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21 jours sans râler!

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Un super programme pour 2019 !

«21 jours sans râler» ! 21 jours sans se plaindre au travail ! 21 jours sans rouspéter, ni à la cafétéria, ni en séance, ni derrière votre ordinateur !

C’est le défi que propose cette année à ses employés l’entreprise romande Securitas Direct.

Je sais rien que l’intitulé du programme fait autant frémir les Genevois que les Parisiens. Je vous vois déjà debout sur les pattes arrière, vous bouchant les oreilles pour ne pas entendre la suite. Comment ? Ne plus râler, rouspéter, se plaindre du froid, des TPG, des embouteillages, de son chef, de Pierre Maudet !?

Mais ce matin, c’est docteur Zaza qui vous parle, et pour votre bien, puisque c’est rien moins que le bien-être, voir le bonheur au travail qui est visé in fine!

Donc, écoutez la suite : en quoi consiste ce défi des « 21 jours sans râler » ?

C’est simple : vous portez un bracelet de couleur que vous changez de poignet dès que vous vous mettez à vous plaindre ou à critiquer. L’objectif est réussi lorsque vous l’avez porté du même côté pendant 21 jours, consécutifs ou non. Avant de faire démarrer le chrono, vous suivez une formation intitulée «21 jours pour s’épanouir au travail». Le principe de base est en théorie tout aussi simple: si vous n’aimez pas quelque chose, changez-le. Si vous ne pouvez pas le changer, changez votre attitude, mais ne vous plaignez pas!

L’idée du défi a été lancée en 2007 aux Etats-Unis par un conférencier nommé Will Bowen. Le mouvement a rapidement créé le buzz sur les réseaux sociaux et rassemble déjà plus de dix millions de personnes dans le monde, avant d’être repris dans une centaine de pays, dont la Suisse. Les coaches d’entreprises qui le proposent croulent sous les demandes d’interventions dans les entreprises de toutes tailles pour «insuffler l’optimisme» auprès de leurs collaborateurs ben voyons.

Securitas Direct serait la première entreprise romande à tenter ce challenge.

Alors, évidemment, j’ai testé personnellement.

Depuis une semaine, je ne râle plus au travail. Je souris, je propose des cafés avant les réunions, j’accueille les râleries des autres avec bienveillance, je n’annonce plus «Mauvaise nouvelle, monsieur Machin a refusé le projet » mais «Bonne nouvelle, nous aurons l’occasion de rencontrer à nouveau monsieur Machin ». Autour de la machine à café, je ne dis plus de mal de personnes. Dans le train, en rentrant, je ne suis plus fatiguée et contente d’arriver au bout de la journée mais débordante d’impatience que celle du lendemain commence. Je suis exemplaire. Mon bracelet, je le mérite à fond.

Résultat des courses: au bureau, je me sens carrément sur un petit nuage. Je vois la vie en rose. Je souris toute la journée. Dans le fond, tout va bien, si je le dis?

Par contre, hier soir, au même bureau, on m’a demandé si tout allait bien, si j’étais malade, si j’avais des soucis, ce que j’avais pris, parce que je n’avais pas l’air tout à fait normale. J’ai dit « tout va bien », mais on ne m’a pas cru. Allez savoir pourquoi…

Et puis, surtout, qui a fait les frais de mon comportement exemplaire au bureau ?

Mon chéri, bien sûr. A la maison, je lui ai tout laissé faire, j’ai fait la tête tous les soirs, et poussé des soupirs à fendre l’âme dans le lit en pensant à tous les soucis que j’avais mis sous le tapis au bureau.

Je sens bien que si je continue comme ça, il va y avoir un gros problème. C’est qu’il faut bien un endroit où râler, où rouspéter, où se plaindre! Et hélas, il y a longtemps que je ne vais plus à confesse chez Monsieur le Curé.

Alors s’il faut choisir entre le bonheur au travail et le bonheur à la maison, y’a pas photos, c’est avec mon chéri que je vais passer mes vacances et vieillir tranquillement, pas mon patron, donc pas d’hésitation.

Mais pour les collègues qui m’écoutent, pour les cafés, on peut s’arranger, promis !

Et sur ce, à vos bracelets !

https://www.radiolac.ch/podcasts/les-signatures-16012019-081842/

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International

Heineken augmente le débit début 2023

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La région Asie-Pacifique a tiré les volumes de bière vers le haut (+9,4%), compensant une croissance plus lente en Europe (+1,6%). (archive) (© KEYSTONE/EPA ANP FILE/KOEN VAN WEEL)

Le brasseur néerlandais Heineken s'est félicité mercredi d'avoir vendu plus de bières au premier trimestre mais a reconnu des perspectives économiques "difficiles et incertaines" pour le reste de l'année.

