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International

Coronavirus: nombre de décès quotidien au plus bas en Chine

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La Chine a annoncé jeudi 29 nouveaux morts dans l'épidémie de coronavirus. Il s'agit du nombre le plus bas de décès quotidiens en près d'un mois, tandis que les cas de nouvelles contaminations ont légèrement augmenté.

Le nombre total de morts en Chine continentale (hors Hong Kong et Macao) s'élève à 2744 depuis le début de l'épidémie dans le pays en décembre, selon la Commission nationale de la santé.

Deuxième pays le plus touché par l'épidémie derrière la Chine, la Corée du Sud recensait jeudi 334 cas de nouveau coronavirus, selon les autorités sanitaires. Ce qui porte à 1595 le nombre de personnes contaminées dans le pays.

Aucun nouveau décès n'a été rapporté jeudi, a indiqué dans un communiqué le Centre coréen pour le contrôle des maladies. Le bilan de l'épidémie en Corée du Sud reste donc de 12 morts.

Les Etats-Unis et la Corée du Sud ont par ailleurs reporté jeudi des exercices militaires en raison de l'épidémie de coronavirus, a annoncé le Commandement des forces conjointes. Les deux pays avaient déjà largement réduit leurs exercices militaires pour faciliter les négociations sur le programme nucléaire de la Corée du Nord.

Le Fonds national suisse investi

Le Fonds national suisse (FNS) libère plusieurs millions de francs pour la recherche autour du coronavirus. Des chercheurs de toutes les disciplines peuvent s'annoncer. C'est la première fois que l'institution met à disposition des moyens pour une situation d'urgence.

Un appel à candidatures sera lancé le 6 mars, avec une échéance dans la deuxième quinzaine du mois, a annoncé le FNS sur Twitter mercredi soir. Les résultats doivent contribuer à une meilleure compréhension du virus ainsi qu'étudier la réponse clinique à apporter et l'impact sur les soins de santé dans un horizon temporel de deux ans.

L'appel à candidatures se base sur le programme de recherche de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), écrit le FNS. Il embrasse les priorités de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) et répond également à l'évaluation propre du Fonds national suisse.

Le FNS ne compte pas faire de cet appel une exception. Sur la base de l'expérience acquise dans le cas présent, il élaborera des critères spécifiques à différents types de situation d'urgence afin d'agir également à l'avenir, précise-t-il.

Entrée de pèlerins suspendue

L'Arabie saoudite a quant à elle suspendu "temporairement" l'entrée sur son territoire des pèlerins se rendant à La Mecque pour réaliser la Oumra et vistier la Mosquée du Prophète, a annoncé jeudi le ministère des Affaires étrangères. Le but étant "de prévenir l'arrivée du nouveau coronavirus dans le royaume et sa propagation".

La Oumra, qui attire chaque mois à La Mecque plusieurs dizaines de milliers de musulmans, est un pèlerinage qui peut être réalisé à n'importe quelle période de l'année. Le Hajj, en revanche, ne peut être effectué qu'à des dates précises du calendrier lunaire islamique (cette année, le Hajj doit avoir lieu entre fin juillet et début août).

L'Arabie saoudite a aussi suspendu l'entrée dans le pays des voyageurs munis d'un visa de tourisme et provenant de pays où sévit le nouveau coronavirus, selon des critères qui seront fixés par les autorités sanitaires. "Ces procédures sont temporaires", a ajouté le ministère.

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International

Leverkusen en demi-finale de l'Europa League

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La joie des joueurs de Leverkusen, qui joueront les demi-finales de l'Europa League (© KEYSTONE/AP/Kin Cheung)

Le Bayer Leverkusen est toujours invaincu en cette saison 2023/24.

Granit Xhaka et ses équipiers se sont qualifiés pour les demi-finales de l'Europa League en obtenant le nul 1-1 sur la pelouse de West Ham, après avoir gagné 2-0 à l'aller.

Sacré pour la première fois de son histoire en Bundesliga quatre jours plus tôt, Leverkusen en est donc désormais à 44 matches consécutifs sans défaite (38 succès, 6 nuls). Les hommes du coach Xabi Alonso ont pourtant concédé très vite l'ouverture du score jeudi à Londres, Antonio marquant dès la 13e minute.

Mais Leverkusen a ensuite parfaitement tenu le choc, assurant sa qualification grâce à une réussite de Frimpong à la 89e minute. Le Bayer est donc toujours en course pour un fabuleux triplé, lui qui affrontera le pensionnaire de 2e Bundesliga Kaiserslautern en finale de la Coupe d'Allemagne le 25 mai.

Son adversaire en demi-finale de l'Europa League sera l'AS Rome, solide vainqueur du derby italien face à l'AC Milan. La Rome, qui l'avait emporté 1-0 à l'aller en Lombardie, s'est imposée 2-1 jeudi soir dans la Ville éternelle. Noah Okafor est entré en jeu à la 69e du côté milanais, alors que le score était de 2-0.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Netflix dépasse encore les attentes de bénéfice trimestriel

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Netflix annonce un nouveau gain d'abonnés. (© KEYSTONE/AP/Richard Drew)

Netflix a annoncé jeudi gagner 9,3 millions d'abonnés supplémentaires au cours du premier trimestre 2024, portant son total à près de 270 millions, alors que le marché s'attendait à un ralentissement de la croissance du géant du streaming.

L'entreprise américaine a réalisé au premier trimestre 9,37 milliards de dollars de revenus et 2,3 milliards de bénéfice net, d'après son communiqué, des résultats également supérieurs à ses prévisions et à celles des analystes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Blinken tente de rallier les Européens face à Pékin au G7

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L'Ukraine, le Proche-Orient, la Chine, les sujets n'ont pas manqué jeudi à la réunion des ministres des affaires étrangères du G7 à Capri. (© KEYSTONE/EPA/CIRO FUSCO)

Au G7 des ministres des Affaires étrangères, réunis jeudi sur l'île italienne de Capri, les Américains se sont efforcés de rallier les Européens pour faire pression sur la Chine qui, selon Washington, fournit un soutien croissant à l'effort de guerre de la Russie.

Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a fait part de ses inquiétudes à ce sujet au cours d'une session de travail consacrée à l'invasion de l'Ukraine et au soutien à ce pays qui fait face depuis plus de deux ans aux troupes russes, a-t-on souligné de source diplomatique américaine.

Les Américains espèrent en particulier que les Etats européens fassent pression sur Pékin pour réduire son soutien militaire à la Russie, au moment où, de l'aveu même de Washington, les forces russes gagnent du terrain sur le sol ukrainien.

Outre les Etats-Unis, le G7 comprend le Canada, le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne, le Japon et l'Italie, qui en assure cette année la présidence.

La Chine "contribue à aider la Russie à livrer cette guerre d'une manière qui constitue une menace pour l'Ukraine mais, très franchement, aussi pour toute l'Europe", a déclaré à des journalistes un haut responsable américain sous le couvert de l'anonymat, faisant part d'"intenses discussions" jeudi à ce sujet.

Il a évoqué une "prise de conscience croissante" des Européens à cet égard et précisé que cette mise en garde devrait figurer dans le communiqué final du G7 vendredi.

Transfert de matériel

Les Etats-Unis disent constater depuis des mois le transfert de matériels de la Chine vers la Russie, dont Moscou se sert pour rebâtir son industrie de défense et cela se retrouve sur le champ de bataille en Ukraine.

Jeudi matin, le chef de la diplomatie américaine a insisté au côté de son homologue ukrainien Dmytro Kouleba sur l'"urgence" qu'il y a à accroître le soutien à l'Ukraine, encore cible la veille de frappes russes meurtrières (18 morts), ce qui passe par l'adoption par le Congrès américain d'une enveloppe budgétaire de 61 milliards de dollars, bloquée pendant des mois mais devant faire l'objet d'un vote samedi.

