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Fort séisme de magnitude 6,3 près de Vanuatu (USGS)

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Un fort séisme, de magnitude 6,3, s'est produit au large de l'archipel Vanuatu. (© KEYSTONE/AP/NICK PERRY)

Un fort séisme, de magnitude 6,3, s'est produit au large de l'archipel Vanuatu dans le Pacifique dimanche, a annoncé le service géologique américain (USGS), sans déclencher d'alerte au tsunami.

Le tremblement de terre a été détecté à 9H23 locales (00H23 Heure suisse ) à une profondeur de 29 kilomètres en mer à quelque 83 kilomètres au nord-ouest de la capitale de l'archipel, Port-Vila.

Le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique a indiqué que le tremblement de terre, qui a eu lieu près d'un groupe d'îles peu peuplées, ne devrait pas provoquer de tsunami. Aucun dégât n'a été signalé dans l'immédiat au Vanuatu.

Les tremblements de terre sont fréquents dans cet archipel de 320'000 habitants situé sur la "ceinture de feu du Pacifique", où la rencontre de plaques tectoniques provoque une importante activité volcanique et sismique

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Chine: les ventes au détail augmentent en mai

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La croissance de la production industrielle chinois a ralenti en mai en Chine, signe d'une reprise inégale de la deuxième économie mondiale. (archive) (© KEYSTONE/EPA/FREDDY CHAN)

Les ventes au détail ont augmenté en mai en Chine. En revanche, la croissance de la production industrielle a ralenti, selon des chiffres officiels publiés lundi, signe d'une reprise inégale de la deuxième économie mondiale.

En mai, les ventes au détail - un indicateur clé des dépenses de consommation - ont progressé de 3,7% en glissement annuel, après une hausse de 2,3% en avril, selon le Bureau national des statistiques (BNS). Une augmentation supérieure aux prévisions des analystes de Bloomberg, qui l'avaient évalué à 3%.

La production industrielle a néanmoins ralenti, avec certes une hausse de 5,6% en mai, mais au-deçà de l'augmentation de 6,7% en avril et de la prévision de Bloomberg à 6,2%. Le BNS a qualifié les chiffres du mois de mai de "généralement stables", ajoutant que "l'économie nationale a continué à se redresser et à s'améliorer".

Le Fonds monétaire international (FMI) a relevé fin mai sa prévision de croissance pour la Chine à 5% pour 2024, en ligne avec l'objectif fixé par Pékin, mais il s'inquiète des défis qui demeurent sur le plan industriel et budgétaire. L'économie chinoise doit notamment surmonter la crise du secteur du logement et de la construction, qui souffre depuis 2020 d'un durcissement par Pékin des conditions d'accès au crédit pour les promoteurs immobiliers, afin de réduire leur endettement.

Selon Zhang Zhiwei, président de Pinpoint Asset Management, une société de gestion d'actifs basée à Hong Kong, la série de mesures introduites en mai par le gouvernement pour relancer l'immobilier "n'a pas encore stimulé la demande des acheteurs".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Au moins cinq morts dans une collision de trains en Inde

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Au moins cinq personnes ont été tuées lundi dans l'est de l'Inde après la collision entre un train de passagers et un convoi de marchandises dans l'État du Bengale occidental. Photo prétexte : gare à New Delhi. (© Keystone/AP/TSERING TOPGYAL)

Au moins cinq personnes ont été tuées lundi dans l'est de l'Inde après la collision entre un train de passagers et un convoi de marchandises dans l'État du Bengale occidental, a annoncé la police. On dénombre à ce stade entre 25 à 30 blessés.

"Trois compartiments du train express ont déraillé", a déclaré à l'AFP Abhishek Gupta, officier supérieur au sein de la police, depuis le lieu de l'accident.

La ministre en chef de cet Etat situé dans l'est de l'Inde, Mamata Banerjee, a qualifié cet accident de "tragique" dans un message publié sur les réseaux sociaux.

"Des médecins, des ambulances et des équipes de secours ont été dépêchés sur place", a écrit Mme Banerjee sur les réseaux sociaux, en qualifiant l'accident de "tragique" mais sans fournir de bilan.

L'accident s'est produit à Phansidewa, dans le district de Darjeeling, lorsque le train Kanchenjunga Express a été heurté par un train de marchandises.

Le ministre des Chemins de fer, Ashwini Vaishnaw, a indiqué que les "blessés sont transférés à l'hôpital".

