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Actualité

L'été persiste selon le marronnier de la Treille

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Ce dimanche 1er septembre marquait le premier jour de l'automne météorologique. Mais la saison automnale a-t-elle vraiment débuté selon le traditionnel marronnier de la Treille ?

Un bourgeon pour annoncer le premier jour du printemps, alors pourquoi pas une jolie feuille brune pour fêter l'automne ? Pour savoir si la nouvelle saison s'était installée, nous sommes allés faire un tour du côté du marronnier officiel de Genève. Et surprise, seules quelques tâches cuivrées mais pas de parure automnale.

L'été est encore d'actualité

L'été joue les prolongations. D'autant plus que l'automne selon le calendrier, devrait débuter le 22 ou le 23 septembre. D'un point de vue météorologique la saison démarre plus tôt et correspond à des périodes de trois mois pleins. Septembre, octobre et novembre pour l’automne.

Le réveil du printemps

Depuis 1818, il est de tradition à Genève de déterminer le premier jour du printemps à partir de l'éclosion du premier bourgeon du marronnier officiel.
C'est le Sautier de la République, qui en observe la naissance sur la promenade de la Treille.

Le marronnier de la Treille

Ce n'est qu'une fois que la feuille est détachée du bourgeon que l'arrivée du printemps est annoncée. La date est ensuite inscrite sur une tablette recouverte d'un parchemin.
Depuis deux siècles, cette pratique est devenue une tradition vivante de la Suisse.

International

Otan prête à livrer plus de systèmes de défense antiaérienne à Kiev

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Un soldat ukrainien durant sa formation à l'usage du système Patriot. (© KEYSTONE/dpa/Sebastian Gollnow)

Les pays de l'Otan sont d'accord pour envoyer à l'Ukraine davantage de systèmes de défense antiaérienne, dont des batteries de Patriot, a annoncé vendredi le secrétaire général de l'Organisation Jens Stoltenberg.

"L'Otan a vérifié les capacités existantes au sein de l'Alliance et il y a des systèmes qui peuvent être rendus disponibles pour l'Ukraine. Je m'attends donc bientôt à de nouvelles annonces sur des systèmes de défense antiaérienne", a déclaré M. Stoltenberg, à l'issue d'un conseil entre les ministres de la Défense de l'Otan et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui s'est tenu en visioconférence.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Remco Evenepoel "dans les temps" pour le Tour de France

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Remco Evenepoel sera prêt pour son premier Tour de France (photo d'archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/MANUEL BRUQUE)

Deux semaines après sa lourde chute sur le Tour du Pays basque, Remco Evenepoel va "mieux de jour en jour". Le Belge se dit "dans les temps" pour être performant lors de son premier Tour de France.

"J'ai pas mal souffert, surtout la première semaine, mais je sens que la douleur s'estompe. J'espère reprendre la préparation sur et hors vélo la semaine prochaine", a-t-il déclaré dans une interview sur le site de son équipe Soudal Quick-Step. Le Belge se remet de ses fractures à la clavicule et l'omoplate droites subies lors d'une chute à plus de 80 km/h en compagnie de plusieurs coureurs.

Evenepoel, 24 ans, estime qu'il n'a "pas à se plaindre" comparé notamment au Danois Jonas Vingegaard, le double vainqueur du Tour, victime d'une fracture à la clavicule mais aussi de plusieurs côtes et d'un pneumothorax.

"Ca a été moins grave que pour d'autres et ça aurait pu être bien pire", a commenté le Belge qui s'était retrouvé à côté du Slovène Primoz Roglic, lui aussi impliqué dans la chute, à l'hôpital de Vitoria où les coureurs arrivaient "un par un".

"J'ai hâte que le Tour de France commence. Chaque entraînement depuis cet hiver est en fonction de cet objectif et des Jeux Olympiques derrière. Je suis chanceux au final de m'être blessé et pas dans quelques semaines", a ajouté Evenepoel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Adidas juge inexplicable l'argent promis par Nike pour l'Allemagne

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Le groupe allemand va ainsi perdre un partenaire lié par plus de 70 années d'histoire commune.(KEYSTONE/EPA/DANIEL KARMANN) (© KEYSTONE/EPA/DANIEL KARMANN)

Le patron de l'équipementier sportif Adidas a jugé vendredi "inexplicable" la somme promise, selon les médias, par son grand rival Nike pour lui rafler son contrat historique avec la sélection d'Allemagne de football, dans une interview à l'AFP.

