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Environnement

Situation sous contrôle, la population invitée à la prudence

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Un barrage mobile a été installé dans le port de Bienne suite à la montée des eaux. Le lac a franchi mercredi le niveau de crue. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La situation liée aux intempéries restait critique mais sous contrôle mercredi en Suisse. Les pluies persistantes ont aggravé le risque de crues, notamment en Valais. Le lac de Bienne est à son niveau de crue et l'inquiétude grimpe autour du lac de Neuchâtel.

Malgré les fortes précipitations, la situation était sous contrôle mercredi en Valais. Quelque 200 litres d'eau sont déjà tombés depuis le début de l'événement météorologique en fin de semaine passée, a précisé à Keystone-ATS le chef du service valaisan des dangers naturels Raphaël Mayoraz. La pluie est prévue jusqu'à jeudi compris.

Les sols étaient complétements saturés, a ajouté celui qui est aussi géologue cantonal. La situation demeurait donc critique sur le front des glissements de terrain, non seulement ces prochains jours mais aussi à plus long terme.

Du côté des cours d'eau, la situation était stabilisée et malgré les chutes de neige en altitude, "les avalanches ne devraient pas être un problème", précise encore le chef de service.

Sur le réseau routier, plusieurs tronçons étaient fermés, mais aucun village n'était coupé du reste du monde. Dans le Valais central, le gros rocher sous surveillance renforcée au-dessus de la route reliant Sion à Uvrier est tombé, sans faire de dégâts.

Contacté par Keystone-ATS en début de soirée, Raphaël Mayoraz précise que l'appel à la prudence reste en vigueur. La population est instamment appelée à respecter les consignes de sécurité afin d'éviter tout drame.

Il s'agit de limiter ses déplacements, de se tenir éloignés des cours d'eau, d'éviter les routes forestières ainsi que les caves, garages souterrains et les déplacements en zone inondée. Les autorités ont appelé aussi à circuler avec une prudence accrue sur le réseau routier.

Lac de Bienne stable à un haut niveau

Dans l'Arc jurassien, comme attendu, le niveau du lac de Bienne a continué de monter au cours de la journée de mercredi avant de se stabiliser quelque peu. Le niveau de crue est de 430,35 mètres. Les eaux ont atteint 430,42 mètres vers 16h30, pour un niveau de danger de 4 (fort), selon le site ad hoc du canton de Berne. L'eau a débordé sur plusieurs rives et de nouvelles fermetures de chemins et de secteurs situés aux abords ont été mises en place.

Le niveau de l’Aar est très important aussi, la rivière qui arrive dans le lac de Bienne étant gonflée par les eaux de pluie et de fonte des neiges.

Lac de Neuchâtel

Les lacs de Neuchâtel et de Morat étaient à leur tour touchés mercredi par la montée des eaux, mais se trouvaient encore en dessous des niveaux de crue. Ils reçoivent notamment le surplus du lac de Bienne. Les propriétaires de bateaux et de maisons à proximité des rives sont appelés à la plus grande prudence.

A Cheyres et Estavayer-le-Lac (FR), par exemple, le lac de Neuchâtel devait déborder "probablement" à certains endroits entre mercredi et jeudi.

L'inquiétude grandit autour du lac de Neuchâtel, où les cotes sont très élevées et vont continuer à grimper, a annoncé en soirée l’Etat-major cantonal de conduite (EMCC) auquel le Conseil d'Etat vaudois a confié la conduite du dispositif de crise, déclenchant le niveau infra-ORCA.

Les niveaux vont probablement dépasser le seuil critique dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 décembre, avec à la clef de potentielles graves conséquences sur plusieurs dizaines de bâtiments et infrastructures critiques, détaille l'EMCC. Deux postes de conduite à l'engagement ont été créés à Yverdon et Avenches.

Dans le canton de Neuchâtel, la commune de Val-de-Travers a indiqué avoir eu fort à faire ces dernières heures avec les crues. La population est interdite de promenade sur les berges de l'Areuse qui est à nouveau sortie de son lit, comme ce fut le cas lors de la précédente alerte aux intempéries, il y a quatre semaines.

