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Politique

Vaud améliore l'accès à l'interruption de grossesse médicamenteuse

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Le médecin cantonal vaudois a autorisé la Fondation PROFA à pratiquer l'IG médicamenteuse jusqu'à sept semaines d'aménorrhée (absence de menstruations) (photo symbolique). (© Keystone/CHRISTIAN BEUTLER)

Le Canton de Vaud facilite et améliore l'accès à l'interruption de grossesse (IG) médicamenteuse. Pour décharger notamment le CHUV et dès janvier 2024, la Fondation PROFA pourra en réaliser grâce à une autorisation accordée par l'Office du médecin cantonal (OMC). Cette nouvelle prestation sera d'abord disponible dans les centres d'Yverdon-les-Bains, Morges et Renens, puis sera étendue à l'ensemble des consultations de santé sexuelle de la Fondation.

L'OMC a révisé la directive départementale cadrant la pratique de l'IG dans le canton, plus particulièrement l'IG médicamenteuse à domicile. Cette révision menée à la suite de la modification des directives cliniques de la Société suisse de gynécologie et d'obstétrique (SSGO) explicite les conditions requises pour la prise des médicaments à domicile, indique vendredi le Canton dans un communiqué.

Dans le même temps, le médecin cantonal a autorisé la Fondation PROFA à pratiquer l'IG médicamenteuse jusqu'à sept semaines d'aménorrhée (absence de menstruations). Cette fondation est un "acteur essentiel du dispositif cantonal de santé sexuelle, qui emploie des médecins gynécologues et remplit toutes les conditions légales nécessaires", relèvent les services de la ministre de la santé Rebecca Ruiz.

Délais réduits et parcours simplifié

Cette amélioration de l'accès à l'IG médicamenteuse permettra notamment de réduire les délais entre la décision et la réalisation de l'IG - ce qui réduit également le risque de complications - et de simplifier le parcours de la patiente en réduisant le nombre d'interlocuteurs, expliquent-ils.

Car actuellement, près de la moitié des IG réalisées dans le canton le sont au CHUV, ce qui crée une charge importante pour l'hôpital. Le recours fréquent à cet établissement peut entraîner un délai d'attente difficile à supporter pour les femmes concernées, est-il souligné.

Ces changements s'inscrivent dans la suite des réponses du Conseil d'Etat à deux interpellations parlementaires sur le sujet, l'une de la députée de la gauche radicale Céline Misiego et l'autre de l'ancien élu PLR Philippe Vuillemin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Les sociaux-démocrates l'emportent en Islande

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L'Alliance sociale-démocrate, conduite par Kristrun Frostadottir, a remporté 20,8% des suffrages. (© KEYSTONE/AP/Marco di Marco)

L'opposition sociale-démocrate en Islande l'a emporté sur la formation conservatrice du parti de l'Indépendance aux élections législatives anticipées, selon la chaîne de télévision publique. Réforme libérale se classe 3e.

A l'issue du dépouillement, l'Alliance sociale-démocrate, conduite par Kristrun Frostadottir, a remporté 20,8% des voix contre 19,4% pour le parti de l'Indépendance du Premier ministre Bjarni Benediktsson. Arrive en troisième place le parti de la Réforme libérale avec 15,8%, a rapporté dimanche la chaîne de télévision publique RYV, citant un décompte final.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le Premier ministre géorgien exclut de nouvelles législatives

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La Géorgie sous tension. (© KEYSTONE/EPA/DAVID MDZINARISHVILI)

Le Premier ministre géorgien Irakli Khobadidzé a exclu dimanche l'organisation de nouvelles législatives comme le réclame l'opposition, malgré la crise politique après trois nuits consécutives de manifestations pro-UE.

Cette ex-république soviétique est dans la tourmente depuis les législatives du 26 octobre, remportées par le parti au pouvoir du Rêve géorgien mais dénoncées comme entachées d'irrégularités par l'opposition, qui boycotte le nouveau Parlement.

Un nouveau scrutin est réclamé par les partis d'opposition tout comme par la présidente Salomé Zourabichvili, en rupture avec le gouvernement et qui a annoncé qu'elle refuserait de rendre son mandat à la fin de l'année tant que de nouvelles législatives n'auront pas lieu.

"Bien sûr que non", a répondu le Premier ministre Irakli Kobakhidzé aux journalistes qui lui demandaient si le gouvernement, accusé de dérive autoritaire prorusse, accepterait d'organiser de nouvelles élections.

