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Le canton de Genève et la FER répondent à vos questions sur les mesures liées à l'épidémie de Covid-19

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Le canton de Genève et la FER, Fédération des Entreprises Romandes répondent aux questions de nos auditeurs concernant l'épidémie de Covid-19, les tests et les mesures en vigueur pour les déplacements à l'étranger.

Aujourd'hui sur Radio Lac, nous apportons des réponses aux questions que se posent nos auditeurs concernant la situation sanitaire actuelle, les conséquences dans leur quotidien, leurs déplacements à l'étranger et leur travail. La Fédération des Entreprises Romandes Genève ainsi que le Département genevois de la sécurité, de l'emploi et de la santé apportent des réponses concrètes.

Tests et aspects médicaux

Bérénice: Alors que je n’ai qu’un petit mal de gorge, mon employeur me demande de faire un test anti Covid. Je vais aller le faire mais qui paye? Mon employeur? Le canton ou mon assurance?

Réponse du Canton de Genève sur la prise en charge des coûts du test de dépistage: Depuis le 25 juin 2020, la Confédération prend en charge les frais liés aux analyses en lien avec le COVID-19 pour les personnes qui se rendent dans l'un des sites mentionnés ci-dessus. L'analyse doit être indiquée et la personne assurée en Suisse. La prise en charge est donc gratuite pour la personne qui répond à ces critères.

En revanche, le coût du dépistage pour des motifs de voyage et chez la plupart des personnes asymptomatiques reste à leur charge ou à charge de l'employeur si celui-ci demande l'analyse.

Si d'autres examens ou prélèvements sont nécessaires au vu de l'état clinique, le professionnel de la santé doit en informer la personne. Dans ce cas, les frais supplémentaires relèvent de l'assurance maladie, de l'assurance accident ou de l'assurance militaire selon les cas.

 

Raphaël: Je suis résident de Haute-Savoie, puis-je me faire tester en Suisse? Ou et à quelles conditions?

Réponse du Canton de Genève: Si le travailleur frontalier est assuré à la CMU, le test est facturé au/à la patient.e qui doit voir avec la CMU et/ou sa mutuelle pour la prise en charge. La situation est la même pour les résidents français, non frontaliers, qui viennent parfois se faire tester aux HUG.

 

Vincent: Quels sont les critères épidémiologiques pour le retrait des mesures imposées?

Réponse du canton de Genève: Vaste question… Il y a plusieurs indicateurs de pré-alertes et d’alertes. Pas forcément cumulatifs mais qui peuvent l’être. Il y a bien évidement le taux de contamination, la vitesse de propagation du virus, le taux de positivité par rapport au nombre de tests, la pyramide des âges et le nombre de personnes à risques contaminées, le nombre d’hospitalisations et le type de ces hospitalisations, (âge, soins intensifs, durée..etc ), le respect des gestes barrières par la population et partant leur impact sur la circulation du virus, les lieux de contamination, les clusters, etc…. J’en passe et certainement des meilleurs. C’est une analyse très fine qui est effectuée.

 

Déplacement dans les zones à risque

Axel: Ma mère genevoise est malade, de la famille veut venir de Marseille. A quelles conditions peuvent-ils venir et repartir?

Réponse du canton de Genève: Il n'y a pas d'interdiction de rentrer en Suisse pour les résidents de l'espace Schengen. Votre famille devra se mettre en quarantaine à son arrivée à Genève pendant 10 jours et sans symptôme alors elle pourra venir vous voir et avoir une activité ordinaire en Suisse.

Si votre famille veut pouvoir être dérogée de quarantaine, chaque membre doit individuellement demander une dérogation motivée au service de la médecin cantonale.

 

Tiago: Mon ex femme est dans une zone à risque, je suis à Genève. Mes enfants font l’aller-retour entre elle et moi, quel est le protocole pour eux?

Réponse du canton de Genève: Une quarantaine est obligatoire pour les enfants dès leur entrée ou retour en Suisse sauf si ils possèdent une dérogation accordée par le service de la médecin cantonale.

 

Isia: J’habite à Genève, mon chéri est en France et nous travaillons au même endroit à Genève. Si nous allons quelques jours à Paris, ou dans une zone à risque, je vais devoir faire une quarantaine et du télétravail, qu’en est-il pour mon homme?

Réponse de la FER: Les frontaliers ne sont pas soumis à l’obligation de quarantaine et il pourra venir travailler, bien que le télétravail devra être favorisé si possible. A teneur de l’ordonnance, la travailleuse suisse devra effectuer une quarantaine de 10 jours pendant laquelle elle devra faire du télétravail, à défaut de quoi elle ne sera pas payée car elle s’est rendue fautivement dans une zone à risque.

