aux membres d'autres universités et hautes écoles à se mobiliser également", écrivent les participants dans leur communiqué.

Le recteur de l'UNIL, Frédéric Herman, s'est rendu sur place pour discuter avec les manifestants.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Biden affirme que "l'ordre doit prévaloir" sur les campus

Publié

le

"L'antisémitisme et les menaces contre des étudiants juifs n'ont pas leur place ni sur les campus ni en Amérique", a affirmé président américain Joe Biden. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Joe Biden a estimé jeudi que "l'ordre devait prévaloir" face à une vague de manifestations dans les universités américaines en soutien aux Palestiniens de Gaza.

"Les manifestations violentes ne sont pas protégées, ce sont les manifestations pacifiques qui le sont", a dit le président américain, qui briguera un second mandat face au républicain Donald Trump en novembre.

"Le vandalisme, l'intrusion de force, casser des fenêtres, bloquer des campus, contraindre à l'annulation de cours ou de cérémonies de remise de diplômes, rien de tout cela ne relève de la manifestation pacifique", a énuméré le démocrate de 81 ans. "C'est contraire à la loi".

"En tant que président, je défendrai toujours la liberté d'expression et je défendrai avec autant de force la loi", a-t-il encore déclaré. "Mais l'antisémitisme et les menaces contre des étudiants juifs n'ont pas leur place ni sur les campus ni en Amérique", a affirmé le président américain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Politique

Vaud prévoit 75 millions de francs pour moderniser ses pénitenciers

Publié

le

Le Conseil d'Etat sollicite auprès du Grand Conseil cinq crédits totalisant 74,3 millions de francs, destinés à amorcer la transformation de ses infrastructures pénitentiaires (archives). (© Keystone/DOMINIC FAVRE)

Le Canton de Vaud va investir près de 75 millions de francs pour transformer et moderniser ses prisons. Décliné en cinq crédits et projets, ce montant vise aussi à renforcer la sécurité et pallier le problème de la surpopulation carcérale. Il fait partie d'une première vague d'investissements pour la stratégie pénitentiaire cantonale, a indiqué jeudi le gouvernement.

Chacun des crédits devra être approuvé par le Grand Conseil. Un crédit d'étude complémentaire de 12,6 millions est prévu pour le programme de la nouvelle prison des Grands-Marais à Orbe. Cette somme couvre également les diagnostics archéologiques nécessaires sur le site et ses alentours, précise le Conseil d'Etat.

Un crédit d'ouvrage de 41,4 millions et un crédit d'étude de 4,2 millions sont demandés pour le développement des infrastructures communes au futur Pôle pénitentiaire du Nord vaudois (PPNV). Les établissements de Bois-Mermet et de Bochuz font, eux, l'objet de crédits d'investissement de 5,2 millions et 10,7 millions pour garantir leur fonctionnement jusqu'à la mise en service progressive des 410 places, dès 2030, de la prison des Grands-Marais.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture