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Politique

Vaud: 64 millions pour rénover huit bâtiments publics

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La Haute école pédagogique (HEP) a été classée parmi les grands consommateurs d'énergie du canton de Vaud (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Conseil d'Etat vaudois prévoit un nouveau plan de rénovation énergétique touchant huit bâtiments publics, répartis sur quatre sites: gymnase d'Yverdon, Centre des laboratoires d'Epalinges (CLE), Haute école pédagogique (HEP) et Maison de l'Elysée à Lausanne. Un crédit de 64,2 millions de francs est soumis au Grand Conseil.

Deux bâtiments de la HEP, un bâtiment du CLE et la Maison de l'Elysée font partie de la liste de 77 bâtiments prioritaires identifiés par le Plan climat vaudois "en raison de leur performance énergétique insuffisante", écrit jeudi le Conseil d'Etat dans ses décisions hebdomadaires.

Par ailleurs, la HEP et le CLE ont été répertoriés en tant que grands consommateurs d'énergie. Les autres projets de rénovation visent à résoudre des problèmes urgents tels que les fuites, les défaillances des installations techniques et les risques pour les usagers.

Le Conseil d'Etat ajoute que la pose de panneaux solaires accompagne les projets de rénovation en "vue d'augmenter l'autonomie électrique de l'Etat."

Toujours au niveau énergétique, le Conseil d'Etat demande un crédit additionnel de 1,5 million de francs pour "l'optimisation des performances thermiques et la mise à niveau de l'installation électrique" de l'Ecole professionnelle commerciale de Lausanne (EPCL-Midi). Il doit s'ajouter au crédit de 38,5 millions, accordé en 2020 par le Grand Conseil.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Des étangs et une cour végétalisée remportent "Nature en ville"

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L'installation d'hôtels à insectes fait partie du projet de végétalisation de la cour du collège des Petits Cailloux (illustration". (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le jury du Concours nature en ville à Lausanne a choisi deux lauréats parmi les neuf dossiers qui lui avaient été soumis. Un projet de création d'étangs sur le site de la Fondation Eben-Hézer et un autre de végétalisation partielle de la cour du collège des Petits Cailloux remportent chacun la somme de 10'000 francs, a annoncé lundi la capitale vaudoise.

"Parmi les neuf dossiers déposés, deux projets concrétisent la ville éponge et participent à rendre le sol perméable. Ils ont été choisis pour leur impact positif sur la biodiversité, leurs aspects participatifs, le potentiel de reproductibilité et la visibilité pour le public", a déclaré Natacha Litzistorf, municipale en charge du logement, de l'environnement et de l’architecture, citée dans le communiqué.

Porté par la Fondation Eben-Hézer et ses résidents, le premier projet consiste en la création d’étangs sur deux sites de l'institution, accompagnés d'espaces arbustifs et d'actions de sensibilisation. Les travaux seront réalisés par des travailleuses et travailleurs en situation de handicap.

Végétaux et hôtels à insectes

Le second projet, porté entre autres par des associations du quartier de Praz-Séchaud et des élèves, consiste à transformer la cour actuellement goudronnée, en perméabilisant et végétalisant cinq espaces. Un arbre et des arbustes indigènes, des plantes grimpantes, des fleurs sauvages et des hôtels à insectes permettront de favoriser la biodiversité tout en améliorant l’environnement éducatif et social des enfants du quartier.

La 6e édition Concours nature en ville était ouverte à toute personne ou institution souhaitant amener de la biodiversité sur des parcelles privées. Le jury était composé de représentantes et représentants de la Ville de Lausanne et du Naturéum - Muséum cantonal des sciences naturelles de l'Etat de Vaud.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La COP29 s'ouvre à Bakou, bras de fer en vue sur le financement

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"Il est temps de montrer que la coopération mondiale n'est pas au point mort. Elle est à la hauteur du moment", a lancé le patron de l'ONU Climat, Simon Stiell, en ouverture de la conférence à Bakou. (© KEYSTONE/AP/Peter Dejong)

La 29e conférence climatique de l'ONU s'est ouverte lundi en Azerbaïdjan par un appel à la coopération mondiale, six jours après la réélection de Donald Trump. Cela alors que des centaines de milliards de dollars d'aide sont réclamés par les pays en développement.

