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L'importance de la préparation physique des tennismen expliquée

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Alors que le tournoi du Grand Chelem de Roland Garros s'apprête à vivre les quarts de finale et notamment un derby suisse entre Stan Wawrinka et Roger Federer, la question de la préparation physique des joueurs peut se poser.

Stan Wawrinka a par exemple était engagé durant près de 5h dans un duel épique face à Stefanos Tsitsipas et n'a qu'un seul jour de repos. Même cas pour Alexander Zverev engagé il y a 10 jours pour la finale du Geneva Open et en lice ce lundi face à Fabio Fognini avec une qualification pour les quarts acquise.

Le Club Sport s'est donc penché sur le physique de ses joueurs avec plusieurs questions. Comment les joueurs tiennent la distance ? Comment récupèrent-ils ?  Pour en parler, Sébastien Grossini, co-fondateur de SportQuest, salle de sport basée à Genève proposant des services de préparation physique a répondu à nos questions.

Sébastien GrossiniCo-fondateur de SportQuest

Sébastien Telley

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La fin de la traversée du désert pour l'arbitrage suisse

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Sando Schärer: il arbitrera des rencontres de l'Euro 2024 (© KEYSTONE/PHILIPP SCHMIDLI)

Après une longue traversée du désert de 14 ans, l’arbitrage suisse est à nouveau à l’honneur. Un trio emmené par Sandro Schärer officiera lors du prochain Euro en Allemagne.

Le Schwytzois sera entouré par deux linesmen, le Genevois Stéphane De Almeida et le Zurchois Bekim Zogaj. Pour sa part, l’Argovien Dedayi San a été retenu comme arbitre assistant vidéo (VAR).

Depuis la présence l'actuel chef des arbitres de la FIFA Massimo Busacca à la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud, aucun arbitre suisse n’avait dirigé une rencontre dans une phase finale. Agé de 35 ans, Sandro Schärer est arbitre FIFA depuis 2015 et est l’un des arbitres du groupe Elite de l’UEFA depuis 2022.

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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8 des 25 meilleurs joueurs du monde au Parc des Eaux-Vives

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Nicolas Jarry revient à Genève défendre son titre. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La neuvième édition du Geneva Open qui se déroulera du 18 au 25 mai prochain au Parc des Eaux-Vives promet. Elle réunira huit des vingt-cinq meilleurs joueurs du monde.

Le vainqueur de Barcelone Casper Ruud (ATP 6) emmène l'entry list de l'ATP qui comprend également Taylor Fritz (ATP 13) et Ben Shelton (ATP 15). Si les venues du Norvégien et des deux Américains avaient été déjà officialisées, les présences de Tommy Paul (ATP 16), de Sebastian Baez (ATP 19), du tenant du titre Nicolas Jarry (ATP 23), de Jan-Lennard Struff (ATP 24) et de Tallon Griekspoor (ATP 25) viennent enrichir le tableau de l'unique tournoi ATP 250 organisé en Suisse romande.

Déjà présent en 2017 avec un parcours qui l’avait mené jusqu’aux demi-finales, Kei Nishikori sera également de la partie. Le Japonais a bénéficié d’un classement protégé pour intégrer le tableau dont le cut est fixé au 51e rang. Il convient de préciser que la liste d’attendre comprend deux grands noms avec Dominic Thiem, le vainqueur de l’US Open 2020, et Matteo Berrettini, finaliste à Wimbledon en 2021.

Entry list du Gonet Geneva Open 2024 : 1. Casper Ruud (NOR/ATP 6).

2. Taylor Fritz (USA/ATP 13). 3. Ben Shelton (USA/ATP 15)4. Tommy Paul (USA/ATP 16). 5. Sebastian Baez (ARG/ATP 19). 6. Nicolas Jarry (CHI/ATP 23). 7. Jan-Lennard Struff (GER/ATP 24). 8. Tallon Griekspoor (NED/25). 9. Jiri Lehecka (CZE/ATP 31). 10. Jordan Thompson (AUS/33). 11. Fabian Maroszan (HUN/ATP 37). 12. Jack Draper (GBR/ATP 43). 13. Christopher Eubanks (USA/44). 14. Facundo Diaz Acosta (ARG/ATP 47). 15. Asian Karatsev (RUS/ATP 48). 16. Kei Nishikori (JPN/48). 17. Thomas Machac (CZE/ATP 50). 18. Marcos Giron (USA/ATP 51).