"Il s'agit de vie et de mort", a quant à lui plaidé le ministre ukrainien, pour lequel la fourniture à son pays de moyens de défense antiaérienne est au G7 la priorité numéro un.

Blinken en Chine

Washington a fixé une ligne rouge à la Chine - ne pas fournir directement d'armes à la Russie pour sa guerre en Ukraine - et n'a à ce jour pas eu la preuve du contraire.

Mais les Etats-Unis dénoncent de plus en plus fortement le soutien de Pékin à la Russie par des voies détournées et établissent à présent un lien direct avec la guerre en Ukraine, sur fond de rapprochement sino-russe.

Ce pressing américain intervient alors que M. Blinken doit prochainement se rendre en Chine, à une date qui n'a pas encore été officiellement annoncée.

En visite à Pékin mardi, le chancelier allemand Olaf Scholz a affirmé avoir demandé au président chinois Xi Jinping de faire pression pour que Moscou cesse sa "campagne insensée" en Ukraine.

Les Etats-Unis ont multiplié ces derniers temps les avertissements à Pékin et la question du soutien militaire à la Russie figurait par exemple au menu d'une récente conversation entre Joe Biden et son homologue chinois.

En guise d'illustration du soutien de Pékin au complexe militaro-industriel russe, Washington a cité des achats massifs par Moscou de composants électroniques, de machines-outils et d'explosifs chinois.

Par ailleurs, Washington accuse des "entités chinoises et russes de travailler à produire ensemble des drones" en Russie.

Dans le détail, d'après les renseignements à la disposition du gouvernement américain, sur les trois derniers mois de 2023, "plus de 70% des importations de machines-outils de la Russie provenaient de Chine", ce qui a selon eux permis aux Russes d'augmenter leur production de missiles balistiques.

La Chine livre aussi à la Russie, selon Washington, des moteurs de drones et des systèmes de propulsion pour missiles de croisière, ainsi que de la nitrocellulose, utilisée pour fabriquer des obus d'artillerie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'éventuelle aide américaine à l'Ukraine ne changera rien (Kremlin)

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Devant le G7 à Capri, le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg, a réitéré son appel à livrer à l'Ukraine ce dont elle a besoin pour assurer sa défense aérienne. (© KEYSTONE/AP/Gregorio Borgia)

Le Kremlin a assuré jeudi que l'aide des Etats-Unis à l'Ukraine, bloquée au Congrès depuis plusieurs mois et sur laquelle les élus américains doivent se prononcer samedi, ne changera "rien" à la situation sur le front, où l'armée russe est à l'offensive.

L'Ukraine réclame inlassablement à ses alliés occidentaux plus de munitions et de systèmes de défense antiaérienne, les forces russes pilonnant toujours quotidiennement ses villes ou ses infrastructures énergétiques.

Or la Chambre américaine des représentants doit voter samedi sur un texte prévoyant près de 61 milliards de dollars d'aide militaire et économique à l'Ukraine, ce qui pourrait permettre à ses soldats de reprendre leur souffle.

"Cela ne peut en aucun cas influer sur l'évolution de la situation sur les fronts", a commenté le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

"Cela ne pourra rien changer", a-t-il martelé devant la presse, affirmant que "tous les experts disent dorénavant que la situation sur le front est défavorable à la partie ukrainienne".

"Le plus rapidement possible"

L'heure est à l'optimisme à Moscou, plusieurs mois après l'échec de la contre-offensive de Kiev de l'été 2023 et à un moment où les troupes russes grignotent progressivement du terrain, notamment dans le Donbass, la cible prioritaire du Kremlin.

De son côté, épuisée par deux ans de combats, l'Ukraine est à la peine face à une armée russe supérieure en nombre de soldats, d'armements et de munitions.

