Une proportion considérable de Français fait le choix de souscrire à une assurance obsèques. Cette option courante a pour objectif d’anticiper, et de simplifier la tâche aux proches et parents pour le financement de ses funérailles. Les contrats proposés par les compagnies d’assurance peuvent se distinguer par de multiples points. Nous vous proposons ici de faire le tour de la question, pour des décisions judicieuses en cas de besoin.
La pertinence d’une assurance obsèques
Le contrat d’assurance obsèques permet de constituer un capital important qui servira à couvrir l’essentiel des dépenses pour ses funérailles. Des organismes proposant ces contrats mettent en avant la protection et le confort des proches et de la famille, dans la gestion des obsèques le moment venu. On estime qu’en moyenne, des dépenses pour des obsèques oscilleront entre 3500 et 4500 euros, une somme qui peut se révéler importante selon les familles. En plus de décharger la famille ou les proches du défunt des dépenses relatives aux obsèques, les assurances peuvent inclure des options quant au déroulement même des funérailles. Cela implique la précision de détails comme le type de cérémonie funéraire (inhumation ou crémation, l’achat du cercueil ou son transport, etc.). Le souscripteur a en effet la possibilité de choisir le type de prestations qu’il souhaite en désignant des entreprises de son choix. Ce lien vous permettra d’en savoir plus sur la convention obsèques, c’est-à-dire le détail de l’organisation des funérailles.
Le détail des différentes garanties des contrats d’assurance obsèques
Les sommes amassées pour un contrat d’assurance obsèques peuvent être allouées à l’achat d’un cercueil, à la préparation du corps, mais aussi à des questions comme l’élaboration des faire-part, la préparation de la fosse pour enterrer le défunt, etc. Certaines entreprises se chargent également de questions d’ordre administratif ou juridique, toujours dans l’objectif de faciliter l’expérience aux proches du défunt. Les garanties sont dans tous les cas clairement stipulées dans le contrat d’assurance, ce qui permet au souscripteur de savoir exactement les prestations qu’il s’engage à payer pour tenter de soulager ses proches dans les moments délicats des funérailles.
Différence entre assurance obsèques et assurance décès
Les termes relativement similaires peuvent amener à une confusion entre une assurance décès et une assurance obsèques. Une assurance décès se limite en revanche au versement d’une rente à des bénéficiaires spécifiques lorsque l’assuré décède avant une date précisée dans le contrat. Le contrat d’une assurance décès se limite ainsi à deux facteurs : une date fixée à l’avance, et un montant donné. Ce type de contrat implique donc la perte du capital ou des sommes engagées lorsque le décès ne survient pas avant la fin du contrat.
L’assurance obsèques permet en revanche de financer les funérailles et ce qui touche à leur organisation et aux frais associés. Contacter des experts ou des professionnels est la meilleure option pour mieux comprendre ces assurances, et prendre des décisions pertinentes en fonction des besoins.
Les bénéficiaires d’une assurance obsèques
Le contrat d’assurance obsèques est caractérisé par une grande souplesse : son contenu dépendra essentiellement de la compagnie d’assurance concernée, et des attentes du souscripteur. Le souscripteur dispose de la liberté de définir les bénéficiaires de son contrat. Il est donc possible de choisir plusieurs proches auxquels le capital sera versé pour le règlement des funérailles. Tout excédent qui subsiste après les dépenses relatives aux funérailles devra être partagé entre les différents bénéficiaires.
Dans la majorité des cas, lorsque le souscripteur choisit de nombreuses options pour ses obsèques, les pompes funèbres sont désignées comme bénéficiaires. La compagnie d’assurance se charge alors de reverser directement les capitaux engendrés à l’entreprise de pompes funèbres, pour le strict respect des volontés du défunt. Dans ce cas-là, les excédents ou sommes non dépensées doivent par la suite être distribués à des proches que le défunt aura pris soin de désigner également.
Quels sont les clauses et points à vérifier pour choisir une assurance obsèques ?
Le choix d’une assurance obsèques peut prendre en compte une grande variété de critères. Le souscripteur doit s’assurer de vérifier certains détails, afin d’offrir à ses proches le soulagement, l’aide financière, et les prestations censées leur faciliter la tâche le moment venu.
Les frais d’une assurance obsèques sont le premier point pertinent dans une sélection de l’offre idéale. Ils se rapportent aux versements réguliers, mais aussi à des montants spécifiques pour la gestion annuelle. Ils sont retirés du capital et peuvent s’élever à 30 % dans certains cas. Il est donc essentiel pour le souscripteur de s’assurer que les différents frais restent raisonnables sur la durée.
La revalorisation du capital : ce montant se révèle souvent relativement faible, à l’opposé des frais funéraires qui subissent des augmentations régulières année après année.