Quatre joueurs issus des qualifications, trois autres repêchés au titre de "special exempt" et enfin trois au bénéfice d’une wild card complèteront le tableau principal.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Un plateau relevé et des surprises de dernière minute

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Vainqueur sortant, Adam yates sera l'un des hommes à battre sur le Tour de Romandie (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La 77e édition du Tour de Romandie prend son départ mardi à l'occasion d'un prologue à Payerne.

Malgré l'absence des plus grandes stars du peloton, un plateau relevé traversera les routes romandes jusqu'à Vernier, avec quelques espoirs pour les Suisses.

Parmi les favoris, les noms de deux derniers vainqueurs de la boucle romande ressortent naturellement: Adam Yates (UAE) et Alexander Vlasov (Bora). Le Britannique s'était imposé l'an dernier en enlevant l'étape-reine à Thyon 2000. Quant à Vlasov, il avait fait la différence en 2022 lors du contre-la-montre final entre Aigle et Villars.

Les deux hommes seront bien accompagnés dans leur équipe respective. Du côté d'UAE, on note la présence de Juan Ayuso, récent vainqueur du Tour du Pays basque. Le jeune espagnol (21 ans) avait été le plus fort lors du contre-la-montre de la dernière édition à Châtel-Saint-Denis.

La formation Bora pourra compter sur deux autres grimpeurs chevronnés avec Jai Hindley et Sergio Higuita, qui devraient être aux avant-postes lors des deux arrivées en altitude (2e étape à Salvan et 4e étape à Leysin). Il n'est pas impossible d'imaginer l'Australien, vainqueur du Tour d'Italie en 2022, finalement endosser le costume de leader de cette équipe.

Ancien vainqueur du Tour de France

Malgré l'absence de Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard, un ancien vainqueur du Tour de France sera de la partie sur les routes romandes en la personne d'Egan Bernal. Plus de deux ans après son grave accident qui l'avait tenu éloigné du peloton durant sept mois, le Colombien d'Ineos fait à nouveau partie des outsiders et reste sur une 3e place au Tour de Catalogne, où il a terminé devant Vlasov.

La formation britannique fait aussi partie des prétendantes aux victoires d'étapes puisqu'elle compte dans ses rangs un certain Ethan Hayter, vainqueur de trois bouquets lors des deux dernières éditions du Tour de Romandie. Le pistard de formation, qui avait levé les bras l'an dernier à La Chaux-de-Fonds, sera à surveiller lors du prologue à Payerne ainsi qu'à l'arrivée de la 1e étape à Fribourg.

Ce plateau très relevé s'est encore enrichi dimanche avec l'annonce de la participation de Julian Alaphilippe (Soudal). Le double champion du monde sur route (2020 et 2021) fera son retour sur les routes romandes neuf ans après son unique participation en 2015 pour préparer au mieux le Giro. Ce n'est pas le seul nom ronflant à avoir été annoncé à la dernière minute, puisque Richard Carapaz (EF), Kasper Asgreen (Soudal), Simon Yates (Jayco) et Guillaume Martin (Cofidis) ont également rejoint la liste de départ.

Voisard, Reichenbach ou Christen?

Côté suisse, les meilleures chances de voir un coureur succéder à Stefan Küng, dernier vainqueur d'étape sur la boucle romande en 2019, proviennent sans doute de l'équipe Tudor. Avec Sébastien Reichenbach et Yannis Voisard, la formation de Fabian Cancellara possède deux hommes qui auront à coeur de briller à domicile.

A moins que la surprise ne provienne du jeune argovien Jan Christen (19 ans) qui est en train d'exploser au sein de l'équipe UAE avec laquelle il a signé son premier succès chez les professionnels lors du Tour des Abruzzes début avril. Enfin, l'équipe alignée par Swiss Cycling et emmenée par l'ancien champion du monde junior de VTT Alexandre Balmer devrait quant à elle jouer les seconds rôles.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Les Zurich Lions visent un premier break

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Portieu du LHC, Connor Hughes devra encore sortir le grand jeu mardi (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

L'acte IV de la finale des play-off de National League se déroule ce soir à Malley, dès 20h.

Mené 2-1 dans la série, Lausanne devra imposer sa loi sur sa glace, comme les hommes de Geoff Ward l'avaient fait dans un match 2 remporté 4-2 face aux Zurich Lions.

Mais le LHC ne peut pas se permettre la moindre baisse de régime face au "Z", qui cherchera à signer le premier break dans cette finale. Il a pu le constater à nouveau samedi dans le troisième match, où les Lions zurichois ont profité d'un trou d'air de trois minutes des Vaudois pour inscrire deux buts et renverser la vapeur.

