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Comment se faire connaître en tant qu’entreprise avec un petit budget ?

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Comment faire connaître son entreprise
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Pour les petites et moyennes entreprises, l’un de leurs plus grands défis est de se positionner sur le marché. En effet, elles disposent de très peu de moyens comparativement aux multinationales et aux sociétés de renom. Elles ne peuvent pas se permettre des dépenses élevées. Si vous êtes responsable d’une PME, nous partageons ici des astuces pour promouvoir votre boîte.

Utiliser des stickers

Faire connaître son entreprise

Très discrets et très petits de taille, les stickers constituent un puissant outil marketing. Contrairement aux kakémonos et aux grands panneaux publicitaires, ils sont moins coûteux. Même les startups et les entreprises avec des chiffres d’affaires modestes peuvent opter pour cette solution.

En étiquetant vos produits ou votre sac d’emballage avec un sticker, vous faites voyager votre marque. Partout où le client ira avec vos articles, votre autocollant attirera les prospects curieux. Les stickers peuvent également vous aider pour l’annonce de vos promotions. Il vous suffira de choisir une couleur qui frappera à l’œil.

Pour une communication réussie, pensez à faire concevoir des stickers personnalisés conformes à l’identité de votre entreprise. Vous pouvez en commander, en petite ou grande quantité, auprès de Bizay. Cette marque produit des autocollants d’excellente qualité avec des impressions révélant les détails les plus subtils.

Collaborer avec d’autres entreprises

Aussi bizarre que cela puisse paraître, c’est bien vrai. Entretenir un partenariat avec des entreprises qui proposent des produits ou services complémentaires aux vôtres ne vous serait que bénéfique. À titre illustratif, si vous êtes une entreprise professionnelle de décoration ou de restauration, vous avez tout à gagner en collaborant avec une société spécialisée dans l’événementiel.

Ce faisant, vous apprivoisez la communauté de votre homologue. Votre clientèle s’accroît et votre chiffre d’affaires en sort plus important. De plus, vous pourrez observer de plus près leur business model et vous en inspirer pour renforcer le vôtre. Aussi, faut-il remarquer que les compétences de vos employés s’amélioreront au contact d’une équipe plus dynamique. Vous instaurez une saine concurrence qui boostera la qualité de vos services et de vos produits.

Participer à des événements et à des émissions télévisées et radio

Ce sont des solutions pratiques pour se faire connaître et avoir un bon branding quand bien même, vous ne disposez pas d’un budget consistant. En vous rendant à des salons locaux, vous accroissez la notoriété de votre entreprise. De nombreux participants découvriront votre marque pour la première fois et s’y intéresseront. C’est l’occasion d’aller au contact de votre cible. Aussi, vous pouvez y rencontrer vos concurrents et découvrir ce qui fait leur force.

Pour ce qui concerne les médias traditionnels, ils peuvent vous être utiles si votre objectif est de faire connaître votre entreprise. Négociez avec des journalistes une émission dont la thématique est liée à votre domaine d’expertise. Il suffira de mentionner l’un de vos produits/services pendant vos interventions pour attirer l’attention. Par ailleurs, il est à noter que faire passer votre société dans la catégorie « annonce » d’un journal n’est pas particulièrement coûteux.

Autant de manières de développer votre notoriété avec un petit budget ! Vous n’avez aucune excuse désormais !

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Economie

Partners Group soigne ses actionnaires malgré des gains en repli

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Partners Group a bouclé 2022 sur des résultats en baisse marquée, tant sur le plan opérationnel que net. (archives) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Partners Group a bouclé 2022 sur des résultats en baisse marquée, tant sur le plan opérationnel que net. Les actionnaires ne s'en verront pas moins proposer un dividende relevé.

Les recettes se sont effritées de 28,8% à 1,87 milliard de francs, essentiellement en raison de l'effondrement de plus de trois quarts des commissions liées à la performance, dont la part est retombée à 14% du total, explique le gestionnaire d'actifs zougois mardi dans un communiqué.