 

Charlène: Je possède une entreprise à Genève, mes fournisseurs sont partout en Europe, y compris dans des zones à risques. Est-ce que je peux voyager à titre professionnel?

Réponse de la FER & du canton de Genève: Oui, s’il s’agit d’une raison professionnelle impérieuse et que le voyage n’excède pas 5 jours.

Développement apporté par le canton de Genève : Il faut vous renseigner sur les conditions d'entrée et d'éventuelle quarantaine des pays dans lesquels vous entendez vous rendre. Genève, la Suisse, peut être placée comme zone à risque par certains pays d'Europe. Vous pourrez rentrer en Suisse après vous êtes rendu dans une zone à risque et être exempté de la quarantaine automatique si vous avez voyagé pour des motifs professionnels impérieux (par exemple ces activités ne pouvaient pas être assurées par téléconférences ou du télétravail, envoie de marchandises…) mais au maximum 5 jours et pour autant que vous ayez respecté un plan de protection pendant tout votre séjour. A défaut, vous devrez vous annoncer de retour de pays à risque au service de la médecin cantonale dans les deux jours et vous mettre immédiatement en quarantaine sous peine d'amende pouvant aller jusqu'à CHF 10'000.-

 

Travail & école

Josselin: Je viens de poser une semaine de vacances en octobre, mon patron veut savoir où je vais, j’estime qu’il n’a pas à me le demander car le fait que je l’informe que je ne vais pas dans une zone à risque devrait suffire. Qui à raison?

Réponse de la FER: En principe, l’employeur n’a pas le droit de demander où le travailleur va passer ses vacances. Toutefois, dans le contexte de l’épidémie, l’employeur a le droit d’être informé, car il a un devoir de protéger ses autres collaborateurs. De plus, étant donné que la liste des zones à risque évolue régulièrement, il lui est donc nécessaire de connaître le pays de vacances de son collaborateur.

 

Edwina: Pourquoi l'obligation de porter un masque pour les enfants aux cycles et dans les écoles supérieures alors qu'ils sont en grande partie assis et pas dans les restaurants et les bars ?

C'est le canton qui répond: Dans les bars et restaurants, on le sait le risque de contamination est grand, mais les contacts sont tracés et la distance d'1 mètre 50 est plus facilement respectée avec des tables condamnées ou espacées. Alors qu'à l'école les enfants vont se lever et c'est très difficile pour les jeunes de respecter la distance d'1 mètre 50. C'est pourquoi ils doivent porter le masque.

 

Edwina: Pourquoi les prostituées peuvent encore travailler alors que les boîtes de nuits ferment ?

Réponse du canton qui reconnaît que là nous sommes à la limite du système: Oui, les risques de contamination sont très forts mais théoriquement la prostituée est censée connaître le nom du client, même si on le sait les clients ne sont pas nombreux à donner leur vrai nom. Il faut être conscient que ce n'est pas une activité sans risque.

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Lausanne: plus de 17 millions d'aides durant les années Covid

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En 2020, la rue Centrale est devenue piétonne le samedi matin, jour de marché. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Quatre ans après le début de la crise du Covid, la ville de Lausanne tire un bilan du soutien accordé aux acteurs économiques lausannois. Elle a versé quelque 17 millions de francs d'aides diverses, plus un prêt sans intérêts de 1 million de francs en faveur du Fonds pour l'équipement touristique de la région lausannoise (FERL).

Le dimanche 15 mars 2020, le Conseil fédéral déclarait l'état d'urgence. Face à l'ampleur de la crise engendrée par le coronavirus, la municipalité avait pris une série de mesures, en complémentarité des actions de la Confédération et du canton.

Ces mesures "exceptionnelles" n'étaient pas que des réponses immédiates et urgentes aux problèmes. Elles posaient également "des bases solides pour la relance économique post-crise", souligne lundi le municipal Pierre-Antoine Hildbrand, cité dans un communiqué.

Prestations gratuites

Pour rappel, la ville a accordé une série de gratuités - pour environ 4 millions de francs -, renonçant à facturer certains émoluments notamment pour les terrasses et les marchés. Pour renforcer le commerce de proximité, elle a distribué à ses habitants pour 6,6 millions de bons de réduction d'achat et d'achat direct.

Autres mesures: la rue centrale est devenue piétonne le samedi matin, jour de marché. Le nombre de terrasses est passé de 518 fin 2019 à 631 fin 2023. En tant que propriétaire d'immeubles, Lausanne a renoncé à certains loyers commerciaux et a maintenu son sponsoring aux grandes manifestations, malgré leur annulation. Et les Services industriels ont offert la gratuité du téléréseau à leurs clients hôteliers. Le tout pour un montant de 4,25 millions.

