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Israël promet d'évacuer la population avant toute opération à Rafah

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Le chancelier allemand Olaf Scholz (à droite) a appelé à un cessez-le-feu durable à Gaza, à l'issue d'une rencontre dimanche à Jérusalem avec Benjamin Netanyahu. (© KEYSTONE/EPA/LEO CORREA / POOL)

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a assuré dimanche que les 1,5 million de Palestiniens entassés à Rafah seraient évacués avant toute opération militaire contre cette ville du sud de la bande de Gaza assiégée.

Ces dernières 24 heures, plus de 90 Palestiniens dont douze membres d'une même famille ont été tués dans des raids aériens israéliens qui ont touché plusieurs secteurs de la bande de Gaza dont Rafah, a indiqué le ministère de la Santé du mouvement islamiste palestinien Hamas.

Plus de cinq mois après le début de la guerre entre Israël et le Hamas, déclenchée par une attaque sanglante de ce mouvement, le bilan humain ne cesse de s'alourdir dans le territoire palestinien menacé par la famine avec 31'645 morts depuis le 7 octobre, selon le Hamas.

Tout en réaffirmant sa détermination à lancer une offensive terrestre à Rafah, M. Netanyahu a assuré qu'une telle opération "n'est pas quelque chose que nous ferons en laissant la population enfermée sur place", alors que la communauté internationale redoute la perspective d'un tel assaut.

Pressions rejetées

M. Netanyahu a rejeté dimanche les pressions internationales. "Aucune pression internationale ne nous empêchera d'atteindre tous les objectifs de notre guerre (...) Nous agirons à Rafah, cela prendra quelques semaines mais cela aura lieu", a-t-il lancé, selon ses services. Vendredi, il a approuvé "les plans d'action" de cette offensive, impliquant une "évacuation de la population".

La pression vient surtout des Etats-Unis, principaux alliés d'Israël, dont le président Joe Biden s'éloigne de plus en plus ostensiblement de Benjamin Netanyahu.

M. Biden avait ainsi salué vendredi le "bon discours" prononcé la veille par le chef des sénateurs démocrates Chuck Schumer, qui a réclamé des élections pour remplacer le gouvernement de M. Netanyahu.

"Nous ne sommes pas une république bananière", a répliqué le Premier ministre israélien dans des interviews dimanche à CNN et Fox News, qualifiant l'appel de M. Schumer, personnalité juive la plus haut placée du pouvoir législatif américain, de "complètement déplacé".

"Que veulent-ils de nous?"

La plupart des 1,7 million de déplacés de la guerre selon l'ONU ont trouvé refuge dans la ville de Rafah collée à la frontière fermée de l'Egypte et quotidiennement bombardée par l'armée israélienne.

Avant l'aube, les raids ont été intenses à Deir al-Balah dans le centre, à Gaza-Ville dans le nord et à Khan Younès et Rafah dans le sud, selon des témoins. Des combats ont opposé soldats israéliens et combattants palestiniens dans plusieurs secteurs.

Au moins 92 Palestiniens ont été tués, en majorité des civils, a indiqué le ministère de la Santé du Hamas. Parmi eux, 12 membres de la famille Thabet dont l'habitation a été détruite à l'aube par les bombes à Deir al-Balah, d'après la même source.

Leen Thabet raconte en pleurant que sa cousine a été tuée dans la frappe. "Elle est morte. Il ne reste que sa robe", dit la fillette en montrant une robe blanche sortie des décombres. "Que veulent-ils de nous? Il n'y a plus d'enfants à Gaza."

L'armée israélienne a elle affirmé avoir tué depuis samedi "18 terroristes" dans le centre de Gaza.

Le 7 octobre, des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza ont mené une attaque sans précédent dans le sud d'Israël, durant laquelle au moins 1160 personnes ont été tuées, la plupart des civils, selon un décompte de l'AFP à partir de sources officielles.

D'après Israël, environ 250 personnes ont été enlevées et 130 d'entre elles sont toujours retenues à Gaza, dont 32 seraient mortes.

En représailles, Israël a juré de détruire le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007 et qu'il considère comme une organisation terroriste au même titre que les Etats-Unis et l'Union européenne.