Les forces ukrainiennes manquent notamment de systèmes de défense antiaérienne pour contrer les attaques russes de drones explosifs et de missiles, à l'instar de la triple frappe mercredi à Tcherniguiv, dans le nord, qui a fait 18 morts.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky déplore quasiment tous les jours le manque d'aide des Occidentaux, après plus de deux ans de conflit à haute intensité.

G7

Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg a à cet égard souligné jeudi en marge d'une réunion des ministres des Affaires étrangères des Etats du G7 dans le sud de l'Italie que l'Ukraine avait un "besoin urgent et important de défenses antiaériennes supplémentaires". "Nous aurions dû leur en donner davantage plus tôt", a-t-il ajouté

Mi-mars, le chef de l'Etat ukrainien avait jugé "d'importance critique" une décision rapide du Congrès américain sur le déblocage de l'aide à son pays, confronté simultanément à des difficultés pour recruter de nouveaux soldats.

"Nous avions besoin de cet argent hier, pas demain, pas aujourd'hui", a appuyé le premier ministre ukrainien Denys Chmygal dans un entretien avec la BBC.

Le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kouleba a quant à lui rencontré son homologue américain Antony Blinken, réclamant des systèmes de missiles sol-air Patriot "le plus rapidement possible" pour "sauver des vies et améliorer la situation sur le champ de bataille".

Le paquet d'aide a déjà été voté par le Sénat en majorité démocrate mais reste bloqué au Congrès, les représentants républicains, soutenant Donald Trump, faisant la sourde oreille à six mois de la présidentielle sur fond de désaccords sur la question migratoire.

Le président Joe Biden, qui pousse pour l'adoption de ce texte, s'est pour sa part à nouveau dit mercredi "très favorable" à cette enveloppe, évoquant dans les colonnes du Wall Street Journal "un moment charnière".

L'issue du vote n'en reste pas moins incertaine pour l'instant.

Restrictions d'électricité

Sur le terrain, la dynamique n'est pas à l'avantage de l'Ukraine, dont près de 20% du territoire est occupé par la Russie.

Deux personnes ont été tuées jeudi dans de nouveaux bombardements russes, selon les autorités locales.

Et les attaques russes contre les infrastructures énergétiques restent fréquentes malgré les tentatives de l'armée ukrainienne de protéger ces sites.

Face à cette situation, le ministère ukrainien de l'Energie a appelé jeudi la population et les entreprises à limiter leur consommation d'électricité le soir "pendant les heures de pointe" (de 19h00 à 22h00), relayant la demande du fournisseur d'électricité DTEK.

Le ministère a notamment expliqué cette décision par "l'augmentation de la charge sur le réseau électrique qui découle" de ces bombardements russes répétés.

En représailles, l'Ukraine vise régulièrement des raffineries et d'autres installations sur le sol russe dans le but de perturber la chaîne logistique d'approvisionnement des troupes engagées sur le front.

Jeudi, le renseignement militaire ukrainien (GUR) a revendiqué une frappe "réussie" la veille sur un aérodrome militaire russe en Crimée annexée, "détruisant ou endommageant gravement" des lanceurs de S-400.

Les autorités russes d'occupation dans la région orientale de Donetsk ont, de leur côté, accusé l'armée ukrainienne d'avoir tiré sur un hôpital à Gorlivka, faisant au moins huit blessés, dont un enfant.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Encore une jurée jette l'éponge au procès Trump

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Donald Trump au côté de ses avocats au tribunal jeudi durant la sélection du jury. (© KEYSTONE/AP/Brendan McDermid)

Une jurée qui jette l'éponge, un autre choisi puis finalement éliminé: le tribunal de New York, qui juge Donald Trump lors d'un procès historique, a repris jeudi le laborieux travail de sélection d'un jury impartial et prêt à résister aux pressions.