Le volume de bière vendu dans le monde a augmenté de 4,7 % par rapport à la même période en 2023, a déclaré Heineken, deuxième brasseur mondial après AB InBev.

Une croissance tirée par les volumes en Asie-Pacifique (+9,4%), qui a compensé une croissance plus lente en Europe (+1,6%).

Le patron Dolf van den Brink a qualifié le début d'année 2024 d'"encourageant", stimulé par des vacances de Pâques anticipées.

"Nous continuons de considérer l'environnement économique comme difficile et incertain, et nous resterons agiles et concentrés", a-t-il toutefois souligné.

Le groupe a enregistré un chiffre d'affaires de 8,2 millions d'euros, en hausse de 7,2% sur un an.

Le groupe a qualifié ses résultats de "solides" mais averti ne pas pouvoir "extrapoler la croissance du chiffre d'affaires annoncée au reste de l'année".

Le brasseur a laissé ses prévisions de bénéfices inchangées pour l'année, avec une évolution du bénéfice d'exploitation prévue entre 1 et 9% et une croissance du bénéfice net "inférieure" à cela.

Heineken ne publie plus son bénéfice net trimestriel, le dévoilant uniquement dans des rapports semestriels ou annuels.

Heineken a annoncé en février un recul de ses profits annuels en 2023, lestés par le recul de ses ventes de bières dans un contexte de forte inflation.

Le bénéfice net annuel s'était établi à 2,3 milliards d'euros, contre 2,7 milliards un an plus tôt.

Le volume global de bière avait chuté de 4,7%, avec environ 60% de cette baisse causée par de fortes baisses au Nigeria et au Vietnam.

Le brasseur avait averti que le climat économique "resterait un facteur d'incertitude" en 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Orange: revenus en hausse au 1er trimestre

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L'Afrique et le Moyen-Orient ont été le principal moteur du groupe au 1er trimestre, avec une croissance de 11,1% sur un an. (archive) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le géant français des télécoms Orange a vu son chiffre d'affaires augmenter de 2,1% au premier trimestre. Les revenus ont notamment été portés par le dynamisme des activités en Afrique et au Moyen-Orient. Le groupe a dans la foulée confirmé ses objectifs pour 2024.

Sur les trois premiers mois de 2024, les revenus ont ainsi atteint 9,9 milliards d'euros et l'excédent brut d'exploitation après loyers (Ebitdaal), principal indicateur de rentabilité du groupe, est ressorti en hausse de 2,3%, à 2,4 milliards d'euros, a annoncé mercredi Orange.

"Orange réalise un très bon début d'année marqué par la finalisation de la transaction avec Masmovil pour créer Masorange" s'est félicitée Christel Heydemann, directrice Générale du groupe, citée dans le communiqué. La co-entreprise, détenue à parts égales par les deux opérateurs, a été créée le 26 mars et a donné naissance "au leader du marché espagnol en nombre de clients" selon la dirigeante.

Après ce premier trimestre, Orange a confirmé ses objectifs pour l'ensemble de l'année, qui incluent notamment une "légère croissance" de son excédent brut d'exploitation après loyers et un flux de trésorerie organique des activités télécoms supérieur à 3,3 milliards d'euros.

De janvier à mars, c'est la zone Afrique et Moyen-Orient qui a été le principal moteur du groupe, avec une croissance de 11,1% sur un an. Il s'agit du 4e trimestre consécutif où cette région affiche une croissance supérieure à 10%. En France, son principal marché, Orange a vu ses revenus augmenter pour la première fois depuis la fin 2022 puisqu'ils ont progressé de 0,8%.

La branche dédiée aux services aux entreprises Orange Business a pour sa part marqué un temps d'arrêt dans son redressement (-0,3%), malgré la forte dynamique des activités liées à la cybersécurité (+15,3%). Totem, la société européenne d'Orange qui détient et gère les infrastructures mobiles passives des tours de télécommunications en France et en Espagne, est quant à elle ressortie quasiment stable (+0,1%) avec un chiffre d'affaires de 174 millions d'euros.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Genève

Une forêt en pleine ville...et comestible

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Des étudiantes genevoises ont imaginé une forêt urbaine comestible.

Des étudiantes genevoises ont imaginé une forêt urbaine comestible. Elle prendrait forme dans le futur quartier du PAV. 

