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Culture

Roues arrêtées = Enfants en sécurité

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« Roues arrêtées, enfants en sécurité ». C’est le message adressé aux automobilistes en ce jour de rentrée scolaire. Si un enfant ou toute autre personne veut traverser la route à un passage piéton, arrêtez-vous complètement. L’adjudant Jacky Vauthey est le chef de la prévention routière à la Police de Lausanne :

Jacky VautheyChef Prévention Routière Police Lausanne

Aux parents qui accompagnent leurs enfants à l’école, Jacky Vauthey recommande de venir à pied, si possible, et si ce n’est pas le cas de suivre les conseils suivants :

Jacky VautheyChef Prévention Routière Police Lausanne

Pour que votre enfant soit davantage visible, il existe des gilets jaunes, distribués gratuitement. On retrouve Jacky Vauthey, chef de la prévention routière à la Police de Lausanne :

Jacky VautheyChef Prévention Routière Police Lausanne

Cette campagne de prévention routière est menée conjointement par les polices municipales, en collaboration avec le TCS, le bpa - Bureau de prévention des accidents - et le Fonds de sécurité routière.

Romain Felley

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Culture

Prix national de la tauromachie supprimé par le gouvernement espagnol

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Doté de 30'000 euros, le prix national de la tauromachie avait été remis pour la première fois en 2013 en Espagne, après avoir été créé en 2011 (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/JERO MORALES)

Le gouvernement de gauche espagnol a annoncé vendredi la suppression du prix national de la tauromachie. Cette mesure, applaudie par les défenseurs des animaux, a irrité les aficionados des corridas et l'opposition.

"Il ne nous semblait pas pertinent de maintenir un prix qui récompense une forme de maltraitance animale" alors qu'"une majorité d'Espagnols (...) s'inquiète de plus en plus" du bien-être animal, a indiqué le ministre de la Culture, Ernest Urtasun, sur la chaîne de télévision La Sexta.

Garder ce prix serait "d'autant moins compris que ces formes de torture animale sont récompensées par des médailles qui, de surcroît, sont accompagnées d'une dotation" financée par de "l'argent public", a poursuivi le ministre, qui est membre du parti d'extrême gauche Sumar.

Ce prix de 30'000 euros, remis chaque année, a été décerné pour la première fois en 2013, après avoir été créé en 2011 sous un autre gouvernement de gauche. Des toreros de renom l'ont reçu, à l'instar de Julián López, dit "El Juli", ou encore Enrique Ponce.

Si les corridas continuent d'attirer des passionnés en Espagne, où les principaux toreros sont des célébrités, les enquêtes d'opinion montrent une baisse d'intérêt dans tout le pays, tout particulièrement chez les jeunes. Selon les derniers chiffres du ministère de la Culture, seul 1,9% des Espagnols a assisté à une corrida pendant la saison 2021-2022.

"Activité qui fait partie de notre culture"

Le Parti populaire (droite, conservateur), la principale formation d'opposition, a promis de rétablir ce prix s'il revenait au pouvoir. "La tauromachie est une activité qui fait partie de notre culture en Espagne, qui fait partie de nos traditions (...), de notre identité en tant que peuple", et la suppression de ce prix est la preuve du "sectarisme de ceux qui nous gouvernent", a critiqué, devant la presse, le président du groupe PP à la Chambre des députés, Miguel Tellado.

Plusieurs gouvernements régionaux ont annoncé qu'ils allaient créer leur propre prix de tauromachie, dont le gouvernement de Castille-La-Manche dirigé par des socialistes,

La Fondation "Taureau de combat" (Fundacion del Toro de Lidia), la principale organisation du secteur, a affirmé dans un communiqué que le gouvernement "avait l'obligation de promouvoir et d'encourager toutes les manifestations culturelles, dont la tauromachie".

"Cette mesure marque une étape dans la lutte contre la tauromachie, une pratique controversée", s'est félicitée de son côté l'association de défense des droits des animaux Animanaturalis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

La RTS et SRF réduisent fortement leur présence sur X

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Depuis sa reprise en octobre 2022 par Elon Musk, le réseau social X a drastiquement réduit ses ressources pour la modération des contenus. Cela a contribué à une explosion des messages de désinformation, de violence et de haine. (© KEYSTONE/DPA/MONIKA SKOLIMOWSKA)

Les médias de service public RTS et SRF réduisent fortement leur communication via le réseau social X (ex-Twitter). La RTS souligne que ce réseau social, depuis sa reprise par le milliardaire Elon Musk, ne correspond plus aux valeurs journalistiques de l'entreprise.