"Il est temps de montrer que la coopération mondiale n'est pas au point mort. Elle est à la hauteur du moment", a lancé le patron de l'ONU Climat, Simon Stiell, en ouverture de l'énorme conférence à Bakou, sur les bords de la mer Caspienne, sans jamais mentionner le pays dont le nom est ici sur toutes les lèvres: les États-Unis.

L'enjeu principal de cette COP, qui durera jusqu'au 22 novembre, est de fixer le montant de l'aide climatique des États développés pour les pays en développement afin qu'ils se développent sans charbon ni pétrole, et puissent affronter plus de canicules et d'inondations. Aujourd'hui de 116 milliards de dollars par an (en 2022), le nouvel engagement doit se chiffrer en milliers de milliards annuels, réclament les pays pauvres.

Ordre de grandeur irréaliste

Mais les Occidentaux jugent cet ordre de grandeur irréaliste pour leurs finances publiques.

Le président de la COP29 Moukhtar Babaïev a évoqué des "centaines de milliards" dans son discours d'ouverture lundi, mais aucun négociateur n'a dévoilé ses cartes. Des délégués ont négocié jusqu'à 4H du matin dans la nuit de dimanche à lundi.

"Moment de vérité"

"La COP29 est un moment de vérité pour l'accord de Paris", a lancé M. Babaïev, ministre azerbaïdjanais de l'écologie, et ancien cadre la compagnie pétrolière nationale, Socar.

Environ 51'000 participants sont accrédités, selon l'ONU Climat, moins que lors de l'extravagante COP28 de Dubaï l'an dernier. Nombre d'ONG critiquent la tenue de la conférence dans un pays qui célèbre le pétrole comme un "cadeau de Dieu", et où les autorités ont arrêté et poursuivent plusieurs militants environnementaux.

Il ne faudra qu'une signature à Donald Trump, à son entrée à la Maison Blanche le 20 janvier, pour rejoindre l'Iran, le Yémen et la Libye hors de l'accord adopté à Paris en 2015 par les pays du monde entier. Cet accord est le moteur qui a permis d'infléchir la trajectoire de réchauffement mondial depuis dix ans aux alentours de 3°C ou moins d'ici 2100, selon les calculs.

Le texte engage le monde à limiter à 2°C le réchauffement et à poursuivre les efforts pour le contenir à 1,5°C, par rapport à la fin du 19e siècle. L'année 2024, diluvienne pour de nombreux pays, sera quasi certainement à ce niveau. Si cela se maintient sur le long terme, la limite climatique serait considérée comme atteinte.

Beaucoup d'absents

Les Européens jurent qu'ils redoubleront d'efforts pour compenser le retrait américain, mais peu iront à Bakou. Ni Emmanuel Macron, ni Olaf Scholz ne participeront au sommet d'une centaine de dirigeants mardi et mercredi. Seule une poignée de dirigeants du G20 seront présents. Le Brésilien Lula, hôte de la COP30 l'année prochaine, est absent aussi.

Pour la Suisse, le ministre de l'environnement et de l'énergie Albert Rösti sera présent dans la deuxième partie de la conférence.

"Tout le monde sait que ces négociations ne seront pas simples", a lâché la ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock.

L'Ougandais Adonia Ayebare, président d'un bloc de négociations appelé G77+Chine, qui regroupe les pays en développement, prévient que les négociations de deux semaines seront difficiles. "Dès qu'on parle d'argent, tout le monde se montre sous son vrai jour", confie le diplomate à l'AFP.