300 bâtiments à risque

Quelque 300 bâtiments situés sur les rives vaudoises du lac de Neuchâtel pourraient être touchés par la montée des eaux due aux précipitations, mais également au dispositif de régulation du débit de l’Aar. Des inondations sont "probables", selon le canton.

Pour l’instant, le lac de Morat est touché, mais dans une moindre mesure. A ce stade, la police a engagé 15 personnes sur cet événement. Le centre de traitement des alarmes des pompiers a reçu plus de 700 appels.

Les pompiers ont effectué plus d'une centaine d'interventions mercredi partout sur le territoire vaudois. 35 sont encore en cours. La Protection civile est aussi engagée, précise un communiqué.

La situation s'est en revanche stabilisée dans les régions d’Orbe, de Vallorbe et du Chablais. Aucune route inondée ni fermée n'a été signalée dans ces régions.

Trafic perturbé à Genève

A Genève, les deux ponts fermés à la circulation en raison de la crue de l'Arve ont à nouveau rouvert à midi pour tous les usagers. Les autorités avaient décidé d'interdire l'accès au pont des Acacias et au pont du Val d'Arve, mardi, en fin de soirée, en raison du danger que faisait courir le courant et le niveau de la rivière.

Le débit de l'Arve a atteint un pic, mercredi, vers 09h00, avec un flot de près de 800 m3 par seconde. A midi, le débit de la rivière était redescendu aux alentours de 700 m3 par seconde. Le pont des Acacias avait déjà été rouvert aux trams des Transports publics genevois (TPG) mercredi, aux environs de 07h30.

Les pompiers du Service incendie et secours (SIS) de Genève ont également brièvement fermé à la circulation, mercredi matin, un tronçon du quai Ernest-Ansermet qui se trouve presque au niveau de la berge la rivière, afin d'y installer des barrages pour contenir les flots en cas de débordement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Environnement

"L'ONU du vin" prévoit une production 2024 faible comme en 2023

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"L'ONU du vin" table sur des volumes de production en dessous de 250 millions d'hectolitres pour 2024 (image symbolique). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

La production mondiale de vin en 2024, affectée par de mauvaises conditions climatiques, devrait s'approcher du bilan de 2023, le plus faible volume produit en plus de 60 ans, selon des estimations lundi de l'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV).

"Les premières indications suggèrent que 2024 sera une nouvelle année de production relativement faible, le plus probablement sous les 250 millions d'hectolitres", a déclaré le directeur général de l'OIV, John Barker, devant le 45e congrès de son organisation, qui s'est ouvert à Dijon.

Les vignerons du monde avaient produit en 2023 237 millions d'hectolitres, leur plus faible vendange depuis 1961, sous l'effet d'événements climatiques extrêmes, sécheresses, vagues de chaleur, gel précoce, inondations...

L'OIV produira des statistiques plus précises pour 2024 et sur cent ans fin novembre, quand l'organisation fêtera son 100e anniversaire.

Loin de leurs moyennes

Pour l'heure, ses estimations "préliminaires" se basent sur le bilan de grands producteurs représentant les trois quarts de la production mondiale (Italie, Espagne, France, Etats-Unis, pays de l'Hémisphère sud), a expliqué à l'AFP Giorgio Delgrosso, chargé du vaste corpus statistique de l'organisme intergouvernemental.

"On s'attend à des niveaux en ligne avec les volumes extrêmement bas de l'an dernier, sûrement en dessous de 250 millions d'hectolitres", a-t-il indiqué.

Sur ces grands pays producteurs, ceux qui ont eu de grosses difficultés en 2023 "ont fait en 2024 un peu mieux, mais loin encore de leurs moyennes", en particulier l'Espagne, l'Italie, l'Australie, l'Argentine, a-t-il expliqué.

En revanche d'autres pays comme la France, très touchée par les pluies, ou le Chili, qui l'an dernier avaient été légèrement en dessous de leurs moyennes, sont cette année en plus nette difficulté encore, selon lui.

Réchauffement et consommation

"La fluctuation de la production est habituelle dans le secteur", "au gré des règles de la nature", a souligné John Barker, en montrant un graphique en dents de scie sur cent ans.