Les manifestations de rue, qui ont rassemblé pour trois nuitw consécutives des milliers de protestataires, ont elles été déclenchées par la décision du pouvoir de repousser à 2028 les ambitions du pays d'intégrer l'Union européenne.

Ces rassemblements à Tbilissi et dans d'autres villes ont été à coup de canons à eau et de gaz lacrymogène par la police, qui a procédé à plus de 150 interpellations. Des dizaines de policiers ont été blessés par des projectiles et pétards jetés par les manifestants.

"Inacceptable" pour l'UE

La nouvelle cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, a critiqué dimanche un usage disproportionné de la force par la police.

"Il est clair que le recours à la violence contre des manifestants pacifiques n'est pas acceptable et que le gouvernement géorgien doit respecter la volonté du peuple géorgien", a-t-elle affirmé lors d'une visite de soutien en Ukraine, lors de son premier jour de mandat.

"Nous avons voté pour l'Union européenne, pour la liberté, pour les droits humains. Et que fait notre gouvernement? L'exact inverse", a dénoncé samedi Ani Bakhtouridzé, une manifestante de 32 ans.

Le ministère de l'Intérieur avait de son côté affirmé samedi que "les actions de certains individus présents à la manifestation sont devenues violentes peu après son début" et que la police répondait "conformément à la loi".

Parallèlement aux manifestations, des centaines de fonctionnaires, notamment des ministères des Affaires étrangères, de la Défense et de l'Education, ainsi que des juges, ont publié des déclarations communes en signe de protestation.

Plus d'une centaine d'écoles et d'universités ont suspendu leurs activités.

Quelque 160 diplomates géorgiens ont aussi critiqué la décision du gouvernement, estimant qu'elle était contraire à la Constitution et conduisait "à l'isolement international" du pays. De nombreux ambassadeurs géorgiens ont démissionné en signe de protestation.

La présidente pro-européenne du pays, Salomé Zourabichvili, soutient le mouvement de protestation mais ne dispose que de pouvoirs limités. Elle a assuré qu'elle ne quitterait pas ses fonctions comme prévu fin décembre.

"Tant qu'il n'y aura pas de nouvelles élections et un Parlement qui élira un nouveau président selon de nouvelles règles, mon mandat se poursuivra", a-t-elle affirmé dans un entretien exclusif à l'AFP.

L'ancienne diplomate française née à Paris a annoncé avoir mis en place samedi un "conseil national" composé de partis d'opposition et de représentants de la société civile.

"Chantage"

Le cheffe de la diplomatie européenne, qui a pris ses fonctions ce dimanche, a déclaré que la situation en Géorgie avait "clairement des conséquences" sur les relations avec l'UE.

Mme Kallas a expliqué que des "options" avaient été proposées aux 27 États membres de l'UE quant à la manière de réagir, y compris via l'imposition de sanctions, et qu'un accord devait être trouvé à ce sujet.

Le gouvernement géorgien accuse de son côté Bruxelles de "chantage" mais assure toujours prévoir d'intégrer l'UE à l'horizon 2030.

Après le vote d'octobre, un groupe d'observateurs électoraux de Géorgie a déclaré avoir des preuves d'un système complexe de fraude électorale à grande échelle.

Bruxelles a exigé une enquête sur ce qu'elle a qualifié de "graves" irrégularités.

Le porte-parole du département d'Etat américain, Matthew Miller, a "condamné l'usage excessif de la force contre les Géorgiens exerçant leur liberté de manifester". "Nous avons suspendu notre partenariat stratégique avec la Géorgie", a-t-il ajouté.

La France, le Royaume-Uni, l'Ukraine, la Pologne, la Suède et la Lituanie ont aussi exprimé leurs inquiétudes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Mobilité

Le non du peuple a sonné le glas d'une A1 à six voies, selon Rösti

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Pour Albert Rösti, la Suisse aura besoin de nouvelles grandes infrastructures ces prochaines années. Une A1 à six voies n'est plus d'actualité. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

L'élargissement à six voies de l'autoroute A1 entre Lausanne et Genève et entre Berne et Zurich est à jeter aux oubliettes, estime Albert Rösti. Le rejet par le peuple suisse d'extensions partielles le week-end dernier sonne le glas de ce grand projet.

Le Conseil des Etats et le National avaient accepté il y a un an une motion émanant de l'UDC pour une A1 à au moins six pistes, une idée qu'avait également défendu le Conseil fédéral. Aujourd'hui, le projet tombe à l'eau, relève le ministre des Transports Albert Rösti dans la NZZ am Sonntag. "Nous ne pouvons pas le faire actuellement", a-t-il dit.