Il a lancé une campagne aérienne massive, suivie 20 jours plus tard d'une offensive terrestre ayant permis à ses soldats d'avancer du nord au sud du territoire palestinien d'environ 40 km de long et 10 de large.

"Cessez-le-feu durable"

Face à la guerre dévastatrice, les pays médiateurs - Etats-Unis, Qatar, Egypte - tentent de parvenir à une nouvelle trêve après celle de fin novembre qui a duré une semaine.

Le cabinet de sécurité devrait déterminer dimanche le "mandat" de la délégation israélienne qui doit se rendre à Doha pour de nouvelles discussions.

Le chancelier allemand Olaf Scholz a appelé dimanche à un "accord sur les otages et à un cessez-le-feu durable" dans la bande de Gaza, à l'issue d'une rencontre à Jérusalem avec M. Netanyahu.

Ce dernier a indiqué toutefois qu'il n'accepterait pas un accord "qui rend Israël faible et incapable de se défendre".

Le Hamas s'est dit prêt, dans une nouvelle proposition, à une trêve de six semaines, pendant laquelle 42 otages - femmes, enfants, personnes âgées et malades - seraient libérés en échange de 20 à 50 prisonniers palestiniens contre chaque otage relâché.

Il réclame aussi "le retrait de l'armée des villes et zones peuplées", le "retour des déplacés" et l'entrée de 500 camions d'aide par jour à Gaza, selon un de ses cadres.

Israël contrôle l'entrée des aides terrestres à Gaza, qui restent très insuffisantes au regard des besoins immenses des 2,4 millions d'habitants, dont la grande majorité sont menacés de famine selon l'ONU.

Parti de Chypre, un bateau de l'ONG espagnole Open Arms transportant 200 tonnes de vivres de l'organisation World Central Kitchen est arrivé vendredi dans la bande de Gaza et doit être suivi par un deuxième, à une date qui n'est pas connue.

En outre, plusieurs pays poursuivent le parachutage de la nourriture sur Gaza. Malgré ces efforts, l'ONU estime que l'aide par voie terrestre demeure vitale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Friedrich Merz réaffirme le soutien de l'Allemagne à Israël

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Friedrich Merz (à gauche) s'est rendu dimanche matin au Mémorial de Yad Vashem à Jérusalem. (© KEYSTONE/EPA/JOHN WESSELS / POOL)

Le chancelier allemand Friedrich Merz a réaffirmé dimanche le soutien de l'Allemagne à Israël, lors d'une visite au mémorial de la Shoah, Yad Vashem, à Jérusalem. Il a ensuite entamé une rencontre avec son homologue israélien Benjamin Netanyahu.

M. Merz est arrivé samedi pour une visite diplomatique en Israël, la première depuis sa prise de fonctions, destinée à consolider la relation privilégiée entre les deux pays, après des frictions au vu de la guerre menée dans la bande de Gaza et des violences de colons juifs extrémistes en Cisjordanie occupée.

"L'Allemagne doit défendre l'existence et la sécurité d'Israël. Cela restera à jamais profondément inscrit dans le lien qui nous unit", a déclaré le chancelier au mémorial Yad Vashem. Il a mis en avant "la responsabilité historique durable" de son pays dans l'extermination de six millions de juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

Il a ensuite été entamé un entretien avec M. Netanyahu, de plus en plus isolé sur le plan international. L'entretien doit porter sur les efforts en vue de passer à une deuxième phase du cessez-le-feu à Gaza, dans le cadre du plan du président américain Donald Trump censé mettre un point final à la guerre déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque du Hamas palestinien en Israël.

"Dilemmes"

Accueilli samedi à Tel-Aviv par le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, qui l'a qualifié d'"ami d'Israël ", M. Merz a ensuite rencontré dans la soirée le chef de l'Etat Isaac Herzog à Jérusalem.

"Se tenir au côté de ce pays fait partie du noyau essentiel, immuable de la politique de la République fédérale d'Allemagne et le restera", a-t-il dit à l'issue de la rencontre. Sa décision de décréter un embargo partiel sur les exportations d'armes de son pays vers Israël face à l'intensification des bombardements sur Gaza avait fortement déplu aux autorités israéliennes.