Pour autant, ces 30 dernières années, "la production mondiale de vin avait fluctué dans une amplitude relativement constante allant de 250 à 300 millions d'hectolitres" par an, a-t-il souligné, la diversité géographique des pays compensant globalement les aléas subis ici ou là.

"Il est donc assez significatif qu'en 2023 la production mondiale soit passée sous le niveau le plus bas de cette amplitude", sur fond de réchauffement climatique, a-t-il ajouté.

Le réchauffement est, avec les changements de modes de consommation, un des sujets principaux de ce congrès de l'OIV, organisation à caractère scientifique et technique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

"L'ONU du vin" appelle au développement durable de la vigne

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L'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), dont la Suisse est membre, s'inquiète aussi des effets du changement climatique (image symbolique). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), sorte d'"ONU du vin" qui réunit les experts de la filière, a appelé à un "développement durable" de la vigne, dimanche, à l'issue d'une réunion ministérielle en France.

"Les effets du changement climatique amplifient" les défis auxquels la vigne doit faire face, ont souligné 37 membres, sur 50, participant à la réunion au siège de l'OIV à Dijon (est).

Les signataires encouragent les "réservoirs de biodiversité, tels que les cépages et tout l'écosystème qui les entoure, en limitant l'érosion des sols, en capturant le carbone (...) et en réduisant les déchets", ajoute la déclaration ministérielle, la première dans l'histoire de l'organisation qui célèbre cette année son centenaire.

L'OIV s'est fixée pour "objectifs" de "soutenir l'innovation, les pratiques culturales et oenologiques ambitieuses, résilientes et durables (...) ainsi que la biodiversité telle que la conservation et l'utilisation de la diversité dans la vigne, l'exploitation de nouvelles variétés de vigne et la gestion efficace de l'eau".

La "durabilité" de la vigne et du vin s'entend également en matière "économique et sociale", a expliqué en conférence de presse le directeur général de l'OIV, le Néo-Zélandais John Barker, soulignant notamment le besoin du secteur de s'adapter à la baisse de la consommation du vin.

Bientôt la Chine

Créée le 29 novembre 1924 par huit pays (Espagne, France, Grèce, Hongrie, Italie, Luxembourg, Portugal, Tunisie), l'OIV rassemble aujourd'hui 50 États, couvrant 88% de la production mondiale de vin, avec l'absence notoire des États-Unis, qui ont claqué la porte en 2001, après l'échec de leur candidat à sa présidence. La Suisse en est membre.

Le Chine deviendra en novembre le 51e État membre.

L'organisation n'est pas politique mais réunit des experts techniques et scientifiques qui échangent leurs informations sur la filière et tentent d'harmoniser les normes au niveau international.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

Une commission veut rétrograder le loup

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Une commission veut atténuer la protection du loup (archives). (© KEYSTONE/DPA-Zentralbild/KLAUS-DIETMAR GABBERT)

La protection du loup pourrait être atténuée. La commission de l'environnement du Conseil des Etats demande de rétrograder le canidé d'"espèce de faune strictement protégée" à "espèce de faune protégée".

Au cours des douze dernières années, la population de loups a augmenté de façon exponentielle en Suisse. Cette évolution s'accompagne de conséquences économiques et sociales graves pour les régions concernées, estime la commission.

Celle-ci demande que la régulation des populations se fasse à l'avenir au niveau régional. Le Conseil fédéral doit aussi examiner la possibilité d'introduire des zones "zéro loup". La motion a été déposée par 9 voix contre 3, indiquent vendredi les services du Parlement.

Ces modifications sont nécessaires pour pouvoir agir avec souplesse à l'augmentation des populations de loups et pour réduire la charge administrative, estime la majorité.

Enfin, la commission propose également à son conseil d'adopter une motion du National qui prévoit d'accélérer l'approbation des demandes de tir pour les loups problématiques et de simplifier l'accès à un soutien financier pour la protection des troupeaux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

L'exploitation illégale de bois en hausse en Amazonie

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Des agents de l'environnement et de la police fédérale détruisent des machines utilisées pour l'exploitation minière illégale sur la rive du fleuve Xingu, à 70 km de la ville d'Altamira en Amazonie (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/SEBASTIAO MOREIRA)

L'exploitation illégale de bois a augmenté de 19% en un an dans l'Amazonie brésilienne, selon un rapport publié mercredi, alors que la plus grande forêt tropicale de la planète est actuellement touchée par les pires incendies en deux décennies.

