Rejoignez-nous

Economie

Deux sociétés morgiennes rachetées par une filiale d'Orange

Publié

,

le

Orange Cyberdefense se renforce dans le domaine de la cybersécurité en Europe en rachetant deux sociétés morgiennes, SCRT et Telsys (photo d'illustration). (© KEYSTONE/STR)

SCRT et Telsys, deux sociétés vaudoises de cybersécurité, ont été acquises par Orange Cyberdefense, une filiale du géant français des télécoms Orange. Le montant de l'opération n'a pas été divulgué.

Les "deux sociétés soeurs" ont leur siège commun à Morges et emploient environ 100 personnes, réparties également sur les bureaux de Genève et Berne, selon le communiqué d'Orange Cyberdefense paru lundi.

L'équipe de direction existante et les structures des entreprises "conservent une autonomie locale pour accélérer leurs plans d'expansion, en particulier sur le territoire suisse allemand, en synergie avec Orange Business Services déjà présent".

SCRT est décrite comme le "leader sur le marché suisse romand de la cybersécurité", tandis que Telsys, rachetée en 2020 par son homologue, est davantage spécialisée dans la gestion de solutions des technologies de l'information. Les deux entreprises "vont étoffer leur catalogue de prestations" suite à ce rachat.

Eric Delangle, président de SCRT et Telsys cité dans le document, assure que "cette opération va nous permettre de poursuivre notre projet industriel de leadership en Suisse en s'appuyant sur la taille d'Orange Cyberdefense, son portefeuille de services et son modèle opérationnel pour servir encore mieux nos clients nationaux".

Orange Cyberdefense souligne de son côté accélérer "sur le septième marché de la cybersécurité en Europe en consolidant ainsi la position du groupe Orange sur le marché suisse", d'après son patron Hugues Foulon.

Pour Orange, coté à Paris et à New York, le développement de sa filiale cybersécurité "est une priorité". Celle-ci vise un milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2023. Orange Cyberdefense, désormais implantée dans neuf pays en Europe, ambitionne de "devenir le leader européen de la cybersécurité" avec plus de 2700 experts et plus de 8500 clients.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Economie

Swisscom renonce à des hausses de tarif pour la clientèle privée

Publié

le

Selon Christoph Aeschlimann, l'inflation a entraîné en 2023 des coûts supplémentaires de 50 millions de francs pour Swisscom (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Swisscom renonce à augmenter les prix des abonnements pour la clientèle privée jusqu'à la fin 2024, assure son directeur Christoph Aeschlimann. "Nous analyserons la situation dans le courant de l'année prochaine et nous déterminerons ce qu'il adviendra après 2024".

La hausse de la TVA prévue pour le début 2024 ne sera également pas répercutée sur les clients privés, ajoute M. Aeschlimann dans un entretien diffusé dimanche par la SonntagsZeitung. Le moratoire sur les prix s'applique aux offres actuelles de Blue Mobile, aux abonnements Internet, TV et au réseau fixe ainsi qu'à toutes les marques secondaires et tierces et aux clients disposant de produits du service universel, ajoute-t-il.

Des adaptations isolées, comme par exemple pour les services supplémentaires ou les bouquets de télévision dans le domaine du sport, sont toutefois possibles, souligne le patron de Swisscom. La nouvelle clause des conditions générales adaptées, qui permet à l'opérateur téléphonique d'adapter unilatéralement les prix en raison du renchérissement, ne concerne en outre que les clients ayant une durée contractuelle minimale.

Selon M. Aeschlimann, l'inflation a entraîné en 2023 des coûts supplémentaires de 50 millions de francs pour Swisscom. "Les moteurs de cette hausse sont les salaires, les tarifs de l'énergie et les prix d'achat des terminaux et des matériaux".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Economie

Embouteillage inhabituel de dix kilomètres devant le Gothard

Publié

le

Au cours de la matinée, les bouchons se sont allongés jusqu'à atteindre une longueur de dix kilomètres à 10h30 (image d'archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Le trafic a été bloqué samedi matin sur une longueur de dix kilomètres devant le portail nord du tunnel du Gothard. Les raisons de cet important volume de trafic sur l'axe nord-sud n'étaient pas claires. Le bouchon s'est résorbé dans l'après-midi.

Dès le début de la matinée, les véhicules ont commencé à s'accumuler entre Erstfeld (UR) et Göschenen (UR). Au cours de la matinée, les bouchons se sont allongés jusqu'à atteindre une longueur de dix kilomètres à 10h30, selon les indications du TCS. L'attente était estimée à une heure et 40 minutes.

Les experts se disent surpris par un embouteillage d'une telle ampleur au Gothard lors d'un week-end normal. Aucun incident particulier, comme un accident ou une déviation, n'a été constaté sur le trajet, indique le service d'information routière Viasuisse à Keystone-ATS.