Les charges d'exploitation ont été réduites de près d'un quart (-24%) à 740 millions de francs, débouchant sur un résultat opérationnel (Ebit) de 1,13 milliard, en recul de 31,4%, pour une marge correspondante de 60,5%, en repli de 2,3 points de pourcentage (pp).

Le bénéfice net selon la norme comptable IFRS s'est contracté dans les mêmes proportions, dépassant de justesse le milliard de francs. Les actionnaires ne s'en verront pas moins proposer un dividende de 37 francs par action au titre de l'exercice écoulé, en hausse de 12% par rapport à celui de l'année précédente, ce qui correspond à un ratio de distribution de 95%.

Les chiffres publiés s'inscrivent dans le haut des projections du consensus AWP, à l'exception de l'Ebit, ressorti en dessous des estimations les plus conservatrices. La générosité du groupe envers ses actionnaires en revanche a clairement dépassé les attentes.

Dans la foulée de la publication de ses résultats, la direction de Partners Group a confirmé son objectif de 17 à 22 milliards de dollars de demande de la part de la clientèle pour 2023, ainsi qu'un retour de la part des commissions liées à la performance dans un couloir de 20 à 30% du total des recettes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Une communication insuffisante pour sauver Credit Suisse

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La communication a été insuffisante pour sauver Credit Suisse (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Une panique bancaire ne peut être arrêtée que par un coup d'éclat de la communication, estime un expert étudiant l'influence des facteurs psychologiques sur les places financières. Il critique la stratégie de communication dans la crise ayant emporté Credit Suisse.

Les autorités suisses ont communiqué la semaine dernière de manière "beaucoup trop spécifique", remarque le professeur d'économie à l'université de Bonn, Thorsten Hens, dans un entretien diffusé mardi par la Neue Zuercher Zeitung. L'aide sous forme de liquidités de la Banque nationale suisse n'a de loin pas suffi, ajoute-t-il.

"Un membre du Conseil fédéral ou le président de la Banque nationale suisse aurait dû se lever et dire: Credit Suisse est trop grand pour faire faillite. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour sauver [la banque]. Les dépôts sont en sécurité", souligne le professeur allemand

Une petite phrase aurait suffi, comme l'avait fait Mario Draghi en 2012, pendant la crise de l'euro, précise M. Hens. L'ancien président de la Banque centrale européenne "avait alors déclaré que la BCE ferait tout pour endiguer la crise, 'whatever it takes'. Cela a fonctionné. On parle aujourd'hui de 'l'effet Draghi'".

Réglementation pas à la hauteur

L'expert critique également la loi élaborée après la crise de 2008. "Lorsque le Conseil fédéral et le Parlement ont conçu la loi 'too big to fail', ils ont complètement sous-estimé le fait que les clients et les investisseurs ne seraient pas attentifs aux subtilités juridiques pendant une panique bancaire".

La nouvelle réglementation a bien prévu qu'en cas d'effondrement d'une banque, les autorités sauveraient les activités suisses d'importance systémique et liquideraient ou vendraient la partie internationale, "mais le client d'une banque qui a un compte en Suisse ne fait pas de telles différenciations subtiles. Il retire son argent", constate le professeur.

Selon lui, le Conseil fédéral et le Parlement n'ont pas compris la psychologie des marchés lors de la conception de la loi. "C'était une erreur de supposer que les marchés étaient rationnels en temps de crise".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Contrats informatiques pour la vaccination: manquements à l'OFSP

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Contrats informatiques liés à la vaccination contre le Covid: manquements constatés à l'OFSP. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

L'OFSP se fait épingler par le Contrôle fédéral des finances (CDF) pour des manquements en lien avec l'application informatique sur la vaccination contre le Covid-19. Défaut de transparence des contrats, factures inexpliquées, les négligences sont diverses.

Le CDF a constaté "des manquements et des faiblesses dans le processus d’acquisition et dans le contrôle des contrats et des factures" en lien avec le système de gestion des inscriptions à la vaccination et l'enregistrement des données, révèle l'audit publié lundi.