"Les actions de l'armée israélienne à Gaza nous ont posé quelques dilemmes [et] nous y avons réagi", mais "nous avons également constaté qu'à ce jour, il n'y a fondamentalement aucune divergence [entre nous]", a ajouté M. Merz, qui a levé cet embargo fin novembre à la faveur du cessez-le-feu en vigueur à Gaza depuis le 10 octobre.

"Israël a le droit de se défendre car c'est la seule façon de garantir son droit à exister", a-t-il encore déclaré.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Bénin: l'armée a repris le contrôle, selon l'entourage du président

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Patrice Talon dirigeait le Bénin depuis 2016 (archives). (© KEYSTONE/AP/MICHEL EULER)

Le président béninois Patrice Talon est en sécurité et l'armée reprend le contrôle, a annoncé dimanche à l'AFP l'entourage du chef de l'Etat. Des militaires avaient annoncé plus tôt dans la matinée sa destitution à la télévision publique.

"Il s'agit d'un groupuscule de personne qui ont uniquement la télévision. L'armée régulière reprend le contrôle. La ville (la capitale Cotonou) et le pays sont totalement sécurisés, le président et sa famille aussi", a dit à l'AFP une source militaire dans l'entourage de M. Talon.

Tôt dimanche matin, des militaires béninois avaient annoncé sur la télévision publique avoir "démis de ses fonctions" le président Talon, qui devait passer la main en avril prochain après dix ans au pouvoir.

Ce groupe de militaires, qui se proclame "le Comité militaire pour la refondation (CMR)", "réuni dimanche 7 décembre 2025, a délibéré et décidé ce qui suit: M. Patrice Talon est démis de ses fonctions de président de la République", avaient précisé ces militaires.

L'ambassade de France avait rapporté sur X que "des coups de feu ont été signalés à Camp Guezo, a proximité du domicile du président de la République", à Cotonou.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Hong Kong aux urnes après un incendie meurtrier

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Le territoire est recouvert depuis des semaines d'affiches de campagne pour inciter les électeurs à aller voter. (© KEYSTONE/EPA/MAY JAMES)

Les Hongais Kongais sont appelés aux urnes dimanche pour élire leurs législateurs conformément aux règles imposées par Pékin depuis 2021. Les efforts du gouvernement pour encourager la participation ont toutefois été éclipsés par l'incendie meurtrier du 26 novembre.

Les citoyens de l'ancienne colonie britannique rétrocédée en 1997, aujourd'hui territoire à statut spécial de la Chine et place financière, ont commencé à voter à 07h30 (00h30 suisses) pour élire 90 députés du Conseil législatif de Hong Kong, dont seulement 20 sièges sont pourvus au suffrage direct.

A la mi-journée, le taux de participation s'élevait à 10,33%, contre 9,35% à la même heure lors des dernières élections il y a quatre ans. Dimanche, les autorités ont élargi la plage horaire d'ouverture des bureaux de vote jusqu'à 23h30 et les trains circuleront plus tard dans la cité, qui se partage entre des îles et une partie continentale.

"Votre vote est un vote qui fait avancer les réformes et protège les personnes touchées par la catastrophe", a déclaré le chef de l'exécutif local, John Lee, devant la presse après avoir voté, exhortant la population à l'imiter.

La campagne électorale a été brutalement interrompue par l'incendie qui a ravagé des tours d'habitation de Wang Fuk Court, dans le nord de Hong Kong le 26 novembre, faisant au moins 159 morts.

Système réformé par Pékin

Ce scrutin se déroulera à nouveau sans les deux principaux partis pro-démocratie: le Parti civique, dissous en 2023, et le Parti démocrate, en déclin.

En 2021, Pékin a réformé le système électoral de Hong Kong afin de garantir que seuls les "patriotes" puissent occuper des fonctions publiques, et a considérablement réduit le nombre de sièges élus au suffrage direct. Certains députés pro-démocratie ont été emprisonnés, d'autres ont démissionné ou fui Hong Kong.