"Le dialogue avec nos followers n'est plus possible (sur X), car ils sont pris en otage par des trolls et des bots et subissent des campagnes de haine et de diffamation", a indiqué vendredi à Keystone-ATS un porte-parole de la RTS, Marco Ferrara.

Le retrait est prévu ces prochains mois. La RTS gère actuellement une quinzaine de comptes sur la plateforme. "Nous garderons une présence avec le compte d'entreprise @RadioTeleSuisse pour veiller et pouvoir intervenir, par exemple en cas d'usurpation de notre identité", a précisé le porte-parole.

La RTS continuera de proposer ses informations via ses propres plateformes, comme l'application RTS Info pour l'actualité. Pour sa communication d'entreprise, elle misera sur son site rts.ch et sur LinkedIn.

Jeudi, la SSR (dont font partie la RTS et son pendant alémanique SRF) avait fait savoir que cette dernière ne communiquera plus, à partir de la mi-mai, que sur deux canaux sur X, contre 13 actuellement.

Désinformation et haine

Ces derniers temps, SRF n'atteint plus vraiment son public cible sur la majorité de ses canaux X, a expliqué une porte-parole. L'unité alémanique de la SSR "observe en permanence sur quelles plateformes de médias sociaux la population suisse alémanique se trouve et comment les utilisateurs interagissent avec les contenus de la SRF et les consomment", a-t-elle ajouté, ajoutant que la SSR souhaite utiliser efficacement les ressources disponibles.

La stratégie d'entreprise "SRF 2024" prévoit en outre que la SRF se concentre sur ses propres plateformes numériques, comme l'application SRF News, et renforce leur contenu. A partir de la mi-mai, SRF n'exploitera plus que le canal de SRF News et celui d'entreprise "SRF". Les journaux régionaux de la SRF et SRF Meteo ont déjà fait leurs adieux à leurs followers jeudi sur X.

Depuis sa reprise en octobre 2022 par Elon Musk, X a drastiquement réduit ses ressources pour la modération des contenus. Cela a contribué à une explosion des messages de désinformation, de violence et de haine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La ville de Berlin prête à offrir l'ancienne villa de Goebbels

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La villa abritait une salle de cinéma privée et de spacieux séjours avec vue sur le lac de Bogensee, où Joseph Goebbels recevait stars, personnalités et maîtresses (archives). (© KEYSTONE/DPA/PATRICK PLEUL)

Chère à entretenir, difficile à détruire, difficile à vendre... L'ancienne villa du ministre de la propagande de Hitler, Joseph Goebbels, est un fardeau pour la municipalité de Berlin. Celle-ci se dit désormais prête à en faire cadeau.

La ville-Etat de Berlin peine depuis des années à trouver une seconde vie à cette propriété autrefois luxueuse construite près d'un lac, sur une vaste propriété de 17 hectares, dans la campagne qui entoure la capitale allemande.

"Je fais don du terrain à quiconque voudrait le récupérer, c'est un cadeau du Land de Berlin", a déclaré le responsable chargé des finances, Stefan Evers, lors d'une discussion jeudi à la chambre des députés de Berlin, espérant ainsi mettre fin à ce débat interminable.

La propriété est située à une quarantaine de kilomètres de Berlin, dans le land du Brandebourg, mais ni ce dernier ni le gouvernement fédéral ne sont intéressés par un "cadeau aussi généreux", a-t-il ajouté.

Salle de cinéma privée

Joseph Goebbels s'était vu offrir le terrain en 1936. Il y avait fait édifier la vaste demeure grâce aux financements de l'UFA, la puissante société de production cinématographique sur laquelle il régnait en maître absolu. L'édifice en U abritait une salle de cinéma privée, de spacieux séjours avec vue sur le lac de Bogensee, où Goebbels recevait stars, personnalités et maîtresses.

La "villa Goebbels" est d'autant plus encombrante qu'elle vient empêcher toute nouvelle utilisation d'un autre vestige local de l'histoire tumultueuse de l'Allemagne: un vaste complexe érigé après guerre par les autorités de l'ancienne RDA sur le même terrain que la maison du ministre d'Hitler, au milieu de la forêt.