Taxis et hôtels

La ville a également soutenu l'Association intercommunale pour la règlementation des taxis et Taxis Services, la centrale d'appel. Pour aider les indépendants à évaluer leur situation financière, elle a offert, avec des partenaires, des "check-ups" gratuits. Ces initiatives totalisent 3 millions de francs. Enfin, l'hôtellerie a bénéficié d'un prêt sans intérêts d'un million de francs au FERL.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Maurer réaffirme qu'il y a eu "une hystérie autour du Covid"

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L'ancien conseiller fédéral Ueli Maurer se dit surpris du tollé suscité par ses propos tenus deux semaines plus tôt sur le Covid (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Deux semaines après avoir tenu des propos sur le coronavirus ayant suscité une vive réaction, Ueli Maurer assume. "Bien sûr qu'il y a eu une hystérie autour du Covid", réaffirme-t-il dimanche dans la presse.

Cette hystérie était même "d'ampleur mondiale", assure le Zurichois dans Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung. "On a dit que le Covid était mortel, et à partir de cette supposition, on a tendu un filet sanitaire comme on n'en avait jamais vu auparavant, assure-t-il. Quiconque osait poser une question critique était écarté ou traité de 'conspirateur'".

Ueli Maurer avait déjà tenu des propos similaires dans la presse dominicale deux semaines plus tôt, suscitant une vive réaction. "Concernant le Covid, je n'ai que répété ce que j'ai toujours dit, réagit-il. Que cela ait suscité pareil tollé m'a surpris". Les critiques provenaient surtout des médias, selon l'ancien ministre des finances, qui dénonce un "réflexe anti-Maurer".

"Pas un antivax"

L'ancien conseiller fédéral nuance toutefois ses déclarations sur les vaccins anti-Covid qui ont particulièrement choqué. Il avait affirmé que ces vaccins renfermaient "beaucoup d'air chaud". "Bien sûr, on a tout de suite affirmé que j'étais un antivax. Ce qui n'est pas vrai", dit-il.

L'utilité des vaccins n'est pas contestée, mais la Suisse est allée trop loin en disant à tout le monde de se vacciner, assure Ueli Maurer. "Je suis convaincu que, ces prochaines années, nous nous occuperons de façon croissante des dommages causés par le vaccin", ajoute-t-il.

"L'Etat pas responsable de tout"

L'ancien conseiller fédéral revient également sur les crédits Covid dont il était en charge durant la pandémie. Il lui avait été notamment reproché d'avoir laissé tomber les PME. "L'Etat ne peut pas être responsable de tout. Il ne peut pas non plus protéger chacun de la mort", se défend-il.

La responsabilité individuelle a, selon lui, été dissoute comme jamais auparavant, poussant la Confédération à dépenser sans compter. "L'Etat doit protéger, mais il ne peut distribuer que l'argent qu'il prend d'abord aux gens".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le "contact-tracing" n’a eu qu’une efficacité relative

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Le suivi des contacts mis en place pendant la pandémie de coronavirus n'a eu qu'une efficacité relative (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Environ 40% des personnes infectées par le coronavirus ont été identifiées par le biais du suivi des contacts, selon une étude genevoise. Ces résultats suggèrent que le "contact-tracing" à lui seul ne suffit pas à stopper la propagation du coronavirus.

De surcroît, la proportion de personnes infectées identifiées de cette manière a fluctué selon le variant en cause, le type de logement habité, et la richesse du quartier.

En cas d'épidémie, le suivi des contacts doit donc être complété par une multitude d'autres mesures qui tiennent compte des caractéristiques spécifiques de chaque maladie, ont indiqué mercredi l'Université et les Hôpitaux universitaires de Genève (UNIGE/HUG) dans un communiqué.

Pour évaluer l'efficacité du traçage des contacts, une équipe dirigée par Delphine Courvoisier a analysé les données de plus de 140'000 cas de coronavirus et 185'000 contacts recensés dans le canton de Genève entre juin 2020 et mars 2022.

En moyenne, environ 40% des personnes contaminées ont pu être identifiées par" contact-tracing", avec des variations de 25% - au sommet des vagues épidémiques - à 60% pour les périodes les plus calmes.

Facteurs socio-économiques

Mais les facteurs socio-économiques pèsent fortement. Ainsi, plus les bâtiments sont grands et équipés de parties communes (commerces au rez-de-chaussée, par exemple), plus les gens ont tendance à ne pas déclarer leurs contacts.

"Il s’agit probablement d’omissions involontaires: on se croise sans y penser, on ne connaît pas forcément ses voisins, le virus reste en suspension dans l’ascenseur", explique Denis Mongin, statisticien aux HUG, cité dans le communiqué. "D’ailleurs, cet effet disparaît pendant les phases de restriction de rassemblement et de port de masque obligatoire, ce qui nous permet aussi d’évaluer l’efficacité de ces mesures."