Lausanne devra entamer ce match avec la même intensité que celle affichée samedi par les Zurichois en début de partie. La gestion des temps faibles sera primordiale, tout comme celle des situations spéciales. Le LHC est ainsi resté "muet" en supériorité numérique samedi malgré deux opportunités, dont une alors qu'il menait encore 2-1 au début de la seconde période.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Antti Suomela: "A Lausanne, on gagne et on perd ensemble"

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Antti Suomela veut savourer chaque instant de cette finale, sa première chez les pros (© KEYSTONE/PostFinance/VALENTIN FLAURAUD)

Centre numéro un de Lausanne, Antii Suomela connaît une finale plutôt tranquille en termes de productivité.

Le Finlandais de 30 ans essaie d'aider l'équipe dans toutes les situations, alors que l'acte IV de la finale se tiendra mardi soir à Malley. "On gagne et on perd ensemble", rappelle-t-il.

Avec 9 points (4 buts) en 14 matches de play-off, Antti Suomela n'est plus le top scorer du LHC. Le Finlandais est le cinquième meilleur compteur de son organisation durant les séries derrière Lawrence Pilut (10 points), Jason Fuchs (10), Michael Raffl (9) et Jiri Sekac (9). Les deux attaquants étrangers ont le même nombre de points que leur coéquipier scandinave, mais ils ont inscrit davantage de buts.

Muet face à Zurich

Auteur d'un triplé lors du sixième match contre Davos en quarts de finale, Suomela est depuis rentré dans le rang en ce qui concerne la production offensive. Absent à l'occasion du premier match contre Fribourg, le numéro 11 des Lions vaudois en est à un assist en sept matches. Et même si l'on sait que tout se resserre en play-off, Suomela n'a pas inscrit le moindre point en trois rencontres face à Zurich qui mène 2-1 dans la série.

Ce manque de concrétisation peut inquiéter les supporters, mais pas Antti Suomela. Quand on lui demande si cela le dérange de devoir affronter différentes lignes que le match se dispute à domicile ou à Zurich, le Finlandais n'a pas le coeur qui s'emballe: "Oui, tu joues contre différents types de joueur, mais au final cela reste du hockey. Chaque joueur dans cette ligue sait jouer et chaque joueur dans cette ligue peut être dangereux. Peu importe qui tu affrontes, tu dois rester concentré."

La meilleure époque de l'année

A 30 ans, Antti Suomela vit la première finale de sa carrière professionnelle. Et le Finlandais profite du moment présent. "C'est la première fois que je suis dans une équipe qui dispute une finale et c'est un sentiment incroyable, expliquait-il à l'issue de l'entraînement de lundi. Je n'ai jamais ressenti ça avant, puisque je ne l'ai jamais vécu. C'est vraiment la meilleure époque de l'année. Il faut essayer de ne pas être trop nerveux et de rester relâché."

Relâché, mais concentré. Et les deux équipes arrivent assez bien à laisser très peu de place à l'adversaire et à faire le moins de fautes possible. "En finale, on sait que la moindre erreur peut avoir de lourdes conséquences, alors on cherche à éviter les pénalités stupides au maximum par exemple", analyse-t-il.

"Les parties sont tellement serrées, poursuit-il. Parfois tu te retrouves dans l'arrondi avec un joueur adverse, tu es derrière lui et il part d'un côté. Tu es peut-être en retard, alors tu dois faire attention de ne pas laisser traîner une canne vers ses patins et peut-être lui laisser un peu de marge. C'est bien sûr différent s'il pique vers le filet."

Grande confiance en soi

Ce qui frappe aussi avec cette équipe de Lausanne, c'est le sentiment que même après une défaite, les gars ne sont pas déprimés et qu'ils ont le sentiment que leur façon de jouer va leur permettre de franchir les obstacles. "On sait de quoi on est capable, chacun fait confiance à l'autre, raconte Suomela. On a joué du bon hockey toute la saison. Parfois tu perds en jouant bien et le but dans ce genre de situation, et je l'ai vécu au cours de ma carrière, c'est de ne pas monter trop haut ni de descendre trop bas."

A-t-il déjà fait partie d'une équipe avec un aussi haut niveau de confiance en elle? "C'est une très bonne question. En Amérique du nord, c'était différent. Les gars changeaient beaucoup en raison de la profondeur de l'effectif. Ici, on est ensemble depuis le début, on n'a pas trente joueurs qui peuvent arriver en cours de route. On gagne et on perd ensemble."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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