Cet ensemble de bâtiments construit dans le style stalinien du début des années 50 abritait le centre de formation des cadres de la Jeunesse allemande libre (FDJ), l'organisation de jeunesse du parti communiste est-allemand (SED).

Au sein de cette université communiste, la "villa Goebbels" avait été reconvertie notamment en supermarché pour les étudiants et en crèche.

Démolition envisagée

Faute de repreneur ou de subvention, Berlin envisage désormais de tout démolir et de rénover les terrains, car les coûts annuels de sécurité et d'entretien se chiffrent en millions, selon les médias allemands Bild et RBB. Il faudrait pour cela retirer aux bâtiments le statut de monument historique.

En 2016, le Fonds immobilier de Berlin avait renoncé à vendre "la villa Goebbels", déjà très délabrée. Il craignait "qu'elle ne tombe entre de mauvaises mains" et ne "devienne un lieu de pèlerinage pour les nazis".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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15 portraits de bénévoles pour fêter les 160 ans de la Croix-Rouge genevoise

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15 portraits de bénévoles de la Croix Rouge sont exposés du 2 au 26 mai au parc des Bastions (Copyright Photo Bertrand Carlier)

La Croix-Rouge genevoise fête ses 160 ans. Une exposition photo met en avant ses bénévoles, pour l’occasion. Elle est à découvrir, Parc des Bastions, du 2 au 26 mai. 

160 ans ça se fête! La Croix-Rouge organise du 2 au 26 mai, une exposition photo pour rendre hommage à ses bénévoles.  C’est Bertrand Carlier, lui-même bénévole, qui en est le photographe. 15 portraits pour remercier les plus de 1400 personnes, indispensables au fonctionnement de l’ONG… dont de nombreux jeunes… 

Stéphanie Lambert, directrice générale de la Croix-Rouge genevoise.

 

« Sur les 1400 bénévoles, il y en a plus de 400 qui sont des bénévoles de la Croix-Rouge jeunesse avec des actions comme le soutien scolaire, les visites pour les personnes âgées en ENS. Donc des jeunes qui s’organisent eux-mêmes pour aider des personnes qu’ils ne connaissent pas, c’est là où l’on retrouve ce sentiment d’humanité le plus pur. »

L’exposition photo est aussi l’occasion de mettre en lumière les nombreuses aides proposées par la Croix Rouge. Dont un nouveau service de transport pour les personnes démunies ou isolées.

Éric Mégevand, le président de la Croix-Rouge genevoise.

« Le bénévolat c’est aussi l’accès à certains soins que les gens ne peuvent pas se permettre, parce que les gens n’ont pas les moyens. Ils sont un peu trop riches pour bénéficier de l’aide social, mais pas assez pour aller chez le dentiste. Alors nous avons des dentistes bénévoles qui se déplacent dans des locaux de la Croix-Rouge parfaitement équiper de la dernière technologie. »

L'exposition Genève fête sa Croix-Rouge est à découvrir aux Bastions du 2 au 26 mai. Toutes les informations sur cette exposition, sont à retrouver sur le site de la Croix-Rouge genevoise

 

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Culture

RSF: pressions politiques sur les médias et propagande accrue

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Reporters sans frontières dénonce en particulier l'"absence manifeste de volonté politique de la communauté internationale à faire appliquer les principes de protection des journalistes" à Gaza. Plus de 100 reporters palestiniens y ont été tués par l'armée israélienne. (© KEYSTONE/AP/HATEM ALI)

Les pressions politiques sur la presse augmentent dans le monde, alors même que la moitié de la planète vote cette année. C'est l'alerte lancée par Reporters sans frontières (RSF) dans son classement 2024 publié vendredi.

La Norvège reste en tête de ce 22e classement de la liberté de la presse, tandis que l'Erythrée arrive en dernière position, 180e, après la Corée du Nord les deux années précédentes. La Suisse se classe neuvième.

Globalement, les conditions d'exercice du journalisme sont mauvaises dans les trois quarts des pays.

L'ONG dénonce en particulier l'"absence manifeste de volonté politique de la communauté internationale à faire appliquer les principes de protection des journalistes" à Gaza. Plus de 100 reporters palestiniens ont été tués par l'armée israélienne, dont au moins 22 dans l'exercice de leurs fonctions, rappelle RSF.

Plus largement, cette édition 2024 met en exergue une moindre protection du journalisme par les Etats, quand ce n'est pas un rôle actif de ceux-ci dans la désinformation.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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