En revanche, plus les quartiers sont à statut socio-économique élevé, moins les gens déclarent leurs contacts. "De nombreuses hypothèses ont été évoquées: respect moindre des directives gouvernementales, mais aussi plus grande possibilité de s’auto-isoler en raison de la taille des logements et des professions permettant de télétravailler, sans nécessité de certificat médical", note Delphine Courvoisier.

Une mesure parmi d’autres

Le Covid-19 est une maladie très contagieuse, transmise par aérosols et contaminante avant l’arrivée des symptômes. Ces caractéristiques rendent le traçage des contacts particulièrement complexe.

"Pour Ebola, par exemple, où les malades ne sont contagieux qu’après l’apparition des symptômes, ou, plus proche de nous, pour la rougeole, le traçage des contacts a prouvé son efficacité pour couper les chaînes de transmission", souligne la spécialiste.

Conclusion: le "contact-tracing" seul n’a eu qu’une efficacité relative sur la dynamique de l’épidémie. Mais il ne faut pas négliger son importance comme soutien psychologique auprès de la population pour rassurer et écouter les gens pendant cette période anxiogène, écrit l'UNIGE.

Il s'agit d’utiliser ces expériences pour construire une réponse plus solide et multimodale lorsque nous serons à nouveau confrontés à une épidémie de grande ampleur, concluent les auteurs. Ces résultats sont publiés dans la revue Eurosurveillance.

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Des chercheurs trouvent des traces de Covid long dans le sang

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Les chercheurs de l'université et de l'hôpital de Zurich ont analysé plus de 6500 protéines dans le sérum sanguin de 113 personnes infectées par le Covid-19 et de 39 personnes en bonne santé, indique l'étude publiée jeudi dans la revue "Science". (© KEYSTONE/DPA/MARCUS BRANDT)

Une équipe de chercheurs zurichois a identifié une spécificité dans les protéines sanguines des personnes atteintes de Covid long. Elle pourrait servir à mieux diagnostiquer le problème et peut-être aussi à le traiter de manière plus ciblée.

Les chercheurs de l'université et de l'hôpital de Zurich ont analysé plus de 6500 protéines dans le sérum sanguin de 113 personnes infectées par le Covid-19 et de 39 personnes en bonne santé, indique l'étude publiée jeudi dans la revue "Science". Chez les personnes infectées, dont 40 ont développé un Covid long, ils ont réexaminé le schéma sanguin après 6 et 12 mois.

Dans le sérum des personnes atteintes de Covid long, ils ont constaté une modification des protéines liées au système dit "du complément", qui fait partie du système immunitaire. Ce système, qui lutte contre les infections, ne revient pas comme il le devrait à l'état de repos après l'infection chez les cas de Covid long, a expliqué Onur Boyman, responsable de l'étude, à Keystone-ATS. Il provoque ainsi des dommages cellulaires.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Alain Berset admet des contacts avec le directeur de Ringier

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"Bien entendu, je savais qu'il y avait des contacts avec le CEO de Ringier", affirme Alain Berset dans la presse. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le ministre de la santé Alain Berset admet avoir eu connaissance des contacts avec le directeur du groupe Ringier pendant la pandémie. Mais rien de confidentiel n'a été échangé, affirme-t-il mercredi soir dans la presse.

Le conseiller fédéral tire à boulets rouges sur le rapport des commissions de gestion (CdG) rendu public il y a deux semaines. "J'aurais attendu une enquête ouverte", dit-il dans les titres alémaniques du groupe Tamedia.

Le document ressemble, aux yeux du Fribourgeois, à une tentative de prouver que toutes les indiscrétions proviennent du Département fédéral de l'intérieur. "Je tiens à préciser d'emblée que je ne tolère aucune violation du secret de fonction au sein de mon département", précise-t-il.

"Bien entendu, je savais qu'il y avait des contacts avec le directeur de Ringier", affirme Alain Berset, admettant avoir été parfois présent lors de ces échanges. L'administration a toujours des contacts avec les milieux concernés par les décisions, dit-il.

"Je ne savais pas"

Le ministre de la santé affirme en outre que pas un seul élément du rapport des CdG montre que des informations auraient été utilisées pour influencer les décisions du gouvernement via les médias. Les contacts avec le directeur de Ringier étaient d'une toute autre nature qu'un contact avec un professionnel des médias, dit-il.

Alain Berset affirme en outre avoir pris connaissance des informations confidentielles partagées par son chef de la communication pendant l'enquête. "Je ne le savais pas, dit-il. Il va de soi que je ne lis ni ne contrôle les emails de mes collaborateurs".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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