Chine: pas question de payer

Cet argent, en grande majorité des prêts, permet de construire des centrales solaires, d'améliorer l'irrigation, de construire des digues ou d'aider les agriculteurs face aux sécheresses.

"Il faut (...) renoncer à l'idée que le financement de l'action climatique est une oeuvre de charité. Un nouvel objectif ambitieux en matière de financement de l'action climatique est dans l'intérêt de chaque nation, y compris les plus grandes et les plus riches", a déclaré Simon Stiell.

Mais l'ambiance dans les pays riches est l'austérité (en Europe) ou le désengagement international (aux États-Unis). Beaucoup réclament que la Chine et les pays du Golfe contribuent davantage.

Ce à quoi le négociateur chinois a répondu qu'il n'était pas question de "renégocier" les textes onusiens, qui stipulent clairement que seuls les pays développés, selon une vieille définition onusienne, ont l'obligation de payer.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Ukraine: Trump multiplie les appels, le Kremlin dément un échange

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Donald Trump a multiplié ce week-end les entretiens avec des dirigeants européens à propos de l'Ukraine. (© KEYSTONE/AP/Matt Rourke)

Depuis sa victoire à l'élection présidentielle américaine, Donald Trump multiplie les appels concernant la guerre en Ukraine, le Washington Post ayant même fait état d'un échange avec le président russe Vladimir Poutine démenti ensuite par le Kremlin.

Selon des sources anonymes citées par le Washington Post, le républicain aurait demandé au dirigeant russe de ne pas provoquer d'escalade en Ukraine.

Un porte-parole de l'équipe de transition du président américain élu a indiqué dans un communiqué à l'AFP ne pas "commenter les appels privés entre le président Trump et d'autres dirigeants".

Cependant, lundi, le Kremlin a démenti l'information du Wahington Post, la qualifiant "d'invention".

"Cela ne correspond absolument pas à la réalité, c'est une pure invention", "c'est tout simplement une information fausse", a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

"Pour l'instant, il n'y a pas de plans concrets" pour une telle discussion, a-t-il dit. La semaine dernière, les deux hommes se sont dits prêts à se parler.

"Signaux positifs"

Le Kremlin avait estimé dimanche que le républicain avait envoyé pendant la campagne des "signaux positifs" concernant le conflit, puisqu'il a évoqué une possible "paix" et n'a pas montré de "volonté d'infliger une défaite stratégique à la Russie".

Selon le Washington Post, Donald Trump et Vladimir Poutine ont discuté de l'objectif de paix sur le continent européen et Donald Trump a dit espérer pouvoir avoir des conversations de suivi afin de discuter de "la résolution de la guerre en Ukraine bientôt".

Selon Dmitri Peskov, Vladimir Poutine a répété la semaine dernière "qu'il est ouvert à toutes les négociations" avec les Occidentaux sur l'Ukraine, mais "aucun signal n'a été envoyé" par ceux-ci.

"S'ils disent que des signaux viendront, il faut les attendre. Pour l'instant, aucun signal n'est arrivé", a-t-il ajouté.

Donald Trump aurait aussi rappelé à Vladimir Poutine l'ampleur de la présence militaire américaine en Europe.

Echange Trump-Zelensky

Très critique des milliards de dollars débloqués pour l'Ukraine, Donald Trump s'était déjà entretenu mercredi avec Volodymyr Zelensky. Un échange auquel a participé le milliardaire Elon Musk.

Le président ukrainien avait qualifié cet échange téléphonique d'"excellent" et avait "convenu de maintenir un dialogue étroit" avec M. Trump. Mais selon une source ukrainienne haut placée, les deux dirigeants n'ont "pas vraiment discuté de quoi que ce soit de substantiel, c'était une conversation pour se saluer".

De son côté, la chancellerie allemande a indiqué qu'Olaf Scholz s'était entretenu dimanche avec Donald Trump et qu'ils s'étaient tous deux dit "prêts à travailler ensemble pour le retour de la paix en Europe".

