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Actualité

#10 Moi, Manon, 24 ans, stagiaire chez Radio Lac

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La classe de troisième année dans le studio de Radio Lac.

Episode #10: Visite de la radio 

Comme promis, je suis revenue de vacances, une pause dans le froid du nord et de l'hiver, à se promener dans la nature sauvage d'Ecosse!

Je ne vous ai pas encore parlé de comment j’ai obtenu ce stage chez Radio Lac. C’est en fait assez simple et en même temps un peu de chance. Dans l’école genevoise dans laquelle j’ai passé mon Bachelor, nous passons chaque année l’épreuve du "Job Dating". Une première session est organisée en début d’année pour aider dans la recherche du stage, et une seconde en fin d’année. C’est a cette occasion que j’ai rencontrée pour la première fois Barbara qui travaille elle aussi à Radio Lac. A ce moment là, j’étais encore en stage dans une entreprise événementielle, mais l’idée de travailler pour un média m’avait plu et m'était restée en tête. Pendant l’entretien, j’avais bien compris qu’il ne fallait pas trop prendre à la légère ce domaine et que le dynamisme et un bon réseau primaient pour faire partie de l’équipe. 

Un peu plus tard, Barbara m’avait contactée pour un stage, mais étant déjà prise, nous n’avions pas donné suite. C’est plus tard, un mois après la fin de mon premier stage, et sans emploi, que j’ai reçu un nouvel appel de Radio Lac. Où en étais-je de ma recherche d’emploi et étais-je intéressée par un stage à la rédaction, voulais savoir Barbara. J'ai donc saisi cette opportunité, tout en me demandant si je m'en sortirai sans formation et sans trop d'idée du travail dans un média.

Voilà donc mon histoire, tout cela pour en venir au fait que ces dernières semaines, nous avons reçu la visite des trois classes de mon ancienne école. C’était en effet aussi une habitude récurrente de visiter certaines entreprises ou institutions durant l’année scolaire. Le but étant à la fois de nous permettre de découvrir les rouages des métiers et les domaines touchant aux relations publiques ou au tourisme. 

J’étais ravie d’apprendre que mes camarades venaient voir l’environnement dans lequel j’évolue désormais, et j’avais aussi envie de piquer leur curiosité et les ouvrir à ce type de métiers ou stages. J’ai donc demandé à accompagner Barbara dans sa visite guidée des studios et de la rédaction. Nous avons bien ri en voyant les réactions de tous envers leur propre voix enregistrée, une sorte de dégoût et rejet immédiat qui touche presque tout le monde il me semble. La visite de la régie publicitaire et de son fonctionnement étonnant, et la vue si agréable depuis la terrasse ont aussi fait leur petit effet, comme pour moi la première fois. En voyant les questions intéressées et les regards intrigués pendant la visite, je suis sûre que certains reviendront un jour dans les locaux avec des envies de plus connaître le domaine de la radio.

Je vous souhaite une belle fin de week-end, et à la semaine prochaine!

Economie

Le groupe TMTG de Trump accuse des fonds de manipuler son action

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Trump Media and Technology Group a comme principal actif le réseau social Truth Social (archives). (© KEYSTONE/AP/Frank Franklin II)

Trump Media and Technology Group (TMTG) de l'ex-président américain Donald Trump a alerté vendredi la bourse électronique Nasdaq, accusant des fonds spéculatifs de manipuler le marché pour faire baisser le cours de son action moyennant un mécanisme illégal.

Entre son introduction en bourse, le 26 mars et mardi, le cours de TMTG s'est effondré de plus de 70%, avant de rebondir de plus de 60% lors les trois dernières séances de la semaine.

Mardi, TMTG a publié un document pédagogique répondant à une série de questions que peuvent se poser les actionnaires du groupe de médias de Donald Trump, dont le principal actif est le réseau social Truth Social. Il leur a notamment donné des conseils pour éviter que leurs titres ne soient prêtés à des spéculateurs qui souhaiteraient parier sur la baisse du cours.

Ce mécanisme appelé vente à découvert consiste à emprunter une action, puis à la vendre. Dans un second temps, le spéculateur rachète un titre de la même entreprise, puis le donne à la personne ou la société à laquelle il l'a emprunté.

Ventes à découvert "à nu"

Si le cours de l'action a baissé dans l'intervalle, le spéculateur a racheté le titre moins cher que le prix auquel il l'avait vendu, ce qui lui permet de réaliser un bénéfice.

Le directeur général de TMTG, Devin Nunes, membre républicain de la chambre des représentants de 2003 à 2022, a envoyé au Nasdaq un courrier s'inquiétant de possibles pratiques dites de ventes à découvert "à nu" (short selling).

Cette technique, contre laquelle le régulateur américain des marchés (SEC) a pris des mesures en 2005 et 2008, consiste à promettre de vendre un titre sans l'avoir emprunté auparavant. Elle permet de démultiplier les ventes à découvert, qui ne sont plus limitées au nombre d'actions disponibles.