Les délais de versement et de carence : le délai de carence désigne la période pendant laquelle aucun capital n’est reversé aux bénéficiaires du contrat en cas de survenue de décès. Ce délai peut aller de quelques mois à 2 ans en règle générale. Quant au délai de versement, il désigne le temps d’attente avant le versement du capital aux bénéficiaires une fois que le souscripteur est décédé. Ce dernier délai n’excède pas 48 h en règle générale. Un contrat correct prévoit des délais raisonnablement courts pour ces deux différents points.
Les exclusions de garantie : il existe des exceptions qui rendent nul le contrat d’assurance obsèques. Ainsi, une de ces exclusions de garantie concerne les personnes ayant recours au suicide durant la première année après signature de contrat. La grande majorité des assurances prévoit cette clause. Les personnes qui souscrivent à un contrat d’assurance obsèques après avoir appris qu’elles sont malades peuvent aussi tomber sous le coup de l’exclusion de garantie, notamment si elles cachent cette information à la compagnie d’assurance. Différents autres points peuvent entraîner l’exclusion selon le contrat (décès à la suite de l’usage abusif d’alcool ou de drogue par exemple…).
Un contrat d’assurance obsèques peut présenter des avantages à différents égards, et les souscripteurs ont la responsabilité de faire des choix judicieux pour le bien de leurs proches.
C’est l’ennemi des skieurs: la blessure. Malheureusement, on se fait mal de en plus en plus sur les pistes.
Entre le 1er janvier et le 6 février 2023, l’Hôpital cantonal des Grisons a constaté une hausse d’environ 20% des accidents de ski et de snowboard sur les pistes de ski par rapport à la moyenne des cinq années précédentes. Et les blessures graves ont également augmenté. Le Bureau de prévention des accidents (BPA), ajoute que plus de 60 000 personnes se sont blessées chaque année en moyenne entre 2015 et 2019 en faisant du ski ou du snowboard en Suisse.
Les causes sont nombreuses, parmi lesquelles: la neige artificielle. Plus dense et plus dure que la naturelle, elle change la pratique du ski.
Sylvain Millet, préparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève, n’est pas étonné par ces chiffres:
Sylvain Millet
Préparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Sylvain MilletPréparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Sylvain MilletPréparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Pour éviter les blessures, outre la technique, il est important de mettre son corps en condition. Ne pas faire l'impasse sur le réveil musculaire avec des étirements. La première descente doit permettre de prendre ses marques tranquillement. Quelques exercices pratiques, à faire quelques jours avant, avec Sylvain Millet:
Sylvain Millet
Préparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Sylvain MilletPréparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Sylvain MilletPréparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Après la journée de ski, on n’oublie pas de s’étirer à nouveau.
Même si tous les spécialistes ne sont pas forcément d’accord sur le moment à accorder à ce moment:
Sylvain Millet
Préparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Sylvain MilletPréparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Sylvain MilletPréparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Enfin, l’alimentation est loin d’être anodine même en vacances:
Sylvain Millet
Préparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Sylvain MilletPréparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Sylvain MilletPréparateur physique et fondateur de SportQuest à Genève
Noter pour finir que 90% des accidents sont causés par le skieur lui-même. Les collisions avec d’autres personnes ne représentent que 10% des cas.
Le port du masque n'est désormais plus obligatoire pour les visiteurs et le personnel des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). La mesure avait été mise en place pour lutter contre la propagation du Covid-19.
Depuis le début du mois de janvier, la circulation du SARS-CoV2 est faible dans le canton de Genève et les hospitalisations dues au Covid-19 diminuent, relèvent les HUG lundi dans un communiqué. Les infections causées par la grippe sont aussi en forte baisse. Cette évolution permet un assouplissement des mesures de protection.
Le port du masque pourra néanmoins être exigé dans certaines unités de soins et certains services pour protéger les patients et les patientes hospitalisés. Les précautions d'usage de lutte contre les maladies transmissibles, comme l'hygiène des mains, l'aération des espaces, restent en vigueur dans les bâtiments des HUG.
Credit KEYSTONE Source DPA-Zentralbild Byline PATRICK PLEUL
Le Nutriscore, présent depuis 2020 en Suisse sur certains produits alimentaires, devrait évoluer cette année.
Pour rappel, il s’agit d’un outil qui note les produits de A à E, avec des couleurs qui vont de vert à rouge. Un algorithme donne la note finale, en prenant en compte plusieurs critères en lien avec leurs effets sur la santé. En clair, plus le produit a des ingrédients sains type fruits ou légumes, mieux il est noté. A l'inverse, les produits gras et sucrés sont moins bien notés. Pour autant, ce Nutriscore est souvent critiqué, par exemple par les producteurs de fromage.