Certes, juridiquement, la motion reste valable, ainsi que la position du gouvernement. "Mais politiquement, c'est une autre affaire", pointe M. Rösti, après le rejet en votation des projets d'extensions de plusieurs tronçons autoroutiers, notamment en Suisse romande, le week-end dernier.

"Nous devrons énormément construire"

Le conseiller fédéral s'est dit par ailleurs préoccupé face aux difficultés qui s'annoncent en lien avec de grands projets d'infrastructures, que ce soit pour les transports ou l'énergie. "Nous devrons énormément construire à l'avenir. Nous avons besoin de nouveaux réseaux électriques, de nouvelles centrales, nous avons besoin aussi d'élargir nos capacités pour le rail et la route."

Il garde espoir cependant de pouvoir trouver des majorités pour de nouveaux grands projets: "Lorsque la pression est forte, le peuple se montre prêt en général à décider les mesures nécessaires." Albert Rösti, au passage, a encore observé que "le monde était devenu plus égoïste", regrettant que chacun ait tendance à "ne voir que sur son pas-de-porte".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

A Hawaï, tapis rouge et fleurs pour le président taïwanais

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Le président taïwanais Lai Ching-te est apparu vêtu d'une chemise hawaïenne. (© KEYSTONE/AP/Marco Garcia)

Le président taïwanais Lai Ching-te a été accueilli samedi sur un tapis rouge et par des colliers de fleurs dans l'archipel américain d'Hawaï. Cette première étape d'une tournée dans plusieurs territoires du Pacifique a suscité les protestations de Pékin.

Salué par des "alohas", le dirigeant est apparu décontracté, en chemise hawaïenne, pour visiter le musée Bishop d'histoire naturelle et culturelle et l'agence de gestion des services d'urgence de Hawaï, en recevant nombre de cadeaux.

A sa descente d'avion tôt samedi matin, un tapis rouge l'attendait, pour son premier voyage à l'étranger depuis sa prise de fonction en mai. Un tel traitement est une première pour un dirigeant taïwanais, a souligné son bureau dans un communiqué.

Il a été accueilli par le gouverneur de Hawaï Josh Green et Ingrid Larson, la directrice à Washington de l'Institut américain à Taïwan (AIT), ambassade américaine de facto dans l'île. Lors d'une visite au mémorial de l'USS Arizona, consacré aux marins américains tués lors de l'attaque de Pearl Harbor, il a appelé ses partenaires américains à s'engager pour maintenir la paix, sur fond de tensions avec la Chine.

"La paix n'a pas de prix et la guerre n'a pas de vainqueur. Nous devons nous battre, nous battre ensemble pour éviter la guerre, a-t-il déclaré dans un discours. Dans la soirée, M. Lai a été ovationné en arrivant sur un tapis rouge à un dîner avec des représentants du gouvernement américain et des Taïwanais de l'étranger.

M. Lai s'est dit "reconnaissant" aux États-Unis pour l'aide qu'ils lui ont apportée afin d'assurer le succès de sa tournée. Le partenariat entre Washington et Taipei est "solide comme le roc", a déclaré à ce dîner la présidente de l'Institut américain à Taïwan, Laura Rosenberger.

Protestations chinoises

Opposé à toute initiative donnant aux autorités taïwanaises une légitimité internationale, Pékin a dénoncé cet accueil. "La Chine condamne fermement l'organisation par les Etats-Unis du 'transit' de Lai Ching-te et a adressé des protestations solennelles auprès des Etats-Unis", a indiqué un porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

"La Chine suivra de près l'évolution de la situation et prendra des mesures résolues et efficaces pour sauvegarder sa souveraineté nationale et son intégrité territoriale", a-t-il souligné. Pékin estime que Taïwan est l'une de ses provinces, qu'il n'a pas encore réussi à réunifier avec le reste de son territoire depuis la fin de la guerre civile chinoise (1949). Il n'exclut pas le recours à la force pour y parvenir.

La Chine a qualifié Lai Ching-te de "séparatiste" à maintes reprises et accentué la pression militaire autour de l'île ces dernières années avec de nombreuses manoeuvres. Dans un discours prononcé avant le décollage, M. Lai a déclaré que sa tournée marquait l'entrée dans "une nouvelle ère démocratique". Il a déclaré vouloir "continuer à étendre la coopération et approfondir les partenariats avec nos alliés sur la base des valeurs de la démocratie, de la paix et de la prospérité".