Devin Nunes évoque une "possible manipulation de marché" sur cette base et relève que parmi les sociétés les plus actives dans les échanges d'actions de TMTG figurent deux sociétés d'investissements alternatifs ou "hedge funds", à savoir Citadel Securities et Jane Street Capital.

"Devin Nunes est un 'loser' patenté qui essaye de mettre la chute du titre sur le compte des ventes à découvert à nu", a réagi Ken Griffin, l'influent patron de Citadel, dans une déclaration à plusieurs médias.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Demande d'annulation de la garantie déposée par Trump à New York

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Dans ce dossier, Donald Trump a été condamné à 454 millions de dollars d'amende, avec ses fils Eric et Donald Jr., pour fraudes financières au sein de leur empire immobilier Trump Organization (archives). (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

La procureure générale de l'Etat de New York a requis vendredi l'annulation de la garantie de 175 millions de dollars versée par l'ex-président américain Donald Trump dans l'affaire de fraudes financières. Elle lui avait permis d'éviter des saisies sur son patrimoine.

M. Trump avait écopé d'une condamnation à 454 millions de dollars d'amende dans cette affaire. Outre de repousser d'humiliantes saisies judiciaires sur son patrimoine, la garantie, déposée le 1er avril, lui avait permis de faire appel de la condamnation.

Mais dans un document judiciaire déposé vendredi par la procureure générale Letitia James, à trois jours d'une audience sur la validité de cette garantie, ses services assurent qu'elle doit être annulée.

"Plutôt que de choisir comme caution une grande compagnie d'assurance nationale licenciée à New York, expérimentée dans la souscription de garanties de cautionnements et dont les liquidités sont largement supérieures à 175 millions de dollars", Donald Trump a "préféré choisir Knight Specialty Insurance Company, un petit assureur qui n'est pas autorisé à exercer à New York [...] qui n'a jamais souscrit de caution à New York ni au cours des deux années précédentes dans aucune autre juridiction et qui dispose de liquidités totales de 138 millions de dollars", exposent-ils.

Valeurs des actifs gonflées

Donald Trump avait été condamné mi-février à 454 millions de dollars d'amende avec ses fils Eric et Donald Jr., pour fraudes financières au sein de leur empire immobilier Trump Organization.

Ils étaient accusés d'avoir gonflé à hauteur de plusieurs milliards de dollars les actifs de leur patrimoine immobilier tout au long des années 2010 pour se voir octroyer des prêts plus favorables des banques.

Après la condamnation, la procureure générale de l'Etat de New York avait menacé de lancer des saisies judiciaires pour recouvrer la valeur de l'amende, en citant l'immeuble du 40 Wall Street.

L'audience sur cette garantie est prévue lundi, le jour où le premier procès pénal de Donald Trump, centré sur des paiements dissimulés à une ancienne vedette de films pornographiques pour acheter son silence en pleine campagne présidentielle de 2016, entrera dans le vif du sujet avec les propos liminaires de l'accusation et de la défense.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Hockey

Robin Kovacs, de buteur à passeur

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Robin Kovacs (à droite) accepte avec professionnalisme son rôle de joker (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Damien Riat a inscrit le 3-2 décisif du succès du LHC jeudi lors de l'acte II de la finale contre Zurich. Buteur devenu passeur sur cette action, Robin Kovacs s'adapte à son rôle de joker.

Si Lausanne est revenu à égalité dans la série, c'est en partie grâce à lui. A la 51e minute et alors que le score était de 2-2, Robin Kovacs a chipé le puck à Christian Marti, a foncé dans la zone de défense zurichoise et a servi un caviar à Damien Riat. L'attaquant suédois a fait honneur à son prénom Robin en assistant son acolyte Batman Riat.

"J'essaie d'aider l'équipe du mieux que je peux, comme je ne joue pas tout le temps, explique le Suédois avec humilité et professionnalisme. Lors de ce match, je me sentais bien, j'avais les jambes fraîches. Ces temps j'ai de la peine à marquer, alors j'essaie de me rendre utile d'une autre façon."

Passeur émérite

Et ce n'est pas la première fois que celui qui était vu comme un serial buteur lors de son arrivée en Suisse en 2022 se mue en passeur émérite. A l'occasion du deuxième match de la demi-finale contre Fribourg, c'est déjà lui qui avait offert le but de la victoire à la 107e minute à Jason Fuchs.

L'ancien attaquant d'Örebro se sent-il pousser des ailes lors des deuxièmes actes? "Non, il n'y a rien de spécial, glisse-t-il en souriant. Ce qui est sûr, c'est que ce sont des goals importants. Et si j'ai un poil plus de chance, peut-être que je peux marquer deux buts dans ce deuxième match."

A la 58e, Kovacs a en effet trouvé le poteau de Simon Hrubec. Le Suédois s'est consolé en voyant que les Zurichois ont concédé une pénalité et que le LHC a inscrit le 4-2 dans la foulée.