Le juge Juan Merchan s'est fixé comme objectif de parvenir à réunir ce jury, soit douze citoyens new-yorkais et six suppléants, avant la fin de la semaine, pour entrer dès lundi dans le vif des débats.

Mais à la mi-journée jeudi, le tribunal comptait deux jurés de moins, soit cinq au total. D'abord, une première jurée a fait part de ses craintes d'être identifiée, en disant avoir été reconnue par des proches, alors que le jury est censé rester anonyme pour éviter les pressions.

Un peu plus tard, le juge a "excusé" un autre membre du jury, dont les procureurs ont révélé avoir découvert après recherches qu'il n'avait peut-être pas dit toute la vérité en répondant au long questionnaire délivré à chaque juré potentiel.

Anonymat

Ces premiers accrocs posent notamment la question de la garantie de l'anonymat des jurés tout au long du procès, alors que Donald Trump s'est lamenté plusieurs fois d'être jugé à New York, bastion démocrate.

Le candidat républicain, qui dénonce une "persécution politique", a repris mercredi à son compte, sur le réseau Truth Social, les propos d'un animateur de Fox News, Jesse Watters, assurant sans preuve qu'"ils sont en train de choisir des activistes progressistes infiltrés qui mentent au juge pour faire partie du jury".

L'accusation et la défense ont la possibilité de récuser dix jurés chacun, sans fournir de justifications.

Le juge a d'ores et déjà interdit à Donald Trump de s'en prendre aux jurés sur les réseaux sociaux.

Après ces incidents, leur nombre est repassé de 7 à 5, sur 12 requis, sans compter les 6 suppléants nécessaires.

Premier ancien président de l'histoire des Etats-Unis à comparaître au pénal, Donald Trump est jugé dans une affaire de paiements dissimulés pour acheter le silence d'une ancienne star de films X, Stormy Daniels, à quelques jours du scrutin de 2016 qu'il avait remporté sur le fil face à la candidate démocrate Hillary Clinton.

Vie scrutée

Les jurés potentiels, citoyens anonymes plongés du jour au lendemain dans une affaire historique, voient leur vie scrutée.

Ils doivent répondre à un long questionnaire sur leurs professions, situation familiale, sources d'information, centres d'intérêt, et leur opinion sur Donald Trump, mais aussi à des interrogations encore plus détaillées de l'accusation ou de la défense, qui a traque tout signe de partialité possible à l'encontre du prévenu, notamment dans leurs publications sur les réseaux sociaux. Ce ballet se poursuit jeudi.

Plus de trois ans après avoir quitté la Maison Blanche dans le chaos, Donald Trump encourt en théorie une peine de prison. Cela ne l'empêcherait pas d'être candidat au scrutin présidentiel du 5 novembre, où il rêve d'une revanche sur Joe Biden, mais projetterait la campagne dans l'inconnu.

S'il était déclaré non coupable, ce serait en revanche un succès majeur pour le candidat républicain.

D'autant plus qu'il est parvenu à force de recours à différer ses trois autres procès au pénal, deux pour tentatives illicites d'inverser les résultats de l'élection de 2020, et un pour gestion supposément désinvolte de documents classifiés.

Dans le procès débuté lundi, Donald Trump est inculpé de falsifications de documents comptables de son entreprise, la Trump Organization, qui auraient eu pour but de cacher, sous couvert de "frais juridiques", le paiement de 130'000 dollars à Stormy Daniels par son avocat personnel de l'époque, Michael Cohen.

En échange, l'ex-star de films X avait accepté de taire une relation sexuelle avec le milliardaire en 2006. Donald Trump a toujours nié cette relation et sa défense assure que les paiements relevaient de la sphère privée.

Mais le procureur Alvin Bragg entend démontrer qu'il s'agit bien de manoeuvres frauduleuses pour cacher des informations aux électeurs quelques jours avant le vote.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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