Bjørn Gulden a aussi indiqué que la marque aux trois bandes ferait une offre à "un prix approprié" pour tenter de redevenir l'équipementier de la France, sous contrat avec Nike jusqu'en 2026, prévenant qu'il n'irait pas au-delà d'une certaine limite lors de l'appel d'offres que doit prochainement lancer la Fédération française (FFF).

Selon le quotidien allemand Handelsblatt, le géant américain s'est engagé à verser au moins 100 millions d'euros (96,9 millions de francs) par an à la fédération allemande de football à partir de 2027 et pendant huit ans, soit le double de ce que verse actuellement Adidas chaque année.

Le groupe allemand va ainsi perdre un partenaire lié par plus de 70 années d'histoire commune.

"Impact publicitaire"

"Le rapport qualité-prix est toujours quelque chose que l'on analyse et si les chiffres qui circulent sont corrects, alors cela nous semble inexplicable", a réagi auprès de l'AFP Bjørn Gulden.

Alors que de nombreuses fédérations nationales s'apprêtent à lancer des appels d'offres, l'entreprise allemande fera "des offres là où cela a du sens, à un prix qui nous convient et, au-delà, nous ne participerons pas", a prévenu le dirigeant norvégien, notamment en vue de l'équipe de France.

Plus lucratif selon lui que les partenariats avec des sélections, M. Gulden a salué "l'impact publicitaire" découlant de prestigieux clubs européens sponsorisés comme le Real Madrid et le Bayern Munich.

Si la marque aux trois bandes compte sur l'Euro-2024 de football (14 juin-14 juillet)pour dynamiser ses ventes, les JO de Paris (26 juillet-11 août) lui fourniront une vitrine inégalable, face à ses rivaux Nike et Puma, a-t-il avancé.

Adidas sera représenté "dans les sports majeurs comme mineurs avec de très beaux designs et des modèles de chaussures très innovants", a affirmé Bjørn Gulden, interviewé en marge de la présentation à Paris de tenues pour les Jeux.

Les JO seront "un élément important pour l'avenir de la marque", a estimé le patron d'Adidas, en poste depuis janvier 2023.

"Sportif romantique"

Son prédécesseur Kasper Rorsted avait concentré les activités du groupe bavarois sur les nations et les sports majeurs.

M. Gulden se définit, lui, comme "un sportif romantique" qui aimerait voir l'équipementier "revenir à un éventail de sports plus large", même si l'athlétisme a vocation à rester la discipline reine.

En Chine, le breakdance - qui fait son entrée aux JO à Paris - "est énorme, alors bien sûr nous sommes là" sur un marché porteur, a-t-il notamment pris pour exemple.

"Je suis sûr que dans quatre ans, nous aurons des produits pour tous les sports olympiques, à quelques exceptions près", a encore dit le dirigeant suédois.

Alors que la fusée Usain Bolt illuminait les pistes en tenue Puma quand M. Gulden était aux commandes de ce rival, Adidas comptera cet été sur le sprinteur américain Noah Lyles pour remporter l'or sur 100 m.

Les JO ne vont pas forcément pousser les gens à acheter des produits. "On ne se promène pas avec un maillot d'haltérophilie ou d'athlétisme", sourit-il. Mais "ce qui arrive souvent, c'est que l'intérêt pour le sport augmente".

L'année 2024 est bien partie pour Adidas, après une perte financière l'an dernier sur fond de rupture brutale de sa collaboration avec le rappeur américain Kanye West, dit Ye, auteur de propos jugés antisémites, et des stocks surabondants à écouler au rabais.

Le groupe allemand a obtenu des résultats supérieurs aux attentes au premier trimestre, portés notamment par la demande féminine en chaussures, selon M. Gulden.