Imaginez une forêt en pleine ville...

6000 mètres carrés de vert, dans le futur quartier du PAV. Plus précisément au niveau du quartier du Grosselin à Carouge. 

Un morceau de nature en pleine ville imaginée par trois étudiantes. Elles ont créé un projet de forêt urbaine comestible et ont été distinguées par le Prix Créagir 2024.

Ces trois étudiantes la HES-SO sont issues de différentes formations, musique, architecture ou sociale. 

Leur forêt urbaine comestible qui s’appelle "La Tête dans les arbres" doit maintenant être mise en avant. Car leur objectif maintenant est de faire circuler cette idée et convaincre des personnes influentes, comme des urbanistes qui travaillent sur le PAV, ou des spécialistes comme des experts en permaculture ou arboristes. 

Alors à quoi cela ressemblera cette forêt urbaine comestible dans l’imaginaire de Christelle Rajon, l’une des trois étudiantes à l’origine du projet?

Cette forêt urbaine comestible ne servira pas uniquement de “garde-manger” naturel. Ce sera aussi un lieu de vie car il y aura une dimension sociale avec la création d’une association. Christelle Rajon:

L’équipe lauréate du Prix Créagir 2024 est composée de Fanny Bassand (HEM), Christelle Rajon (HETS) et Iglal Hammad (HEPIA).

Le prix est doté de 6'000 francs.

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Santé

Les ventes de Kuros s'envolent

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Grâce à son produit phare Magnetos, un substitut osseux, Kuros a vu ses ventes bondir au premier trimestre. (archive) (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

La société de biotechnologie Kuros Biosciences a plus que doublé son chiffre d'affaires sur les trois premiers mois de l'année, a indiqué mercredi le groupe zurichois dans un communiqué. Et ce grâce à son produit phare Magnetos, un substitut osseux.

Les ventes directes de Magnetos ont bondi de 155% à 13,9 millions de francs au premier trimestre, selon le communiqué. Les ventes totales générées par les dispositifs médicaux se sont envolées de 75% par rapport à la même période de l'année dernière pour atteindre 13,9 millions également.

Kuros Biosciences a également annoncé un Ebitda de 3,9 millions de francs - l'année précédente, le résultat opérationnel avant intérêts et amortissements était de 0,5 million. La société estime ses liquidités à 13,7 millions à fin mars 2024 après 14,2 millions à fin 2023.

"Nous sommes extrêmement satisfaits de l'évolution du premier trimestre", a déclaré le directeur général Chris Fair. Magnetos a dépassé ses objectifs pour le premier trimestre de l'année.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Roche toujours en décroissance au 1er trimestre

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Roche a souffert du franc fort et de la concurrence des génériques au premier partiel. (archive) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le mastodonte du médicament et du diagnostic Roche a encore souffert sur les trois premiers mois de l'année de l'évaporation des dernières recettes de la franchise Covid-19. La force du franc et la concurrence des génériques et biosimilaires ont aussi pesé.

Le chiffre d'affaires s'est ainsi affaissé de 6,0% à 14,40 milliards de francs, en recul de 6% sur un an. Apuré des effets de changes, la multinationale rhénane se calcule une croissance de 2% et reconduit sa feuille de route pour l'ensemble de l'exercice. Hors effet Covid-19, cette même croissance aurait atteint 7%.

L'essentiel de la disparition des dernières recettes réalisées dans la franchise Covid-19 aura été comptabilisé sur les trois premiers mois de l'année et la direction laisse augurer une embellie dès le deuxième partiel.

Le manque à gagner attribué aux génériques et biosimilaires s'est élevé à environ 400 millions et doit toujours atteindre 1,6 milliard sur l'ensemble de l'exercice.

Par division, la contribution du c½ur de métier Pharma s'est amenuisée de 5,9% à 10,92 milliards et celle de Diagnostics de 6,4% à 3,48 milliards, détaille le compte-rendu diffusé mercredi. Les ventes de tests Covid-19 ont été divisées par trois à quelque 100 millions.

L'évolution des recettes chiffonne les attentes des analystes consultés par AWP. Les ventes de médicaments étaient en moyenne attendues à 14,55 milliards et celles des dispositifs de dépistage à 3,56 milliards.

Devant poser les fondations d'une nouvelle normalité après les années Covid-19, l'exercice en cours doit toujours marquer le retour d'une croissance hors effets de change devisée à 5%. L'excédent opérationnel doit suivre une courbe similaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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