Parmi les reproches adressés à l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), le rapport pointe des factures inexpliquées à hauteur de 2 millions de francs, des conflits d'intérêts et un risque de dépendance vis-à-vis des fournisseurs des prestations, notamment.

L'ensemble des contrats, pour le système lui-même et pour sa maintenance et son développement, portait sur 11,15 millions de francs, auprès de deux fournisseurs.

L'OFSP se défend notamment en invoquant l'urgence qu'il y avait à agir pour suppléer les cantons.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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CS: manifestation à Zurich contre une forme d'"arnaque"

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Credit Suisse a distribué des milliards en bonus et en dividendes, critiquent les manifestants. (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Après la reprise de Credit Suisse par UBS, plusieurs centaines de personnes ont manifesté lundi soir sur la Paradeplatz à Zurich. Les Jeunes socialistes et d'autres organisations et partis avaient appelé à protester contre une forme d'"arnaque".

Il est scandaleux que la grande banque se soit enrichie pendant des années et que la collectivité doive maintenant payer. L'établissement a distribué des milliards en bonus et en dividendes, relèvent les organisateurs dans l'appel à manifester. Les responsables doivent rendre des comptes.

"Profits privés, pertes pour l'Etat", pouvait-on lire sur une banderole. Durant la manifestation, des slogans comme "brisons le pouvoir des banques et des multinationales!" ont été scandés.

La lutte contre la crise climatique, une prévoyance vieillesse sûre ou l'aide aux personnes en quête de protection sont soi-disant trop chères, mais pas le sauvetage des banques, ont souligné plusieurs orateurs. Ils ont appelé à la "décence" et à la "responsabilité". "Si le monde était une banque, vous l'auriez sauvé depuis longtemps", proclamait une banderole.

Outre les Jeunes socialistes, le mouvement de la grève du climat, les Jeunes Verts, le PS zurichois, les Verts zurichois, la Liste Alternative, le collectif de la grève féministe de Zurich et Unia ont également participé à cette manifestation, qui était autorisée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Rachat de Credit Suisse: 9500 à 12'000 postes sont menacés (BAK)

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Des milliers d'emplois pourraient disparaître à Zurich. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le rachat de Credit Suisse par UBS ne causera pas de graves dommages à l'économie suisse, estime lundi l'institut de recherches et conseils économiques BAK Economics. Néanmoins, jusqu'à 12'000 emplois pourraient disparaître.

Les deux banques comptent actuellement au total 37'000 emplois (équivalents plein temps/ETP) en Suisse. A moyen terme, le démantèlement du réseau de succursales et d'autres mesures de rationalisation consécutifs au rachat "entraîneront probablement la perte de 9500 à 12'000 ETP", ont calculé les experts.

Zurich sera le canton le plus touché: le potentiel de suppressions d'emplois est évalué entre 6500 et 8000 ETP. Soit 0,9% de l'ensemble des emplois cantonaux.

Malgré cela, il ne faut pas craindre une augmentation soudaine du taux de chômage, relève l'institut. Le processus de rationalisation d'UBS prendra plusieurs années. De plus, une partie des personnes concernées devrait être facilement employable sur le marché du travail, qui se caractérise par une pénurie de travailleurs qualifiés.

Selon BAK Economics, les effets négatifs de l'opération resteront largement limités au secteur bancaire. Le deal "réduit le risque d'une crise bancaire générale et permet de maintenir les services financiers sans restriction pour les clients de Credit Suisse".

BAK Economics maintient ses prévisions de croissance du PIB réel suisse pour 2023 à 0,7% et à 1,6% pour 2024.

Les sorties de fonds de la part de clients à l'étranger devraient désormais cesser, prévoit encore l'institut. En revanche, la perte de valeur ajoutée subie par la place financière suisse "risque d'être permanente". S'y ajoutent les incertitudes quant à l'éventuel impact sur le développement des activités internationales de gestion de fortune des banques suisses.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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