Une surface de forêt équivalente à 350 terrains de football a été déboisée illégalement chaque jour en moyenne d'août 2022 à juillet 2023, selon le système de Surveillance de l'exploitation de bois (Simex).

L'exploitation illégale de bois en Amazonie brésilienne a atteint 126'000 hectares, contre 106'000 lors des douze mois précédents. La surface déboisée illégalement représente 35% de l'exploitation totale de bois dans la région.

"Cette augmentation de l'exploitation illégale provoque des dégâts environnementaux, menace les peuples traditionnels et affaiblit le secteur du bois (légal), tout en donnant une mauvaise image au Brésil sur le marché international", déclare Dalton Cardoso, de l'ONG Imazon, qui gère le Simex et d'autres systèmes de surveillance.

Ce chercheur a appelé le gouvernement brésilien à renforcer les contrôles pour que l'exploitation de bois soit durable et créé de l'emploi et des recettes fiscales, en restant dans la légalité.

D'après le rapport, 71% de l'exploitation illégale a eu lieu dans des terrains privés, à savoir 650 fermes, dont 20 seraient responsables d'un tiers du déboisement illicite.

Cela signifie que les responsables sont identifiables dans les registres publics, et sont passibles de sanctions.

Par ailleurs, 16% des coupes illégales de bois ont eu lieu dans des réserves indigènes, mettant en péril les peuples autochtones qui y vivent.

Ce rapport est publié une semaine après l'annonce du report d'un an de la loi européenne anti-déforestation.

Ce nouveau règlement pour protéger les forêts devait interdire à partir de fin 2024 la commercialisation dans l'UE d'une série de produits, dont le bois, s'ils sont issus de la déforestation.

Le Brésil est un des pays ayant fait pression sur la Commission européenne pour réclamer ce report, qui a été très critiqué par les ONG de défense de l'environnement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

Restrictions sur le maïs dans 23 cantons pour combattre un ravageur

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Dégâts causés par la chrysomèle des racines du maïs dans un champ. (© KEYSTONE/KARL MATHIS)

Vingt-trois cantons font l'objet de restrictions dans les cultures pour prévenir la prolifération de la chrysomèle des racines du maïs. Dans les zones concernées, les paysans n'ont pas le droit de semer du maïs deux ans de suite (principe de la rotation des cultures).

Agroscope, le centre de compétence de la Confédération dans le domaine de la recherche agronomique et agroalimentaire, a publié jeudi un état des lieux de la surveillance et de l'infestation 2024 en lien avec le parasite.

Cet insecte est originaire d'Amérique du Nord, où il est le plus important ravageur de sa principale plante hôte, le maïs. En Suisse, cette année, il a fait l'objet d'une surveillance au moyen de 209 pièges à phéromones. Au total, des coléoptères ont ainsi pu être capturés dans 72 pièges.

Dans la foulée, des restrictions de cultures - système de rotation - ont été imposées pour 2025 à 23 cantons. A noter qu'au Tessin, la culture du maïs est interdite depuis 2004.

Grâce à la rotation des cultures, le ravageur n’a pas encore pu s’établir en Suisse, mais il réussit chaque année à s'y introduire par les airs. Des contrôles réguliers et des pièges à phéromones s'avèrent nécessaires.

Quadrillage

Les dégâts majeurs sont causés par les larves qui se nourrissent des racines, tandis que les adultes se nourrissent de la barbe du maïs et des feuilles. Le problème est particulièrement grave dans les régions qui pratiquent la monoculture de maïs.

Les pièges sont répartis selon un quadrillage de 10 km sur toute la zone de culture du maïs en Suisse, précise Agroscope. Les spécialistes constatent que de plus en plus de chrysomèles des racines du maïs adultes volent régulièrement depuis les pays voisins.

En cas de capture, une restriction de la rotation des cultures est obligatoire (interdiction de semer du maïs deux fois de suite) dans un rayon de 10 km autour de l’emplacement du piège (zone délimitée).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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