Epaves enchevêtrées

Des images diffusées par des médias indiens montrent des épaves enchevêtrées de wagons renversés sur le côté, et l'un d'entre eux propulsé vers le ciel, en équilibre précaire sur un autre.

L'Inde, qui possède l'un des réseaux ferroviaires les plus vastes du monde, a connu un grand nombre d'accidents de train meurtriers dans son histoire.

La sécurité s'est toutefois améliorée ces dernières années à la faveur d'investissements pour moderniser le réseau en le dotant de gares modernes et de systèmes de signalisation électronique.

L'accident le plus meurtrier de l'histoire du pays reste celui du 6 juin 1981 quand, dans l'État de Bihar (est), sept wagons d'un train qui traversait un pont étaient tombés dans le fleuve Bagmati, faisant entre 800 et 1000 morts.

En juin de l'année dernière, près de 300 personnes ont péri dans une collision entre trois trains dans l'Etat d'Odisha (est).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les salaires des patrons américains grimpent

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Les actionnaires de Tesla ont récemment validé le plan massif de rémunération d'Elon Musk, évalué à un peu moins de 50 milliards de dollars. (archive) (© KEYSTONE/AP/Ebrahim Noroozi)

Les salaires des patrons de grandes entreprises américaines augmentent beaucoup plus vite que la moyenne des rémunérations, sans que les actionnaires n'y trouvent à redire. Ces derniers se satisfont de l'évolution des marchés boursiers et d'une transparence accrue.

Entre 2017 et 2023, la rémunération médiane d'un dirigeant d'une entreprise cotée au S&P 500, qui réunit 500 des plus grandes sociétés américaines, a progressé de près de 40%, selon le cabinet Equilar, contre seulement 27% pour la moyenne des salariés aux Etats-Unis, pour atteindre 16,3 millions de dollars.

Ce bond n'a pas ému les actionnaires, qui n'ont rejeté, cette année, les plans de rémunération du patron que deux fois lorsque la question leur a été posée en assemblée générale, soit 0,5% des cas, selon le cabinet ISS-Corporate. En 2021 et 2022, une série de revers avait frappé plusieurs grands noms de Wall Street, de Starbucks à JPMorgan Chase, en passant par Intel et General Electric.

"Les investisseurs se rebellent enfin contre les hausses de salaires massives des patrons", titrait le magazine Time en juin 2022, avant que ce semblant de mouvement ne disparaisse aussi vite qu'il avait pris forme. "Les actionnaires ont tendance à voter contre des plans après une mauvaise performance de l'entreprise ou du prix de l'action", explique Kevin Murphy, professeur à l'université USC et expert en rémunération de dirigeants.

50 milliards pour Elon Musk

Or, à l'époque de la fronde, la pandémie de coronavirus avait durement secoué l'économie et les marchés financiers. "Certains cours avaient rebondi, mais pas tous", rappelle-t-il. A l'inverse, le contexte de marché actuel, qui a vu Wall Street signer des dizaines de records depuis le début de l'année, n'incite pas à la contestation. Les actionnaires de Tesla ont même validé, jeudi, le plan massif de rémunération d'Elon Musk, évalué à un peu moins de 50 milliards de dollars.

La loi Dodd-Frank, née de la crise financière de 2008, oblige, depuis 2011, les sociétés cotées à soumettre la rémunération de leurs dirigeants au vote des actionnaires au moins une fois tous les trois ans, une disposition appelée "Say on Pay" (avis sur la rémunération). Le scrutin n'est que consultatif, mais en cas de refus, l'immense majorité des conseils d'administration renonce et modifie le package.

Le "Say on Pay" a introduit de la transparence dans le monde des affaires, qui "a abandonné les mauvaises pratiques. De ce point de vue, je pense que les choses vont beaucoup mieux", estime Rosanna Landis Weaver, de l'association de défense des actionnaires As You Sow.

Faire "comme les autres"

La loi Dodd-Frank impose aussi aux sociétés de publier le ratio entre la rémunération du principal dirigeant et le salaire médian au sein de l'entreprise. En 2023, un patron a reçu, en moyenne, 196 fois le salaire médian de sa compagnie, contre 158 cinq ans plus tôt, selon Equilar.

Selon une enquête publiée cette semaine par l'université Bentley en partenariat avec l'institut Gallup, 82% des Américains estiment "un peu" ou "extrêmement" important "d'éviter un écart de salaire très important entre patrons et employés moyens". "C'est un sujet sensible", rappelle, dans l'enquête, Kristina Minnick, professeure de finances à Bentley. "Les salaires élevés peuvent attirer les meilleurs profils, mais ils peuvent aussi être vus comme excessifs."