En fait, tout est question d'équilibre selon Tania Lehmann, coordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante:
Tania Lehmann
Coordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Tania LehmannCoordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Tania LehmannCoordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Il faut savoir lire entre les lignes:
Tania Lehmann
Coordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Tania LehmannCoordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Tania LehmannCoordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Quels seront les prochains changements pour le Nutriscore en 2023? Tania Lehmann:
Tania Lehmann
Coordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Tania LehmannCoordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Tania LehmannCoordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Le Nutriscore reste un outil qui peut aussi aider certaines personnes:
Tania Lehmann
Coordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Tania LehmannCoordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Tania LehmannCoordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Enfin, cette notation a permis de faire bouger les lignes, notamment dans le secteur agro-alimentaire:
Tania Lehmann
Coordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Tania LehmannCoordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Tania LehmannCoordinatrice de Fourchette Verte Genève et diététicienne indépendante
Le mieux, on le rappelle, reste de lire les étiquettes.
Moins il y a d’ingrédients dans un produit, mieux c’est.
Les HUG disposent désormais d’un Centre de médecine virtuelle. Il devrait permettre à terme d’intégrer les nouvelles technologies dans le traitement quotidien des patients.
Comment intégrer la réalité virtuelle dans les soins aux patients? C’est tout l’enjeu du nouveau Centre de médecine virtuelle des HUG. Les objectifs sont nombreux : faciliter la collaboration entre les chercheurs et les médecins, améliorer l’enseignement, offrir le support nécessaire pour que la réalité virtuelle puisse être intégrée dans les soins au quotidien et proposer des projets de recherche centrés sur la réalité virtuelle. Le Docteur Oliver Kannape est responsable de ce nouveau Centre de médecine virtuelle.
Docteur Olivier Kannape
Responsable du nouveau centre de médecine virtuelle aux HUG
Docteur Olivier KannapeResponsable du nouveau centre de médecine virtuelle aux HUG
Docteur Olivier KannapeResponsable du nouveau centre de médecine virtuelle aux HUG
Le Centre est ouvert au développement d'applications dans tous les domaines médicaux: en chirurgie, en médecine interne, en neurologie et en psychiatrie, en soins intensifs, en anesthésiologie, en orthopédie, en médecine de réadaptation, en gériatrie ou encore en soins palliatifs.
Plusieurs projets de recherche sont déjà en cours. Parmi eux, une étude sur l'utilisation de la réalité virtuelle durant une IRM. Exemple avec Marco Solca, chef de clinique scientifique au Département de psychiatrie des HUG.
Docteur Marco Solca
Chef de clinique scientifique au Département de psychiatrie
Docteur Marco SolcaChef de clinique scientifique au Département de psychiatrie
Docteur Marco SolcaChef de clinique scientifique au Département de psychiatrie
Une autre étude a également été réalisée durant la première vague de covid pour des personnes souffrant de dyspnée.
Docteur Marco Solca
Chef de clinique scientifique au Département de psychiatrie
Docteur Marco SolcaChef de clinique scientifique au Département de psychiatrie
Docteur Marco SolcaChef de clinique scientifique au Département de psychiatrie
Ce Centre est le résultat d'un partenariat entre l’EPFL, l’Université de Genève et les HUG avec trois départements qui participent: le département de neurosciences cliniques, de médecine et de diagnostic.
Cette année, le pic d'inscription que l'on attend début janvier dans les fitness n'a pas lieu. Au contraire, les abonnés sont en recul par rapport à la période avant Covid.
La nouvelle année est synonyme de bonnes résolutions. Certains veulent changer leurs mauvaises habitudes comme fumer ou manger trop gras ou trop sucré, mais d'autres décident de se remettre en forme. On attend donc traditionnellement une petite ruée d'abonnés dans les fitness. Est-ce que c'est le cas cette année? Alain Amherd, responsable suisse romand de la fédération Suisse des centres de fitness:
Alain Amherd
Responsable suisse romand de la fédération suisse des centres de fitness
Alain AmherdResponsable suisse romand de la fédération suisse des centres de fitness
Alain AmherdResponsable suisse romand de la fédération suisse des centres de fitness
Finalement c'est depuis la crise sanitaire du Covid que les chiffres sont en chute dans les fitness. Alain Amherd:
Alain Amherd
Responsable suisse romand de la fédération suisse des centres de fitness
Alain AmherdResponsable suisse romand de la fédération suisse des centres de fitness
Alain AmherdResponsable suisse romand de la fédération suisse des centres de fitness
Le nombre d’abonnés a baissé d’un quart par rapport à 2019.