Sincère et touchant, Kovacs n'a jamais donné l'impression de pester malgré la difficulté de sa situation. Le Suédois a travaillé dans son coin sans faire des vagues. "J'ai vécu une situation difficile pendant la saison, raconte-t-il. J'ai vraiment cherché à m'entraîner le mieux possible. J'essaie de saisir ma chance à chaque fois qu'elle se présente et d'aider l'équipe. On verra si j'ai la chance de jouer le prochain match."

Aider l'équipe comme il peut

Comme le prochain match est agendé à Zurich samedi et que Kovacs est aligné lors des rencontres à domicile, il y a doute sur sa participation à l'acte III. Sait-il pourquoi il joue à domicile et pas à l'extérieur? "Il faut demander à Geoff (réd: Ward, le coach). Je me contente d'être prêt le mieux possible chaque jour. Si je ne suis pas dans l'alignement, je vais apporter mon soutien à mes coéquipiers, et si je joue je vais donner le meilleur pour aider l'équipe."

Samedi, c'est à Zurich que les Vaudois tenteront de prendre l'avantage en allant s'imposer sur la glace du "Z". Logiquement, Robin Kovacs y croit. "On n'était pas très satisfait de la manière dont on a joué mardi à Zurich, conclut-il. Là nous avons joué notre jeu de la bonne façon. Ca sera une série intéressante à suivre."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Sion bat le Stade Nyonnais et profite du faux-pas de Thoune

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La joie des Sédunois, qui ont conquis 3 points précieux vendredi (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Sion a souffert pour battre le Stade Nyonnais vendredi lors de la 30e journée de Challenge League (1-0).

Mais les trois points conquis par les Valaisans leur permettent de prendre le large en tête du classement. Thoune s'est en effet incliné à Aarau dans le même temps.

Le FC Sion, qui avait dû se contenter d'un nul lors de la première visite des Nyonnais cette saison à Tourbillon, a dû patienter jusqu'à la 72e pour forcer le verrou vaudois. C'est Dejan Sorgic qui a signé le but de la victoire, à la suite d'un corner.

Cette réussite offre au FC Sion une avance de sept unités sur Thoune, qui a été lourdement battu 3-0 à Aarau vendredi. Le club de l'Oberland bernois a certes un match en retard, mais il devra vraisemblablement se contenter de la place de barragiste.

De son côté, Xamax a dû se contenter d'un nul (1-1) sur la pelouse de Schaffhouse. Les Rouge et Noir conservent la 3e place du classement mais sont à égalité de points avec Aarau.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Indonésie: le mont Ruang entre en éruption à nouveau

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Le volcan s'est à nouveau réveillé, propulsant selon l'Agence de volcanologie de l'archipel son panache de fumée à 400 mètres au-dessus du cratère. (© KEYSTONE/EPA/BASARNAS HANDOUT)

Un volcan du nord de l'Indonésie est à nouveau entré en éruption vendredi, propulsant une colonne de cendres dans le ciel, quelques jours après des éruptions qui ont contraint à l'évacuation de milliers d'habitants d'une île voisine.

Le mont Ruang, dans la région reculée de Sulawesi du Nord, était déjà entré en éruption mardi soir, rejetant dans une lumière incandescente une lave couleur de feu et un nuage de cendres.

Bien que les autorités aient déclaré vendredi matin que le volcan avait commencé à se calmer, elles avaient maintenu le plus haut niveau d'alerte, synonyme de haute activité volcanique, et décrété l'évacuation dans une zone d'exclusion de six kilomètres de rayon.

Mais à 17h06 (11h21 suisses) le volcan s'est à nouveau réveillé, propulsant selon l'Agence de volcanologie de l'archipel son panache de fumée à 400 mètres au-dessus du cratère.

"J'ai été très surpris que le volcan entre à nouveau en éruption. Nous sommes effrayés", a dit Riko, 30 ans, qui habite l'île voisine de Tagulandang, où la population s'était affairée dans la matinée à déblayer avec l'aide de l'armée les débris volcaniques retombés ces derniers jours dans la zone.

Selon l'Agence de volcanologie locale, le nuage de cendres grises craché vendredi par le mont Ruang se déplaçait cette fois vers le sud.

Aéroport fermé

L'Agence de volcanologie avait prévenu du risque persistant de projections rocheuses, de masses d'air chaud et de coulées de lave.

Nombre de maisons étaient vides, et il n'y avait pas d'électricité dans une partie de l'île avant même la nouvelle éruption.

Plus de 6000 habitants avaient été évacués vers le versant opposé de l'île, hébergés pour certain dans des églises ou des écoles, selon Joikon Sakunde, un responsable des services d'urgence.

La fermeture de l'aéroport international de Manado City, à plus de 100 km du volcan, avait également été prolongée jusqu'à vendredi soir.

Les autorités avaient averti y compris sur le risque de tsunami en cas d'effondrement d'un pan entier du volcan dans la mer.

En 2018, une violente éruption de l'Anak Krakatoa, situé entre les îles principales de Java et Sumatra, avait engendré un tsunami responsable de plus de 400 morts et de milliers de blessés.

L'Indonésie, vaste archipel d'Asie du Sud-Est, se trouve sur la "ceinture de feu" du Pacifique, une zone d'importante activité volcanique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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