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Environnement

1174 signatures pour sauver les arbres en ville de Genève

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Une pétition veut interdire la coupe d’arbres en Ville de Genève. Lancée par les verts et le Parti du travail, elle a récolté 1174 signatures et elle a été déposée ce lundi au Conseil municipal. Le texte réclame un moratoire. Dans l’intervalle seuls les arbres malades ou dangereux pourraient être abattus et les coupes devraient faire l’objet d’une information à la population en bonne et due forme. L’information fait particulièrement défaut sur les chiffres, selon Delphine Wuest, cheffe de groupe des verts au Conseil municipal de la Ville de Genève.

Delphine WuestCheffe du groupe des verts au Conseil municipal

La pétition réclame également que trois arbres soient replantés pour un arbre coupé. Selon l'âge de l'arbre, il faudra davantage d'individus pour remplacer l'effet climatiseur de ce dernier. Et les plantages ne sont pas toujours convaincants, selon Delphine Wuest.

Delphine WuestCheffe du groupe des verts au Conseil municipal

Ce mardi soir les verts devraient amener une surprise à la séance du Conseil municipal. Une motion du PS, des verts, du MCG et du Parti du travail concernant les arbres est actuellement en commission.

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Environnement

Mars trop doux, avec 2 degrés de plus que la normale

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Avec des températures largement supérieures à la moyenne depuis la mi-janvier, le développement de la végétation continue d'être en avance sur la moyenne à long terme. Ici le 26 mars à Zurich. (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

L'excédent de température en Suisse a été d'environ 2 degrés en mars, indique jeudi Meteonews. Egalement trop humide et nuageux, ce mois s'inscrit ainsi dans la lignée des précédents, qui ont été pour la plupart nettement trop doux.

La moyenne nationale de la température en mars devrait atteindre 3,2 degrés, soit 1,9 degré au-dessus de la norme 1991-2020, précise pour sa part MétéoSuisse. Cela devrait correspondre au 7e mois de mars le plus doux depuis le début des mesures en 1864. Selon Meteonews. Le dernier mois trop frais par rapport à la moyenne pluriannuelle de 1991 à 2020 a été avril 2023.

L'écart de température est un peu plus important au nord qu'au sud. C'est en Suisse orientale que l'excédent est le plus notable, avec parfois plus de 2,5 degrés. En montagne, le manteau neigeux s’est montré supérieur à la moyenne dans certaines régions.

Seulement quelques gelées isolées

Le mois de mars n'a apporté que quelques gelées isolées en plaine et dans les basses vallées alpines, poursuit Meteonews. A Bâle, Neuchâtel, Lausanne et Lugano, par exemple, le dernier jour de gel date toujours de janvier.

Avec des températures largement supérieures à la moyenne depuis la mi-janvier, le développement de la végétation continue d'être en avance sur la moyenne à long terme, et les premiers pommiers commenceront bientôt à fleurir, avec plus de trois semaines d'avance sur la normale.

Le gel causerait déjà de gros dégâts aux cultures fruitières, mais aucun n'est en vue pour le moment.

En général en Suisse, le mois de mars s’est déjà réchauffé de 2,8 degrés entre la période de référence préindustrielle 1871-1900 et aujourd’hui, indique MétéoSuisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Découverte inédite de cas chez des vaches laitières aux Etats-Unis

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Le virus a été découvert chez des vaches laitières américaines pour la première fois (image prétexte/archives). (© KEYSTONE/EPA EDMONTON SUN/Brendon Dlouhy)

Des vaches de fermes laitières des Etats américains du Texas et du Kansas ont été testées positives à une souche contagieuse de la grippe aviaire, ont déclaré mercredi les autorités agricoles texanes. Elles soulignent un "fait sans précédent".

C'est la première fois que l'influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) est détectée chez des vaches laitières aux Etats-Unis, selon un communiqué de presse du département de l'agriculture du Texas (TDA).