Le président taïwanais doit passer deux jours à Hawaï et devrait aussi passer une nuit à Guam, en territoire américain, au cours de son voyage. Sa tournée le mènera aux îles Marshall, Tuvalu et Palaos, seules nations de la région parmi les 12 alliés restants à reconnaître Taïwan. Taïwan a déployé quatre avions de chasse F-16 pour escorter l'avion qui transporte le président taïwanais et sa délégation, selon un journaliste de l'AFP accompagnant le dirigeant.

Incertitude avec Trump

Des responsables taïwanais ont déjà fait escale sur le sol américain lors de déplacements dans le Pacifique ou en Amérique latine. La prédécesseure de Lai Ching-te, Tsai Ing-wen, avait ainsi transité par ces mêmes territoires américains en 2017.

En 2023, elle avait rencontré en Californie Kevin McCarthy, alors président de la Chambre des représentants des Etats-Unis. Pékin avait alors répliqué par d'importants exercices militaires autour de Taïwan. La Chine "veut toujours donner l'impression que Taïwan est isolée et dépendante" d'elle, estime auprès de l'AFP Bonnie Glaser, analyste au cercle de réflexion German Marshall Fund.

Washington reconnaît Pékin au détriment de Taipei depuis 1979 mais reste de fait l'allié le plus puissant de Taïwan et son principal fournisseur d'armes. Les Etats-Unis ont d'ailleurs annoncé vendredi avoir approuvé la vente potentielle de pièces détachées pour des avions de chasse F-16 et de systèmes radar à Taïwan.

En réponse, la Chine a exhorté les Etats-Unis "à cesser immédiatement d'armer Taïwan" et "d'encourager et de cautionner les forces qui cherchent à obtenir l'indépendance de Taïwan et veulent renforcer leur armée pour y parvenir", a déclaré le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.

Le voyage du dirigeant taïwanais intervient alors que Donald Trump doit arriver à la Maison Blanche en janvier. Taipei a félicité M. Trump pour sa victoire, mais des incertitudes demeurent quant à sa future politique envers l'île. Au cours de sa campagne, M. Trump avait suggéré que Taïwan paie les Etats-Unis pour sa défense.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Réseaux sociaux: l'Australie prête à discuter avec Musk

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Le premier ministre australien ANthony Alabnese s'est dit prêt dimanche à dialoguer avec le propriétaire de X Elon Musk sur l'interdiction des réseaux sociaux aux moins de 16 ans approuvée jeudi par Canberra. (© KEYSTONE/AP/Lukas Coch)

Le premier ministre australien s'est dit prêt dimanche à dialoguer avec le propriétaire de X Elon Musk, critique de l'interdiction des réseaux sociaux aux moins de 16 ans approuvée jeudi par le parlement du pays océanien.

"Nous parlerons à n'importe qui", a affirmé dimanche Anthony Albanese, interrogé par la chaîne australienne ABC sur la possibilité de discussions avec le milliardaire.

"En ce qui concerne Elon Musk, il a son programme. Il a le droit de le pousser en tant que propriétaire de X (...) Nous engagerons le dialogue", a ajouté le premier ministre lors de cet entretien.

Le texte obligera les plateformes telles que X, TikTok, Instagram ou encore Facebook à prendre "des mesures raisonnables" pour empêcher les enfants et jeunes adolescents de détenir un compte, dans un délai d'au moins un an, sous peine d'amende.

Mais la loi ne fournit quasiment aucun détail sur ses modalités d'application, si bien que certains experts ont exprimé des doutes sur la faisabilité technique de cette interdiction.

Les géants du secteur ont quant à eux condamné le texte, pointant le risque qu'il ne renvoie les jeunes utilisateurs vers des plateformes alternatives dangereuses.

M. Albanese a pour sa part affirmé dimanche que son gouvernement déciderait dans les 12 prochains mois des conditions de vérification de l'âge des utilisateurs, mais, a-t-il insisté, précisant qu'une pièce d'identité ne serait pas nécessaire.

"Nous savons que les entreprises de réseaux sociaux ont davantage d'informations sur vous et moi que nos propres amis (...) Nous savons qu'ils sont capables de le faire", a jugé le chef du gouvernement.

En novembre, le milliardaire Elon Musk avait soutenu sur X que le projet de loi visait à "contrôler l'accès à internet de tous les Australiens".

En cas de non-respect de l'obligation, les plateformes s'exposeront à des amendes pouvant atteindre 50 millions de dollars australiens (30,7 millions d'euros).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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