C’est vrai, le sujet parait simple, mais je vais vous parler de cet espace intriguant. Car qui, parmi les auditeurs et les novices de la radio comme moi peuvent se vanter de savoir à quoi ressemble vraiment un studio ?
Depuis quelques années, les émissions sont filmées et on peut donc mettre des visages sur les voix qui nous accompagnent tous les jours, et sur le lieu en question.
Mais le studio, c’est un peu plus que ça. Alors à quoi ça ressemble ? Et bien la bonne réponse, c’est que ça dépend, même si on y retrouve souvent les même caractéristiques: murs recouverts de plaques d’insonorisation, micros, tables de mixage, casques... Et donc caméras!
Ici, les studios ont chacun leur fonction et une sorte d’atmosphère personnelle.
Il y a bien sûr celui dans lequel le direct de Radio Lac se tient chaque jour, avec des néons bleus au plafond, une grande table centrale, ordinateurs et tables de mixage. Toujours connecté à l’actualité, un écran diffuse les dernières nouvelles, et l’image de la radio est toujours présente sur les écrans derrière les invités. Benjamin, qui anime l'antenne de 16h à 19h, me montre les principales fonctions, les sons pré-enregistrés, et c'est un peu comme prendre un cours de mandarin.
Studio d'enregistrement
Accueil des invités
Ce studio, j’ai eu l’occasion d’y entrer pour enregistrer les interventions de scientifiques du CERN, en vue de préparer les Open Days. Dans ce cas, les invités sont enregistrés et filmés par John et Alex, réalisateurs, et même s’ils ont visiblement un certain trac à l’idée d’être passé à la radio, ils prennent vite leur aise une fois au micro.
Je découvre aussi un studio dans lequel se passent les interviews par téléphone, et la plupart des enregistrements d’invités. Un petit studio de montage de son, aux murs en reliefs de mousse isolante et un grand studio pour One FM, radio du groupe Média One dont fait aussi partie Radio Lac. Les locaux sont vastes et parfois une porte ouverte révèle encore une nouvelle surprise.
Pour moi, le studio représente l’antre des journalistes, un endroit à la fois intimiste et très convivial, unique et universel, d’une simplicité biblique et ultra technique. Un endroit où se sont succédés de nombreux journalistes et personnalités, c'est assez impressionnant de ressentir l’écho des histoires et des expériences.
J’ai hâte de commencer à travailler dans ces espaces, apprendre à monter les sons et utiliser les tables d’enregistrement, capturer des témoignages. Cette nouvelle semaine m’a déjà permis de rentrer un peu plus dans le concret de Radio Lac.
Le Grand Conseil vaudois a été mardi le théâtre de nouvelles discussions sur la régulation des cormorans sur le lac de Neuchâtel. Un député a défendu une technique de stérilisation des oeufs, mais sans succès.
L'UDC José Durussel a milité pour de l'utilisation de drones pour repérer les nids de cormorans. Il s'agirait ensuite de déposer "une huile végétale" sur les oeufs pour qu'ils n'arrivent pas à maturité et n'éclosent pas, a-t-il expliqué.
Alors que les tirs effectués par les pêcheurs sont, selon lui, "totalement inefficaces voire dangereux", la stérilisation des oeufs permettrait de réguler les cormorans de manière "douce et efficace".
Le "voeu" de José Durussel n'a pas été suivi par la commission chargée d'étudier un rapport sur l'économie de la pêche, et il n'a pas rencontré davantage de succès mardi en plénum.
Ethiquement "inappropriée"
Le Vert Alberto Mocchi a relevé que si le cormoran représentait effectivement "une concurrence" pour une certaine pêche, la diminution du nombre de corégones (ou féra) n'était pas uniquement due à la présence de cet oiseau.
Son collègue de parti Théophile Schenker a ajouté que le succès d'une stérilisation des oeufs n'était "pas garanti", et même que cette mesure était "inappropriée sur un plan éthique" selon l'Office fédéral de l'environnement. Il a aussi mentionné la difficulté d'accès des nids.
Pour le conseiller d'Etat écologiste Vassilis Venizelos, la question des cormorans est "importante", mais elle n'est "qu'une partie du problème". Il s'est dit ouvert à "explorer toutes les pistes" pour aider les pêcheurs.
Il a toutefois affirmé qu'il n'allait pas demander à son Département de "mettre tout en oeuvre", comme le stipulait le voeu de José Durussel, pour limiter la population de cormorans. Le ministre de l'environnement a aussi annoncé des "assises de la pêche" en juin, où il sera notamment question de la régulation des cormorans.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le Conseil législatif, parlement local de Hong Hong, a voté à l'unanimité mardi une nouvelle loi sur la sécurité nationale. Ce texte prévoit la prison à perpétuité pour des infractions telles que la trahison et l'insurrection.
"Aujourd'hui est un moment historique pour Hong Kong", a déclaré le dirigeant du territoire, John Lee. La nouvelle loi entrera en vigueur le 23 mars.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Les Etats-Unis "ne laisseront pas tomber l'Ukraine", a promis mardi le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin. Il s'exprimait à l'ouverture d'une réunion du groupe de contact des alliés de l'Ukraine, chargé de coordonner le soutien militaire au pays.