"La TDA et d'autres agences nationales et d'Etat travaillent sans relâche pour garantir la sécurité de notre approvisionnement alimentaire", a assuré Sid Miller, commissaire à l'agriculture du Texas, dans le communiqué. Le Texas fait partie des cinq plus grands Etats producteurs de lait aux Etats-Unis, selon les données du ministère américain de l'Agriculture.

"Bien que troublant, ce foyer ne devrait pas menacer l'approvisionnement commercial en produits laitiers de notre pays", a ajouté M. Miller. Les tests n'ont révélé aucune altération du virus susceptible de le rendre plus transmissible à l'homme et le risque pour le public "reste minime", précise le document.

"Des efforts supplémentaires pour poursuivre les enquêtes épidémiologiques sont en cours afin de garantir qu'une vision complète de la situation puisse être évaluée", selon la même source. La TDA a indiqué que des échantillons positifs ont été prélevés sur du lait non pasteurisé collecté dans deux exploitations laitières du Kansas et une du Texas, des analyses confirmant les résultats le 25 mars.

Elle a ajouté que l'influenza aviaire hautement pathogène n'avait été détectée chez aucun bovin de boucherie, mais a invité tous les agriculteurs à mettre en oeuvre "des mesures de biosécurité renforcées dans leurs fermes et leurs ranchs afin de protéger leurs troupeaux".

La TDA a fait savoir qu'elle travaillait avec l'agence américaine du médicament (FDA) et d'autres organismes pour évaluer les symptômes chez les vaches laitières, principalement âgées, du Texas, du Kansas et du Nouveau-Mexique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Consultation ouverte en vue d'une meilleure régulation du loup

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Le ministre de l'environnement Albert Rösti a annoncé en novembre dernier le tir préventif des loups (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Les loups doivent pouvoir être mieux régulés. Après avoir approuvé le tir préventif de ces canidés en novembre dernier, le Conseil fédéral a mis mercredi en consultation le reste des modifications prévues. Le délai cout jusqu'au 5 juillet.

La révision de la loi prévoit des interventions concernant des espèces protégées (castor, bouquetin) ainsi que la réorganisation de la protection des troupeaux. De même que la prévention et l'indemnisation des dommages causés par les castors aux infrastructures, l'aide financière pour la gestion des espèces à l’origine de conflits et la création de corridors faunistiques d’importance suprarégionale.

En outre, un soutien financier à la protection des biotopes dans les zones protégées nationales est inclus. Le développement du conseil aux cantons en ce qui concerne la gestion des espèces à l’origine de conflits est aussi prévu.

L'entrée en vigueur est fixée au 1er février 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Environ 18'500 visiteurs à Divinum à Morges

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Le vignoble bordelais était à nouveau à l'honneur cette année à Morges pour le salon des vins Divinum (photo symbolique). (© Keystone/EPA/CAROLINE BLUMBERG)

Divinum a connu une très bonne affluence du 20 au 25 mars à Morges (VD) avec 18'500 visiteurs contre un peu plus de 20'000 l'an dernier, son record. Quelque 140 domaines viticoles de tous horizons ont proposé des dégustations de plus de 1300 crus pour cette 7e édition du salon des vins.

"Divinum a clôturé cette 7e édition dans la bonne humeur et à la satisfaction générale des exposants, des organisateurs et du public", résument les organisateurs, "très satisfaits", dans un communiqué publié mardi. Le salon des vins retrouvera son public encore cette année pour la 2e édition à Aigle du 7 au 10 novembre et pour une 8e édition à Morges du 2 au 7 avril 2025, indiquent-ils.