Une explication possible pourrait être les vacances scolaires dans certains Länder allemands, qui ont commencé mardi. Une telle évolution n'était toutefois pas attendue. Le trafic était également surchargé au sud, entre Quinto et le tunnel du Gothard. La longueur des bouchons a atteint jusqu'à six kilomètres l'après-midi, ce qui correspondait à temps d'attente pouvant aller jusqu'à une heure.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Economie

Une meilleure image de la Suisse avec l'imposition minimale

Publié

le

Le Français Pascal Saint-Amans, qui a quitté son poste à l'OCDE en octobre 2022, est aujourd'hui partenaire d'un grand cabinet de conseils et professeur à l'université de Lausanne (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Si la Suisse devait adopter le 18 juin l'imposition minimale des entreprises, son image à l'international devrait être "un peu moins connotée", estime Pascal Saint-Amans, qui a dirigé la réforme de l'OCDE. Mais c'est "très difficile de se débarrasser d'une image".

"Cela prend beaucoup de temps", ajoute l'ancien directeur du centre de politique et d'administration fiscales de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans un entretien diffusé samedi par La Liberté, ArcInfo et Le Nouvelliste. Mais "pour les décideurs, je pense que la Suisse est déjà considérée comme plus coopérative que par le passé".

Après une phase de déni et de résistance en 2009, lors de la fin annoncée du secret bancaire, la Suisse comprend aujourd'hui "ce qui se passe, participe activement, est un acteur reconnu", remarque Pascal Saint-Amans. "Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si elle est désormais invitée à toutes les réunions du G20".

Un sondage Gfs publié le 12 mai donnait le "oui" gagnant à 84% pour l'imposition minimale. Le projet vise à fixer un impôt minimal de 15% pour les entreprises dont le bénéfice dépasse 750 millions d'euros. La Confédération percevra la différence entre la charge fiscale actuelle et l'impôt de 15%. Les cantons recevront 75% des recettes de cette manne supplémentaire, la Confédération 25%.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Economie

La Lex Koller ne convient pas pour les infrastructures énergétiques

Publié

le

La Lex Koller vise à limiter la vente d’immeubles à des personnes à l’étranger, pas sur les infrastructures énergétiques, selon le Conseil fédéral (image d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Conseil fédéral ne veut pas que les centrales hydroélectriques, les réseaux électriques et les réseaux de gaz soient soumis à la lex Koller. Pour lui, cette loi n'est pas l'instrument adapté pour garantir la sécurité de l'approvisionnement en matière d'énergie.

Le gouvernement a pris position vendredi sur un projet de loi élaboré par une commission du Conseil national. Ce projet vise à protéger les infrastructures stratégiques du secteur énergétique d'un contrôle par des investisseurs étrangers.

Pour le Conseil fédéral, il est certes nécessaire de renforcer la sécurité de l’approvisionnement en énergie, mais la lex Koller vise à limiter la vente d’immeubles à des personnes à l’étranger. Avec le projet de la commission, deux procédures d’autorisation aux finalités différentes seraient régies par la même loi, critique-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Economie

Les abeilles suisses ont mieux surmonté l'hiver que l'an dernier

Publié

le

Environ 15% des colonies d'abeilles n'ont pas survécu à l'hiver 2022/2023. (Archives) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les abeilles suisses ont mieux surmonté cet hiver que le précédent. Environ 15% des colonies n'ont pas survécu à la saison froide 2022/2023. Au printemps dernier, les apiculteurs avaient constaté la disparition de plus de 20% des colonies, un record.

Les pertes retrouvent ainsi leur niveau habituel, selon l'enquête annuelle d'apisuisse rendue publique vendredi. Pour la faîtière de l'apiculture suisse, le temps chaud de 2022 a permis aux abeilles mellifères de récolter assez de pollen et de nectar pour développer des colonies fortes.

Si l'on prend aussi en compte les pertes avant l'hiver, ainsi que les colonies trop faibles pour se développer, la mortalité totale s'élève à 32,5%. Là aussi, c'est une amélioration par rapport à l'année précédente qui avait enregistré des pertes de 39,1% des colonies.

C'est dans la région du Mittelland (BE, FR, SO, NE, JU) que les abeilles se portent le mieux avec une mortalité hivernale de seulement 10,8%. En revanche, la Suisse centrale enregistre la plus forte disparition de colonies (19,5%). La région lémanique (GE, VD, VS) se situe dans la moyenne nationale (15,1%).

A noter que la situation s'est améliorée dans toutes les régions. L'enquête a été réalisée en ligne auprès de 1451 apiculteurs, totalisant 1711 ruchers et 23'765 colonies.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture