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Suisse Romande

Soirée d'information et journée portes ouvertes

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Les installations se situent à l'orée du parc de Vertou (Image d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BRUN)

La Station d'épuration (STEP) de la région morgienne se prépare à renouveler et étendre ses installations. Une journée d'information est prévue mercredi. Le public pourra également visiter les installations lors d'une journée portes ouvertes le samedi 17 juin.

Le projet, qui a été remodelé par rapport à sa première mouture, sera mis à l'enquête durant le courant de l'année. Des aménagements paysagers amélioreront l'intégration des installations qui se situent à proximité du parc de Vertou, explique jeudi l'association intercommunale Epuration Région Morgienne (ERM) dans un communiqué.

Les nouveaux équipements permettront de renforcer la qualité des eaux rejetées dans le Léman, d'optimiser la gestion énergétique de la STEP et d'augmenter sa capacité de traitement. Les travaux seront réalisés par étapes pour assurer la continuité du fonctionnement de la STEP. L'ERM promet qu'elle "mettra tout en oeuvre" pour limiter les impacts pour la population.

Deux séances d'information publiques se tiendront mercredi 31 mai à 18h00 et à 20h00. Pour fêter les 50 ans de la mise en service de la STEP, une journée portes ouvertes suivra le 17 juin, avec visites guidées, animations, foodtrucks et stands d'information.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Des supporters tessinois s'en prennent à leur équipe à Lausanne

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Les supporters de Bellinzone ont poussé les barrières métalliques qui entouraient le car de l'équipe tessinoise. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Un groupe de supporters de l'AC Bellinzone s'en sont pris samedi à Lausanne à leur équipe après une sévère défaite (6-0) du club tessinois face à Stade-Lausanne-Ouchy (SLO). La police a dû faire usage de spray au poivre. La ville de Lausanne a décidé de porter plainte.

Les échauffourées sont survenues vers 20h15, après le match de Challenge League. "Entre 15 et 30 supporters de Bellinzone sont venus au contact pour s'expliquer avec les joueurs", a expliqué dimanche à Keystone-ATS l'adjudant Patrick Pollen, répondant presse de la police lausannoise.

Le groupe a poussé puis renversé les barrières de sécurité métalliques qui délimitaient la zone réservée à l'équipe visiteuse. "La police s'est interposée et a dû faire usage de spray au poivre à plusieurs reprises", a relaté le porte-parole.

Dégradation

Durant l'altercation, une vitre du stade a été fissurée. La ville de Lausanne a décidé de porter plainte contre les dégâts au bâtiment, a annoncé Pierre-Antoine Hildbrand. Le municipal lausannois observe que "la situation se dégrade de manière insupportable, week-end après week-end".

Le responsable de la sécurité publique souhaite qu'on durcisse le ton à l'égard des supporters violents. "Il faut mettre en place les mesures prévues avec la Swiss Football League et tendre vers le billet nominatif", a-t-il expliqué. "C'est quand même hallucinant que des supporters agressent leur propre équipe".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Un festival autour de Sylvie Courvoisier à Lausanne et Pully

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Une balade passera au pied de l'arbre "Luce et Ombra" de Giuseppe Penone, dans le foyer du MCBA (Image prétexte). (© KEYSTONE/ADRIEN PERRITAZ)

Des musées de Plateforme 10 au théâtre de l'Octogone, un festival tous publics invite à découvrir l'univers protéiforme de Sylvie Courvoisier. Du 2 au 4 juin, la pianiste a convié à Lausanne et Pully ses amis musiciens de la scène expérimentale contemporaine.

Le rendez-vous inédit se décline en deux volets: un programme en journée, entièrement gratuit, sous forme de balades musicales dans les musées. Sylvie Courvoisier a conçu les parcours où se produiront ses amis musiciens. En soirée, elle donnera avec eux, dans différentes compositions, des concerts payants à l'Octogone de Pully.

Aventure audacieuse

"L'idée m'est venue il y a plus de trois ans", relate la pianiste, compositrice et improvisatrice qui vit depuis 25 ans à New York. Initialement, il s'agissait de faire un "cadeau" à sa ville natale, Lausanne, lieu de ses premières créations musicales.

"Comme tout projet ambitieux et unique, le festival a été complexe et long à monter. J'ai interprété cette difficulté comme un signe du destin, une invitation à poursuivre cette aventure audacieuse", raconte-t-elle à Keystone-ATS.

L'événement lui offre une "opportunité unique" de présenter ses projets musicaux actuels sur trois jours, à tous les publics et en partie gratuitement. Elle rêvait d'investir des lieux insolites, de proposer des solos dans des musées, proches des oeuvres afin de faire découvrir de façon inédite des artistes dans leur propre langage ou dans un répertoire de musique contemporaine, comme George Crumb ou Galina Oustvolskaïa.

Rouge, bleu, orange

Sylvie Courvoisier a orchestré les balades autour d'une palette de couleurs. La balade rouge, qui réunit quatre musiciens, dont le violoncelliste Christophe Croisé, "interroge la multiplicité des traditions qui composent nos musiques actuelles". La balade bleue explore la voix avec la soprano Sophie Negoïta et l'orange met l'expérimentation à l'honneur, entre sonorités acoustiques et électroniques avec les batteurs Julian Sartorius et Nasheet Waits.

Ces parcours durent environ 01h30 et regroupent trois performances musicales d'une vingtaine de minutes. De vendredi à dimanche, ils emmèneront le public dans les trois musées de Plateforme 10. Un piano trônera dans le MCBA, où joueront Guillaume Hersperger, Jansen Ryser et Cory Smythe, avec lequel Sylvie Courvoisier a tourné dans le monde entier. Les balades sont gratuites, mais le public doit s'inscrire.

Le soir, la pianiste, dont l'univers oscille entre jazz, musique contemporaine et improvisation, investira l'Octogone de Pully. Elle proposera ses propres compositions, en duo ou en trio avec d'autres musiciens, ainsi qu'une relecture du Sacre du printemps d'Igor Stravinsky, avec son complice pianiste Cory Smythe.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Le Musée romain de Lausanne-Vidy souffle ses 30 bougies

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Le Musée romain de Lausanne-Vidy fête cette année ses 30 ans d'existence (archives). (© Keystone/FABRICE COFFRINI)

Le Musée romain de Lausanne-Vidy fête ses 30 ans d'existence et les 60 ans de l'association Pro Lousonna. Pour célébrer ce double anniversaire, il propose un week-end de festivités les 3 et 4 juin prochain. Le public est invité à venir redécouvrir l'exposition permanente "Lousonna passé présent" dans une scénographie ravivée et entièrement remaniée.

Le programme de ces deux journées de fête est complété par des ateliers gratuits en continu et des visites guidées théâtralisées du musée et du parc archéologique. L'accès est libre et gratuit, indiquent les responsables de l'institution dans un communiqué.

Samedi et dimanche prochain de 13h00 à 18h00, le public pourra s'initier en continu aux secrets de la construction romaine, frapper sa propre monnaie antique, découvrir les senteurs du jardin romain ou se restaurer à l'ombre des pins autour du musée, détaillent-ils.

Le Musée romain de Lausanne-Vidy abrite les vestiges d'une riche demeure antique et présente, dans son exposition permanente, le mobilier archéologique découvert sur le site de Lousonna. En complément, le parc archéologique offre aux visiteurs et visiteuses une balade dans les vestiges du forum, l'antique centre-ville de Lausanne. Pro Lousonna, elle, est l'association des amis du musée et du passé romains de Lausanne-Vidy.

www.lausanne.ch/mrv-30-ans

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Economie

Il n'y aura pas de grand casino en ville de Lausanne

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Le grand casino aurait dû s'installer au Flon, en plein centre-ville (Image d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Des trois candidats en lice pour un nouveau grand casino dans la région lausannoise, il n'en reste plus que deux. La ville de Lausanne a mis son veto au projet prévu au centre-ville, ce qui suscite la colère et l'incompréhension de son promoteur, le groupe Partouche.

Après plusieurs rencontres avec le syndic, et même une présentation du dossier devant toute la municipalité, le couperet est tombé: c'est niet. La ville s'oppose au casino et l'a fait savoir fin mars à la Commission fédérale des maisons de jeu. Ce qui enterre le projet du Flon, car l'accord de la commune d'implantation est indispensable.

D'emblée, dès l'annonce du dépôt de candidature, le syndic Grégoire Junod avait fait part de ses réticences. Il craignait en substance des risques d'addiction pour la clientèle jeune et nocturne qui fréquente en nombre le quartier du Flon.

Frustré et en colère

Le refus final de la municipalité fait bondir le porteur de projet. "Je suis extrêmement frustré et en colère", a déclaré à Keystone-ATS Fabrice Paire, président du Directoire du groupe français Partouche.

Il ne comprend pas la position "dogmatique" de la ville. Surtout que, pour répondre à ces préoccupations, il avait développé le volet prévention du dossier et proposé de financer un projet inédit pour les jeunes en collaboration avec le joueur de tennis Stan Wawrinka.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La Palestinienne Emily Jacir investit l'Espace Projet du MCBA

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L'artiste palestinienne Emily Jacir présente au MCBA une ½uvre cinématographique créée spécialement pour l’Espace Projet (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'Espace Projet du Musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne (MCBA) accueille jusqu'au 27 août l'artiste palestinienne Emily Jacir. Elle y dévoile une oeuvre cinématographique, spécialement créée pour l'occasion, qui explore la politique migratoire de la Suisse et notamment le statut des saisonniers.

Intitulée "We Ate the Wind", l'oeuvre aborde "les questions de séparation familiale et de communautés fragmentées, d'espace public et privé, et, plus largement, les questions de reconnaissance et de réparation", indique le MCBA. Pour la composer, Emily Jacir s'est notamment servie d'images de danses communautaires traditionnelles du sud de l'Italie, en particulier la "pizzica", une danse liée à des rituels de guérison qu'elle pratique elle-même.

L'oeuvre fait aussi écho à l'histoire personnelle de l'artiste, qui a grandi comme fille de saisonniers et a été forcée de quitter sa famille à 14 ans. Aujourd'hui quinquagénaire, Emily Jacir vit entre Bethléem et Rome. Artiste engagée, elle est impliquée dans la formation en Palestine et s'investit dans la création d'espaces alternatifs de production de connaissances, poursuit le MCBA.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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