Pour la suite, si les athlètes resteront au coeur des priorités, Adidas continuera "à travailler à 100% avec des personnalités des secteurs de la musique, de la mode et du divertissement", a-t-il indiqué, car il s'agit d'"une part importante de ce qui influence les consommateurs", selon lui.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Suisse

Temenos: Hindenburg Research défend son os

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Hindenburg Research indique envisager activement ses propres options d'action en justice. (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Hindenburg Research revient à la charge vendredi contre l'éditeur genevois de logiciels bancaires Temenos et les auteurs du contre-rapport sur les accusations de pratiques douteuses formulées mi-février par le vendeur à découvert new-yorkais.

"Le concept de 'rapport indépendant' constitue un artefact intéressant du marché. Un rapport, mandaté par une société, financé par une société et affublé ironiquement du qualificatif 'indépendant'" assène la société américaine qui se présente elle-même comme un éboueur des marchés.

Sur le fonds, celle-ci considère dans sa nouvelle prise de position que ledit rapport indépendant ne fait que confirmer tacitement ses allégations d'entorses à l'orthodoxie comptable, notamment la pratique de rétrodatation de contrats pour pouvoir les intégrer dans les comptes du trimestre précédent.

Revenant sur les allégations de "d'interprétation et de déformation délibérée de faits", ainsi que de "graves et nombreuses erreurs probablement volontaires" formulées par l'actionnaire de référence de Temenos à son encontre, Hindenburg indique envisager activement ses propres options d'action en justice.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Groupama cale au 2e semestre, plombé par la charge climatique

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L'assureur revendique 12 millions de sociétaires et clients ainsi que 31'000 collaborateurs à travers le monde. KEYSTONE/Jean-Christophe Bott) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Groupama a annoncé vendredi un bénéfice net de 510 millions d'euros en 2023, en vive hausse par rapport à 2022. La performance de l'assureur français a toutefois été freinée par la charge importante des sinistres climatiques en France au deuxième semestre.

"Les résultats de cette année apparaissent comme très satisfaisants", a commenté lors d'une conférence de presse le directeur général Thierry Martel, faisant cependant état d'un "énorme contraste" entre la première et la seconde moitié d'année. Le résultat net de l'assureur en France s'est élevé à 26 millions d'euros entre juillet et décembre contre 546 millions d'euros entre janvier et juin.

A l'échelle du groupe, le bénéfice net reste en forte progression par rapport à 2022, (13 millions d'euros à normes comptables comparables et à la suite de la prise en compte d'importantes provisions en réponse à l'inflation), pour un chiffre d'affaires de 17 milliards d'euros (+6,9%).

La charge des sinistres climatiques s'est révélée beaucoup plus forte fin 2023 du fait des inondations dans le nord de la France et surtout de la tempête Ciaran qui a touché la Bretagne où Groupama est très implanté, a précisé l'assureur. Net de réassurance, la charge des sinistres climatiques approche le milliard d'euros pour le groupe l'an dernier, contre 770 millions d'euros en 2022.

Bons résultats en Roumanie et en Hongrie

L'assureur a pu néanmoins s'appuyer sur ses filiales à l'international, notamment en Roumanie et en Hongrie. Il enregistre par ailleurs hors de France une perte de 110 millions d'euros liée à la cession de sa filiale en Turquie. Interrogé sur l'assurance des collectivités locales, marché sur lequel Groupama est présent, le dirigeant a souligné les points communs entre les deux rapports lancés récemment sur le sujet, l'un présenté le 28 mars par le Sénat et l'autre porté par le gouvernement, toujours en cours.

"Le seul point sur lequel il y aura probablement divergence (...) c'est la question de la couverture du risque des émeutes", a estimé M. Martel. "Les réassureurs (assureurs des assureurs, NDLR) se sont de facto complètement retirés" de ce risque, a-t-il poursuivi, la "seule solution" étant aujourd'hui "de renvoyer une grande partie du risque sur les collectivités elles-mêmes, s'il n'y a pas eu de mutualisation du risque organisée par la puissance publique".

La facture des émeutes de l'été dernier, déclenchées par la mort de Nahel, tué en juin par un policier, s'élève à près de 400 millions d'euros pour Groupama. Groupama a par ailleurs annoncé jeudi en fin de journée le départ du président de Groupama Assurance Mutuelles François Schmitt, moins d'un an après son élection par le conseil d'administration, remplacé par Laurent Poupart.

L'assureur revendique 12 millions de sociétaires et clients ainsi que 31'000 collaborateurs à travers le monde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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