Les dossiers de politique étrangère seront au menu de la rencontre entre Joe Biden et Donald Trump prévue dans le Bureau ovale mercredi pour amorcer la passation de pouvoir.

Six milliards pour Kiev

Les Etats-Unis dépenseront les six milliards de dollars restants dédiés à l'Ukraine avant l'arrivée de Donald Trump au pouvoir, a affirmé dimanche le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan, mettant en garde contre les risques liés à l'arrêt du soutien américain à Kiev.

Donald Trump, qui fera son retour à la Maison Blanche le 20 janvier, a régulièrement affirmé pouvoir mettre fin à la guerre en Ukraine "en un jour", sans jamais détailler comment il s'y prendrait.

Mais cela pourrait probablement passer par un accord qui exigerait que Kiev cède à Moscou une partie de son territoire, une concession impossible à envisager côté ukrainien.

Cette question aurait été évoquée au cours de l'entretien entre Donald Trump et Vladimir Poutine, selon le Washington Post.

Samedi, le fils aîné de Donald Trump, Donald Trump Junior, a partagé sur Instagram une photo de Volodymyr Zelensky aux côtés de son père. Avec en légende "POV" (point of view ou point de vue): "tu es à 38 jours de perdre tes allocations", en référence aux milliards dépensés par les Etats-Unis pour aider Kiev.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Attaques de drones sur Moscou et en Ukraine-entretien Trump-Poutine

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Josep Borrell, haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, et Andrii Sybiha, ministre ukrainien des Affaires étrangères (D)devant le mur à la mémoire des défenseurs de l'Ukraine à Kiev le 9 novembre. (© KEYSTONE/EPA/SERGEY DOLZHENKO)

Des attaques de drones d'une ampleur inédite ont visé dans la nuit de samedi à dimanche l'Ukraine et la région de Moscou, ont dénoncé les deux camps, malgré l'entretien entre Poutine et Trump, qui lui aurait demandé de ne pas provoquer d'escalade en Ukraine.

Ils ont discuté de l'objectif de paix sur le continent européen et Donald Trump a dit espérer pouvoir avoir des conversations de suivi afin de discuter de "la résolution de la guerre en Ukraine bientôt", selon les sources anonymes du quotidien américain, le Washington Post.

Interrogé par l'AFP, l'entourage de Donald Trump n'a pas confirmé cette première conversation téléphonique entre les deux hommes depuis que M. Trump a remporté la présidentielle américaine mardi dernier.

Alors que le conflit entre Kiev et Moscou fait toujours rage, le Kremlin a dit, lui, voir des "signaux positifs" venant du président élu américain Donald Trump. "Les signaux sont positifs. Trump, pendant sa campagne électorale, a dit qu'il perçoit tout cela via des accords. Et qu'il peut obtenir un accord qui amène à la paix", a affirmé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, dans une interview diffusée dimanche.

"Il parle de paix, pas de confrontation, pas de volonté d'infliger une défaite stratégique à la Russie, ce qui le distingue favorablement de l'administration actuelle", a-t-il poursuivi.

Selon M. Peskov, reste à voir si M. Trump "s'en tiendra à ses déclarations" de campagne.

Donald Trump, qui fera son retour à la Maison Blanche le 20 janvier, a régulièrement affirmé pouvoir mettre fin à la guerre "en un jour", sans jamais détailler comment il s'y prendrait. Mais cela pourrait probablement passer par un accord qui exigerait que Kiev cède à Moscou une partie de son territoire.

La Russie devra répondre des crimes de guerre commis en Ukraine et payer pour les destruction commises quel que soit le futur accord de paix, a estimé dimanche le chef de la diplomatie de l'Union européenne Josep Borrell. "La paix, pour qu'elle soit la paix et pas juste un cessez-le-feu, doit être juste et durable", a souligné M. Borrell, premier haut dirigeant européen à se rendre en Ukraine depuis l'élection aux Etats-Unis de Donald Trump.

Avec la victoire à la présidentielle américaine de Donald Trump se pose la question de la pérennité du soutien américain, qui a permis à l'Ukraine de résister aux troupes russes depuis février 2022.

Les Etats-Unis dépenseront les six milliards de dollars restants dédiés à l'Ukraine avant l'arrivée de Donald Trump au pouvoir, a affirmé dimanche le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan, mettant en garde contre les risques liés à l'arrêt du soutien américain à Kiev.

Attaque sur Moscou

Sur le terrain, les combats se poursuivent.

Le ministère russe de la Défense a affirmé avoir neutralisé dans la matinée 34 drones dans la région de Moscou, un nombre record dans le secteur de la capitale russe depuis le début du conflit entre la Russie et l'Ukraine en 2022.

Selon cette source, 36 autres drones ukrainiens ont été abattus dans deux régions limitrophes de Moscou et dans trois autres frontalières de l'Ukraine.

Le gouverneur de la région de Moscou, Andreï Vorobiov, a affirmé que les interceptions s'étaient notamment déroulées au-dessus des villes de Ramenskoïe et Domodedovo, à une quarantaine de kilomètres au sud-est du centre de Moscou et à proximité d'aéroports.

Selui lui, une femme de 52 ans a été blessée par des éclats, brûlée au visage, au cou et aux mains, et deux maisons ont été incendiées.

Cette opération dans la banlieue de Moscou intervient quatre jours après une attaque massive de drones russes sur la capitale ukrainienne, visée quasiment quotidiennement depuis un mois.

Dans la nuit de samedi à dimanche, une nouvelle attaque "record" de 145 drones russes a visé l'Ukraine, a dénoncé sur X le président ukrainien Volodymyr Zelensky. L'armée de l'air ukrainienne a indiqué que 62 de ces 145 drones avaient été neutralisés.

Pour l'heure, les autorités ukrainiennes n'ont pas revendiqué les frappes de drones visant Moscou.

Progrès russe dans l'Est

Sur le front, les troupes ukrainiennes sont en voie d'épuisement, souffrant de leur infériorité en armement et en personnel, et reculant sur de multiples secteurs dans l'est de l'Ukraine, où les troupes russes progressent plus rapidement ces dernières semaines.

La Russie a revendiqué dimanche la conquête d'un nouveau village, celui de Vovtchenka, dans la région ukrainienne de Donetsk (est).

Par ailleurs, des milliers de soldats nord-coréens sont, selon Kiev et les Occidentaux, déployés dans la région russe de Koursk, où l'armée ukrainienne contrôle quelques centaines de kilomètres carrés depuis son opération surprise lancée le 6 août. Kiev assure qu'ils ont déjà été engagés dans des combats.

Les Occidentaux refusent toutefois d'autoriser Kiev à frapper en profondeur le territoire russe avec les armes qu'ils fournissent et d'abattre les engins russes visant les villes ukrainiennes, de crainte que cela n'entraîne une escalade.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Allemagne: Scholz prêt à un vote de confiance cette année

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Le chancelier allemand Olaf Scholz s'est dit prêt, sous conditions, à se soumettre dès cette année au vote de confiance des députés. (© KEYSTONE/AP/Denes Erdos)

Le chancelier allemand Olaf Scholz s'est dit prêt, sous conditions, à se soumettre dès cette année au vote de confiance des députés en vue d'accélérer l'organisation d'élections législatives anticipées après la rupture de sa coalition gouvernementale.

"Ce n'est pour moi pas un problème de poser la question de confiance avant Noël" au Bundestag, si le parti social-démocrate au pouvoir et l'opposition conservatrice s'accordent en ce sens, a dit M. Scholz dimanche dans un entretien à la télévision publique ARD. Mercredi, il avait évoqué la date du 15 janvier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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