Pour autant, les partisans d'une limitation de la rémunération des dirigeants ne trouvent pas d'écho au sein d'un électorat élargi. Des propositions de loi déposées ces derniers mois par Alexandria Ocasio-Cortez ou Bernie Sanders, deux figures de la gauche américaine, restent bloquées à la Chambre des représentants.

Le "Say on Pay" a incité beaucoup d'entreprises à se tourner vers des sociétés de conseil spécialisées et à utiliser des référentiels pour comparer leurs plans à ceux du reste du marché. Dès lors, "il y a très peu d'exemples récents d'un directeur général qui ait reçu une somme énorme une fois écarté", fait valoir David Yermack, professeur de finances à l'université NYU.

Ces cabinets d'analyse sont aussi rémunérés par des investisseurs, à qui ils recommandent d'approuver ou non la rémunération d'un patron avant une AG. Les plus connus sont Institutional Shareholder Services (ISS) et Glass Lewis. Résultat, "en dix ans, les programmes de rémunération sont devenus plus homogènes, plus similaires les uns par rapport aux autres", que ce soit en montant ou en structure, selon Marc Hodak, du cabinet Farient Advisors.

Ils minimisent ainsi le risque de contestation, souligne Kevin Murphy. "Le meilleur moyen de ne pas faire de vagues, c'est de s'aligner sur ce que font tous les autres."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Procès pour espionnage du journaliste Gershkovich fixé au 26 juin

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Le procès du journaliste américain Evan Gershkovich du Wall Street Journal, arrêté en mars 2023 en Russie, se déroulera à huis clos. (© KEYSTONE/AP/Alexander Zemlianichenko)

Le procès du journaliste américain Evan Gershkovich, accusé d'avoir collecté des informations sur une usine de chars russe pour le compte de la CIA, débutera le 26 juin à Ekaterinbourg, dans l'Oural, a indiqué lundi le tribunal en charge de l'affaire.

Le procès de ce journaliste du Wall Street Journal (WSJ), âgé de 32 ans et arrêté en mars 2023, "se déroulera à huis clos. La première audience a été fixée au 26 juin 2024", a indiqué le Tribunal régional de Sverdlovsk dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les relations Chine-Australie "sur la bonne voie", selon Li Qiang

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Le Premier ministre chinois Li Qiang (second à partir de la gauche) est en visite à Canberra en Australie. (© KEYSTONE/EPA/MICK TSIKAS)

Les relations entre la Chine et l'Australie sont "sur la bonne voie", a déclaré le Premier ministre Li Qiang lundi à Canberra, lors d'une visite placée sous le signe de l'apaisement des différends économiques entre les deux pays.

Plus haut responsable chinois à se rendre en Australie depuis 2017, M. Li s'est entretenu avec son homologue Anthony Albanese à l'issue d'une cérémonie de bienvenue au Parlement.

"En moins d'un an, M. Albanese et moi-même nous sommes rencontrés à de multiples reprises et avons effectué des visites dans nos pays respectifs", a déclaré M. Li à l'issue de leur rencontre.

"Cela montre que nos pays attachent une grande importance à nos relations et que celles-ci sont sur la bonne voie, celle d'une amélioration et d'un développement constants", a souligné le Premier ministre.

La visite de M. Li suit la levée par Pékin de la plupart des barrières commerciales aux exportations australiennes, notamment le charbon, le bois, l'orge et le vin.

La Chine et l'Australie étaient ces dernières années à couteaux tirés, en particulier depuis une demande australienne d'enquête en 2020 sur l'origine de la pandémie de Covid-19, que Pékin estimait politique, et la décision de Canberra d'exclure l'équipementier Huawei de son réseau 5G.

La Chine avait alors relevé ses taxes sur nombre de produits australiens, en particulier le vin, le boeuf et l'orge. La plupart de ces surtaxes ont été levées à la faveur d'un réchauffement des relations entre Pékin et Canberra depuis l'arrivée des travaillistes au pouvoir en 2022.

Bien que les relations commerciales soient meilleures, l'Australie s'inquiète des efforts déployés par la Chine pour accroître son influence, notamment militaire, dans le Pacifique Sud.

M. Li a affirmé avoir eu avec M. Albanese un "échange de vues franc sur certaines différences et certains désaccords". Le Premier ministre australien avait auparavant souligné l'importance d'un "dialogue franc".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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