Environ un tiers des députés sortants ne briguent pas de nouveau mandat. Parmi les nouveaux venus, la championne olympique d'escrime Vivian Kong, candidate dans la circonscription dédiée au tourisme - où le vainqueur est désigné par les représentants du secteur et non par le suffrage universel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Une frappe des paramilitaires fait des dizaines de morts au Soudan

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L'attaque a été imputée aux Forces de soutien rapide (FSR), en guerre avec l'armée depuis avril 2023 (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/Hussein Malla)

Une attaque menée par drones des paramilitaires contre la ville de Kalogi, contrôlée par l'armée, a tué des dizaines de civils dans l'Etat du Kordofan-Sud au Soudan, a déclaré dimanche un responsable local. Des enfants font partie des victimes.

Trois frappes ont été menées touchant "d'abord une école maternelle, puis un hôpital" puis "des personnes qui tentaient de secourir les enfants", a déclaré à l'AFP Essam al-Din al-Sayed, chef de l'unité administrative de Kalogi.

Il a imputé l'attaque aux Forces de soutien rapide (FSR), en guerre avec l'armée depuis avril 2023, et leurs alliés du Mouvement populaire de libération du Soudan-Nord dirigé par Abdelaziz al-Hilu.

L'Unicef avait déclaré jeudi que l'attaque avait tué plus de 10 enfants âgés de cinq à sept ans, tandis que le ministère des Affaires étrangères, aligné sur l'armée, a estimé le nombre de morts à 79, dont 43 enfants. La vérification indépendante des informations provenant de la région du Kordofan reste difficile en raison des restrictions d'accès et de l'insécurité persistante.

"Tuer des enfants dans leur école est une violation horrible des droits de l'enfant", avait fustigé Sheldon Yett, représentant de l'Unicef au Soudan, exhortant toutes les parties à cesser les attaques et à permettre l'accès humanitaire.

Après avoir pris fin octobre El-Facher, dernier bastion de l'armée dans l'ouest du Soudan, les FSR ont poussé leur offensive dans la région pétrolifère du Kordofan, plus à l'est. Selon l'ONU, plus de 40'000 personnes ont fui la région au cours du mois dernier.

Selon les analystes, la poussée des paramilitaires vise à briser l'arc défensif de l'armée autour du centre du Soudan et à préparer le terrain pour tenter de reprendre les grandes villes, dont Khartoum, reprise par l'armée au printemps.

Depuis avril 2023, les combats au Soudan ont fait des dizaines de milliers de morts, forcé le déplacement de 12 millions de personnes et plongé le pays dans la pire crise humanitaire au monde, selon l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Cassis: "Mon objectif est que nous soyons prêts en tant qu'OSCE"

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Pour Ignazio Cassis, la Suisse doit être prête à se montrer réactive lorsqu'elle présidera l'OSCE. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Le conseiller fédéral Ignazio Cassis veut profiter de la présidence suisse de l'OSCE en 2026 pour se préparer à un éventuel cessez-le-feu en Ukraine. "Mon objectif est que nous soyons prêts en tant qu'OSCE", a déclaré M. Cassis dans une interview au SonntagsBlick.

Un accord entre la Russie et l'Ukraine souhaité par le président américain Donald Trump pourrait se produire "soudainement - comme pour l'accord de Gaza". La présidence suisse de l'OSCE fixe en tout trois priorités: la consolidation de l'organisation en tant que plate-forme d'échange en matière de politique de sécurité pour des mesures de confiance, une solution à la question budgétaire bloquée ainsi que la préparation à une éventuelle intervention après un cessez-le-feu.

L'OSCE peut envoyer des observateurs à court terme, surveiller une ligne de cessez-le-feu et surveiller des élections, mais la ligne de front est actuellement longue de 1300 kilomètres - pour observer toute la longueur, l'OSCE seule est trop petite. Il faudrait beaucoup d'engagement de la part des Etats participants", a déclaré M. Cassis. Selon le ministre des Affaires étrangères, les Etats-Unis, le plus grand contributeur, critiquent l'organisation qui, comme d'autres institutions multilatérales, a "perdu le cap", et font pression pour des coupes budgétaires.

L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) réunit 57 Etats d'Europe à l'Amérique du Nord. Toutes les décisions doivent être prises par consensus, chaque membre dispose d'un droit de veto. La Finlande assure la présidence de l'organisation jusqu'à la fin de l'année. A partir du 1er janvier, la Suisse reprendra ce poste pour un an. L'OSCE est actuellement dans l'impasse en ce qui concerne l'adoption d'un budget et la détermination de la présidence pour l'année 2027.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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