Après les grands crus Sauternes & Barsac en 2023, le vignoble bordelais était à nouveau à l'honneur à Morges, mais cette année avec ses vins rouges. Dix-huit grands crus du Médoc, classés en 1855 dans le cadre de l'Exposition universelle de Paris, ont été présentés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Le cacao dépasse 10'000 dollars la tonne, un nouveau record

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L'envolée inlassable des prix du cacao s'explique par une combinaison de facteurs, notamment par le manque de cacao venant d'Afrique de l'Ouest. (archives) (© KEYSTONE/AP/SUNDAY ALAMBA)

A quelques jours de Pâques, le prix du cacao a atteint de nouveaux records, dépassant mardi les 10'000 dollars la tonne, avant de légèrement redescendre, propulsé par les pénuries d'approvisionnement en raison de mauvaises récoltes dans les pays producteurs.

Le contrat de cacao le plus échangé à New York pour livraison en mai s'échangeait vers 16H00 GMT (17H00 HEC) à 9767 dollars, après avoir déjà franchi la barre des 10'000 dollars (un peu plus de 9000 francs) la tonne en début de séance européenne.

"Une tonne de cacao coûte désormais plus cher qu'une tonne de cuivre", souligne Kathleen Brooks, analyste chez XBT.

Les prix du cacao ont enclenché leur hausse en 2023, poussés par les craintes de déficit de l'offre, mais ont accéléré leur envolée vertigineuse en janvier 2024.

La demande toujours forte cumulée à l'importante réduction de l'offre venant d'Afrique de l'Ouest, principale région productrice de cacao dans le monde, ont propulsé les prix à leurs plus hauts historiques dès 2023. Depuis, les cours ne cessent de battre records sur records.

Le contrat le plus échangé à New York a ainsi déjà vu son prix plus que doubler, s'envolant de 135% cette année.

A Londres également, le cacao a pris 144% depuis janvier, poussant jusqu'à un nouveau record historique mardi de 8.682 livres sterling la tonne.

Mauvaises récoltes

Cette envolée inlassable des prix s'explique par une combinaison de facteurs, notamment par le manque de cacao venant d'Afrique de l'Ouest.

La Côte d'Ivoire et le Ghana sont de loin les principaux producteurs mondiaux de fèves de cacao. A eux deux, ils ont fourni près de 60% de la production totale pour la récolte de 2022/23, selon les estimations de l'Organisation internationale du cacao (ICCO).

"L'année dernière, ces pays ont connu des conditions météorologiques difficiles, notamment une chaleur intense, qui a eu un impact négatif sur la production", explique Ole Hansen, analyste pour Saxobank.

A cela s'est ajouté le phénomène climatique El Niño, qui "a provoqué de fortes pluies en décembre, ce qui a endommagé les cultures et favorisé la propagation de la maladie des cabosses noires", affirme John Plassard, analyste chez Mirabaud.

Enfin, "l'escalade des coûts des pesticides et des engrais a imposé des contraintes financières aux agriculteurs, qui ont eu du mal à se procurer ces éléments essentiels à l'entretien des cultures", ajoute Ole Hansen.

Maladies et conditions météorologiques difficiles ont ainsi grandement réduit les rendements, mettant la chaîne d'approvisionnement à rude épreuve.

Et le chocolat?

S'il faut en général "entre 6 et 12 mois pour que de telles hausses de prix se reflètent dans les prix de détail des produits", Ole Hansen estime que "les consommateurs devraient s'attendre à une augmentation" du prix du chocolat.

"Le chocolat est le nouveau produit de luxe, (...) et nous nous attendons à ce que les prix des friandises sucrées augmentent en réponse à cette hausse massive des prix", abonde Kathleen Brooks.

Début mars déjà, le chocolatier suisse Lindt & Sprüngli avait averti que ses prix allaient de nouveau augmenter en 2024 et 2025, après avoir été relevés de 10,1% en moyenne en 2023.

Selon Susannah Streeter, de Hargreaves Lansdown, "les consommateurs ont déjà montré quelques signes d'une tendance à se tourner vers des alternatives moins chères", c'est-à-dire des produits chocolatés plus bas de gamme, ou simplement d'acheter moins en quantité.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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