"Nous sommes déterminés à fournir à l'Ukraine toutes les ressources dont elle a besoin pour résister à l'agression russe", a déclaré M. Austin, devant des journalistes sur la base aérienne américaine de Ramstein en Allemagne.
En raison des réticences d'élus républicains soutenant Donald Trump, une aide américaine d'un montant de plus de 60 milliards d'euros est toujours bloquée au Congrès. Dans ce contexte, la Maison Blanche a prévenu qu'une enveloppe de 300 millions de dollars pour l'Ukraine annoncée la semaine passée ne suffirait que pour quelques semaines.
Cette enveloppe de 300 millions n'a été possible que grâce à des économies réalisées sur des achats récents du Pentagone, selon le secrétaire américain à la défense.
M. Austin a également estimé qu'"au moins 315'000 soldats russes avaient été tués ou blessés" depuis que la Russie a envahi l'Ukraine en février 2022. Un chiffre qui avait déjà été mentionné à la fin de l'année dernière.
Moscou a également "gaspillé jusqu'à 211 milliards de dollars pour équiper, déployer, entretenir et soutenir son agression impériale contre l'Ukraine", a-t-il affirmé.
Washington reste de loin le premier donateur d'aide militaire à Kiev. Il s'est engagé à verser des dizaines de milliards de dollars depuis le début de l'offensive russe en février 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
La première Table ronde vaudoise sur le logement a réuni lundi à Lausanne de nombreux acteurs du domaine. La rencontre a permis l'ouverture d'un dialogue durable. Des premières pistes de réflexion ont été dégagées en vue de l'élaboration d'un plan d'action de l'Etat visant à sortir le canton de la situation de pénurie d'ici la fin de la décennie.
Vaud connaît depuis plusieurs années une situation tendue sur le front du logement, avec un taux de vacance inférieur à 1,5% (1,14% en moyenne sur la période 2021-2023), rappelle le canton mardi dans un communiqué. Pour la conseillère d'Etat Christelle Luisier Brodard, inverser la situation passe par des solutions nourries d'un dialogue constructif entre les acteurs institutionnels, associatifs et économiques.
Echanges "très riches"
La première table ronde du logement a ainsi réuni à l'initiative du Département des institutions, du territoire et du sport (DITS) faîtières de communes, entrepreneurs, urbanistes, architectes, développeurs, maîtres d'ouvrage ou encore propriétaires et locataires. Ces" échanges très riches" entre l'Etat et les participants vont s'intensifier au cours des mois prochains.
L'objectif, annoncé par la cheffe du DITS, est l'établissement d'un plan d'action "logement". Son déploiement devra permettre au canton de sortir de la situation de pénurie à l'horizon 2028-2030.
"Le principe que nous lançons s'inscrit dans la continuité du plan d'action fédéral lancé en février et qui distingue les niveaux de compétences fédérale, intercantonale et cantonale. A l'échelle vaudoise, nous partageons tous une responsabilité vis-à-vis de la population de notre canton qui doit pouvoir se loger convenablement, selon ses aspirations et ses ressources", souligne la ministre, citée dans le communiqué.
Oppositions dans les communes
Revenant sur les causes du manque de logements, le canton cite le contexte de forte croissance démographique, une production d'appartements insuffisante et qui ralentit, une disponibilité foncière déficiente ou encore la raréfaction des matériaux et de la main-d'½uvre dans la construction.
Un autre phénomène récent freine également le rythme de création de logements: l'opposition de plus en plus marquée aux projets de nouveaux quartiers portés par les communes et qui nécessitent plusieurs années de procédure. Nombre de projets ont ainsi été refusés dans les urnes vaudoises ces dernières années, cela alors même que le cadre légal fédéral (LAT) exige une densification vers l'intérieur du milieu bâti.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le géant pharmaceutique britannique AstraZeneca a annoncé mardi le rachat du laboratoire Fusion, spécialisé dans les produits radiopharmaceutiques contre le cancer, pour un montant pouvant aller jusqu'à 2,4 milliards de dollars (2,1 milliards de francs).
AstraZeneca a "passé un accord définitif pour acquérir Fusion Pharmaceuticals, une société biopharmaceutique qui met au point des radioconjugués de prochaine génération", explique le groupe dans un communiqué.
Les radioconjugués sont une nouvelle forme de traitement contre le cancer à base d'isotopes radiocatifs qui visent directement les cellules cancéreuses par l'intermédiaire de molécules comme les anticorps ou les peptides, explique AstraZeneca.
Cette approche réduit les dégâts sur les cellules saines comparé aux radiothérapies traditionnelles, précise le communiqué.
Il s'agit d'une "étape majeure" dans l'ambition d'AstraZeneca de "transformer le traitement du cancer et les résultats pour les patients en remplaçant les schémas thérapeutiques traditionnels comme la chimiothérapie et la radiothérapie par des traitements plus ciblés", a fait valoir le groupe dans un communiqué.
Le portefeuille de médicaments en développement de Fusion comprend le FPI-2265, "nouveau traitement potentiel" pour certaines formes de cancers de la prostate métastasés.
Fusion a un siège à Hamilton au Canada et un autre à Boston aux Etats-Unis. La société est cotée sur le Nasdaq à New York.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp