Rejoignez-nous

International

Caracas annonce de nouveaux rapatriements à partir des Etats-Unis

Publié

,

le

Le gouvernement vénézuélien de Nicolas Maduro (archives) a convenu avec Donald Trump de rapatrier les migrants vénézuéliens. (© KEYSTONE/AP/Cristian Hernandez)

Le Venezuela a annoncé avoir convenu avec Washington de reprendre le rapatriement de migrants vénézuéliens des Etats-Unis, une semaine après l'expulsion du territoire américain vers une prison au Salvador de Vénézuéliens accusés d'appartenir à des gangs criminels.

"Dans le but d'assurer le retour de nos compatriotes en protégeant leurs droits humains, nous avons convenu avec le gouvernement américain de reprendre le rapatriement des migrants vénézuéliens avec un premier vol demain, dimanche 23 mars", peut-on lire dans un communiqué publié samedi et signé par le président de l'Assemblée nationale Jorge Rodriguez, chef des négociateurs avec les Américains.

"Migrer n'est pas un crime et nous n'aurons de cesse d'obtenir le retour de tous ceux qui le demandent et de sauver nos frères enlevés au Salvador", conclut le texte.

Un avion transportant 300 migrants, qui voulaient rallier les Etats-Unis mais étaient bloqués au Mexique, a atterri jeudi à Caracas tandis que les vols de migrants à partir des Etats-Unis étaient suspendus.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Un automobiliste fonce dans une foule à un festival à Vancouver

Publié

le

La voiture a foncé dans la foule lors d'un festival de rue philippin (archives). (© KEYSTONE/AP/DARRYL DYCK)

Un automobiliste a foncé dans la foule lors d'un festival de rue samedi à Vancouver, au Canada. "Plusieurs personnes ont été tuées et plusieurs autres blessées", a indiqué la police de Vancouver sur X, précisant que "le conducteur est en garde à vue".

L'incident s'est produit alors que des membres de la communauté philippine se rassemblaient pour célébrer la Journée Lapu-Lapu, a indiqué le maire de Vancouver, Ken Sim, sur X. Ce festival rend hommage à un meneur de la lutte anticoloniale du XVIe siècle aux Philippines.

"Nos pensées accompagnent toutes les personnes touchées et la communauté philippine de Vancouver en cette période incroyablement difficile", a écrit le maire. L'incident s'est produit peu après 20h00 locales samedi dans le quartier Sunset on Fraser de la ville.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Premier ministre du Groenland au Danemark pour parler coopération

Publié

le

Le nouveau Premier ministre du Groenland Jens-Frederik Nielsen entame dimanche sa première visite officielle au Danemark (archives). (© KEYSTONE/AP/EVGENIY MALOLETKA)

Le nouveau Premier ministre du Groenland, territoire autonome danois convoité par le président américain Donald Trump, entame dimanche sa première visite officielle au Danemark, centrée selon lui sur la coopération et sur "la situation géopolitique".

Ce sera la première visite officielle au Danemark de Jens-Frederik Nielsen, qui dirige un gouvernement de coalition après la victoire en mars aux élections législatives groenlandaises de son parti de centre-droit, Les Démocrates.

Cette visite de deux jours intervient après celle effectuée début avril dans le territoire de l'Arctique par la Première ministre danoise Mette Frederiksen. Au cours de cette visite, Mme Frederiksen avait déclaré, s'adressant aux Etats-Unis: "Vous ne pouvez pas annexer un autre pays."

"D'abord et avant tout, je reprendrai les discussions avec la Première ministre sur la situation géopolitique et la coopération," a déclaré cette semaine M. Nielsen dans un communiqué.

"Il est important, dans le contexte actuel, que nous fassions des plans pour notre coopération future", a-t-il souligné.

Les tensions sont fortes entre les Etats-Unis et le Danemark depuis que le président Trump a à plusieurs reprises déclaré qu'il voulait prendre le contrôle de l'île. Le président américain a invoqué des raisons de sécurité, refusant d'exclure le recours à la force pour s'emparer du territoire arctique.

Dans un communiqué annonçant la visite de M. Nielsen, le gouvernement danois a souligné cette semaine que la coopération entre le Groenland et le Danemark serait au centre des entretiens.

"Nous devons nous soutenir mutuellement dans la situation de politique étrangère difficile dans laquelle se trouvent actuellement le Groenland et le Royaume" du Danemark, a déclaré la Première ministre danoise.

"Ouverts aux critiques"

Le vice-président américain JD Vance a effectué le 28 mars une visite dans le territoire arctique que le Danemark comme le Groenland ont perçue comme une provocation. Au cours de cette visite à la base militaire américaine de Pituffik, M. Vance avait accusé le Danemark de n'avoir "pas fait du bon travail pour le peuple du Groenland", lui reprochant en particulier de ne pas avoir suffisamment investi dans l'immense île arctique.

Le ministre danois des Affaires étrangères, Lars Løkke Rasmussen, avait alors posté sur les réseaux sociaux: "Nous sommes ouverts aux critiques, mais permettez-moi d'être tout à fait honnête, nous n'apprécions pas le ton sur lequel elles sont formulées."

Jens-Frederik Nielsen avait pour sa part déclaré dans un message sur Facebook que "les Etats-Unis n'obtiendront pas le Groenland. Nous n'appartenons à personne d'autre. Nous décidons de notre propre avenir".

Au cours de sa visite à Copenhague, M. Nielsen rencontrera également le roi Frederik X et des membres du Parlement.

La Maison royale du Danemark a indiqué que le roi partirait lundi au Groenland où il doit rester jusqu'à jeudi.

Selon les sondages, une grande majorité des 57.000 habitants du Groenland souhaitent leur indépendance vis-à-vis du Danemark, mais ne veulent pas être annexés par les Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Après les funérailles du pape François, sa succession en question

Publié

le

Les fidèles peuvent dès dimanche matin se recueillir sur la tombe du pape François dans la basilique Sainte-Marie-Majeure de Rome (archives). (© KEYSTONE/EPA/VATICAN MEDIA HANDOUT)

Des fidèles pourront à partir de dimanche matin se recueillir sur la tombe du pape François, inhumé samedi dans la basilique Sainte-Marie-Majeure de Rome au terme de funérailles grandioses, ouvrant la voie aux tractations sur la succession du jésuite argentin.

François, décédé lundi de Pâques à 88 ans, a été enterré - comme sept papes avant lui - lors d'une cérémonie privée samedi dans la basilique Sainte-Marie-Majeure, une église dédiée à la Vierge où il se rendait pour prier avant et après chaque voyage à l'étranger, et où le public pourra se recueillir dans la matinée.

Une messe en son honneur, présidée par l'ex-numéro deux du Vatican, le cardinal Parolin, sera également célébrée à 10H30 place Saint-Pierre, avant que les cardinaux ne se recueillent sur sa tombe en marbre de Ligurie, située dans un bas-côté de Sainte-Marie-Majeure, et portant pour seule inscription "Franciscus", François en latin.

Huis clos

Depuis les funérailles en grande pompe de Jorge Bergoglio, premier pape sud-américain de l'Histoire, auxquelles plus de 400'000 personnes ont pris part, le Vatican observe une période de neuf jours de deuil. Au cours de ces "novemdiales", des célébrations auront lieu chaque jour à Saint-Pierre, jusqu'au 4 mai.

Les 135 cardinaux électeurs - ceux âgés de moins de 80 ans - pourraient se réunir en conclave dès le lendemain afin de choisir, à huis clos dans la chapelle Sixtine, le futur chef de l'Eglise catholique.

La date du conclave pourrait être annoncée lundi au terme d'une cinquième "congrégation générale" - une nouvelle réunion préparatoire des cardinaux, électeurs et non électeurs.

En vertu des règles vaticanes, le conclave devrait s'ouvrir entre le 15e et le 20e jour après le décès du pape, soit entre les 5 et 10 mai. Pour le cardinal luxembourgeois Jean-Claude Hollerich, il débutera "probablement" le 5 ou le 6 mai, tandis que le cardinal allemand Reinhard Marx a estimé qu'il devrait durer "quelques jours".

Ferveur populaire

"Attendons le résultat du conclave à venir, faisons confiance aux cardinaux qui sont inspirés par le Saint-Esprit", a estimé Ezequiel Castro, un Argentin de 16 ans venu assister aux funérailles de François.

Une marée humaine a déferlé pour les obsèques du "pape proche des gens, avec un coeur ouvert à tous", selon les mots du cardinal italien Giovanni Battista Re dans son homélie, que ce soit place Saint-Pierre ou dans les rues de Rome lors du passage du cortège funèbre vers la basilique Sainte-Marie-Majeure.

La cérémonie en mondovision, en présence d'un aréopage de chefs d'Etat, a été marquée par plusieurs salves d'applaudissements, à l'arrivée et au départ du cercueil, ainsi qu'aux passages de l'homélie rappelant l'oeuvre du pape argentin: il défendait une Eglise qui soit "une maison pour tous" et a multiplié "ses gestes et ses exhortations en faveur des réfugiés et des personnes déplacées", selon le cardinal Re.

Le cercueil a ensuite quitté le Vatican à bord d'une papamobile blanche découverte et au toit transparent pour être conduit dans le centre de la Ville éternelle, jusqu'à Sainte-Marie-Majeure.

Devant sa dernière demeure, François a été accueilli par des milliers de personnes. Parmi eux, une Argentine vivant en Italie, Romina Cacciatore, qui, comme beaucoup d'autres fidèles, n'a pas caché ses craintes concernant le successeur de François.

"Il était le pape du monde, du peuple, il a fini par rendre l'Eglise plus normale, plus humaine", a résumé cette traductrice de 48 ans qui a confié son "angoisse" pour l'après François.

Rupture ou continuité ?

"Nous sommes préoccupés, espérons que le pape poursuivra les fondations laissées par le pape François", a relevé Evelyn Villalta, une Guatémaltèque de 74 ans.

"C'était hyper important pour moi de venir car c'est un pape qui a marqué notre génération (...). Toutes les avancées qu'il a faites sur l'écologie, sur l'avenir des jeunes, l'homosexualité, il nous a redonné espoir en l'avenir, ça faisait du bien d'avoir une nouvelle voix plus moderne dans l'Eglise", a confié à l'AFP Marine De Parcevaux, étudiante lyonnaise de 21 ans.

Si François a laissé l'image d'un pape réformiste au franc-parler notoire, rien ne dit que son successeur s'inscrira dans la même ligne, préviennent des experts.

Quand bien même le jésuite argentin a nommé la majorité des cardinaux appelés à élire son successeur.

François, ancien archevêque de Buenos Aires qui défendait ardemment les laissés-pour-compte, était très différent de son prédécesseur Benoît XVI, un intellectuel allemand peu à l'aise en public. Une personnalité qui contrastait à son tour avec le charismatique, athlétique et immensément populaire pape polonais Jean-Paul II.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Le président de l'OLP Mahmoud Abbas se donne un possible successeur

Publié

le

Le président palestinien Mahmoud Abbas a lui-même créé le poste de vice-président de l'OLP, et donc de possible successeur, alors que la communauté internationale appelle de longue date l'organisation à se réformer (archives). (© KEYSTONE/EPA/ALAA BADARNEH)

Le président palestinien Mahmoud Abbas, 89 ans, a désigné samedi un proche conseiller, Hussein al-Cheikh, au poste nouvellement créé de vice-président de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), faisant de lui son possible successeur.

Ce poste a été formellement établi jeudi, à l'initiative du même Mahmoud Abbas, lors d'une convention à Ramallah, en Cisjordanie occupée, alors que la communauté internationale appelle de longue date l'OLP à se réformer.

M. Abbas préside également l'Autorité palestinienne que plusieurs pays arabes et occidentaux voudraient voir jouer un rôle dans la gouvernance de la bande de Gaza après la guerre qui y fait rage depuis octobre 2023.

"Le président palestinien Mahmoud Abbas a nommé Hussein al-Cheikh au poste de numéro deux au sein de la direction de l'Organisation de libération de la Palestine", a déclaré à l'AFP Wasel Abou Youssef, membre du Comité exécutif de l'OLP.

Hamas exclu

Fondée en 1964, l'OLP est habilitée à négocier et conclure des traités internationaux au nom du peuple palestinien et rassemble la majorité des mouvements politiques palestiniens mais pas le mouvement islamiste Hamas, qui s'est emparé du pouvoir à Gaza en 2007, ni son allié, le Jihad islamique.

Le Hamas a vivement critiqué l'initiative de M. Abbas. "Le peuple palestinien n'est pas un troupeau à qui on peut imposer des dirigeants", a-t-il déclaré dans un communiqué, soulignant que "la légitimité appartient au seul peuple palestinien".

Selon Aref Jaffal, directeur du centre Al-Marsad pour le suivi électoral, la création du poste de vice-président vise à "préparer la succession d'Abbas".

"Le système politique palestinien est déjà dans un état lamentable, donc je pense que toutes ces dispositions sont un prélude à la désignation d'un successeur à Abbas", a-t-il dit à l'AFP cette semaine.

Agé de 64 ans, Hussein al-Cheikh est un vétéran du mouvement Fatah de Mahmoud Abbas et considéré comme un proche de ce dernier.

Il a passé plus de dix ans dans les prisons israéliennes à la fin des années 1970 et au début des années 1980, période durant laquelle il a appris l'hébreu.

En 2022, il a été nommé secrétaire général du Comité exécutif de l'OLP. Il est aussi le chef de son département des négociations, portefeuille sensible illustrant sa proximité avec M. Abbas.

Ce dernier l'a également récemment nommé à la tête d'un comité supervisant les missions diplomatiques palestiniennes à l'étranger.

"Pression extérieure"

M. Abbas avait annoncé son intention de créer un poste de vice-président en mars lors d'un sommet au Caire sur l'avenir de la bande de Gaza après la guerre en cours entre Israël et le Hamas.

Cette innovation "n'est pas une mesure de réforme, mais plutôt une réponse à une pression extérieure", a commenté Hani al-Masri, chercheur au Centre palestinien de recherche politique et d'études stratégiques.

Selon lui, "ce qui est nécessaire", c'est un poste de vice-président au sein l'Autorité palestinienne elle-même, "à qui les pouvoirs pourraient être transférés".

Les bailleurs de fonds de l'Autorité palestinienne --qui exerce un contrôle relatif sur une partie des Territoires palestiniens-- réclament de longue date des réformes au sein de celle-ci et de l'OLP.

Le ministère saoudien des Affaires étrangères a salué samedi "ces mesures de réforme (qui) contribueront à renforcer les efforts politiques palestiniens" vers un Etat indépendant "avec les frontières de 1967 et Jérusalem-Est pour capitale".

M. Abbas préside l'OLP depuis 2004 et a été élu président de l'Autorité palestinienne début 2005, quelques mois après la mort du dirigeant historique des Palestiniens Yasser Arafat. Il n'a jamais quitté le poste, aucune nouvelle élection présidentielle n'ayant été organisée depuis.

Chef par intérim

A sa mort, le vice-président de l'OLP sera probablement appelé à devenir le chef par intérim de l'organisation ainsi que de l'Etat de Palestine, reconnu par près de 150 pays.

Plusieurs factions palestiniennes opposées à la création du poste de vice-président s'étaient retirées de la convention cette semaine, y voyant un signe d'ingérence étrangère.

Depuis l'attaque sanglante perpétrée par le Hamas, son rival, contre Israël le 7 octobre 2023, plusieurs bailleurs conditionnent plus fermement leur aide à l'Autorité palestinienne, aujourd'hui au bord de la faillite, à des réformes politiques et institutionnelles.

Mercredi, M. Abbas a expliqué que la création du poste permettrait de renforcer les institutions palestiniennes et aiderait à une plus large reconnaissance de l'Etat palestinien.

Certains observateurs y voient un stratagème visant à donner l'illusion d'une moindre concentration des pouvoirs à la tête de l'OLP, une autre demande de la communauté internationale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Des lycéens serbes manifestent à Novi Sad contre les cours en ligne

Publié

le

Lycéens et étudiants serbes ont poursuivi les protestations ce week-end: un groupe a entamé une course de 2000 kilomètres vers Bruxelles pour attirer l'attention de l'UE sur leur lutte contre la corruption (archives). (© KEYSTONE/AP/Darko Vojinovic)

Des milliers de personnes dirigées par des lycéens ont bloqué samedi les rues de Novi Sad, dans le nord de la Serbie, pour protester contre l'introduction de cours en ligne, dénonçant une tentative de contourner le blocage en cours des écoles.

Les lycéens de toute la Serbie ont été les premiers à rejoindre les manifestations étudiantes en bloquant leurs écoles dans tout le pays.

Ces manifestations ont débuté en novembre dernier après l'effondrement d'un toit en béton rénové à la gare de Novi Sad, qui a fait 16 morts. Les étudiants bloquent depuis les facultés et organisent de vastes rassemblements.

Les autorités ont condamné ces blocages et les enseignants qui ont soutenu les manifestations ou qui n'ont pas pu travailler en raison des blocages en ont subi les conséquences. Selon les syndicats, quelque 20'000 enseignants ne perçoivent plus de salaires.

Les directeurs d'école ont envoyé début avril des courriels pour annoncer que les cours seraient désormais dispensés en ligne.

"Les cours en ligne ne sont pas une solution et sont inacceptables", ont déclaré les lycéens avant le rassemblement de samedi.

Venus de toute la Serbie, des lycéens sont arrivés à Novi Sad à pied et à vélo vendredi soir pour participer au rassemblement qui a officiellement débuté samedi à 11H52, par 16 minutes de silence en hommage aux victimes de la tragédie de la gare de Novi Sad.

Chute du gouvernement

La manifestation a été ponctuée de discours d'enseignants et de lycéens ainsi que de concerts. "L'école doit changer, et nous devons vous écouter. Nous n'avons plus rien à vous apprendre", a lancé à la foule une enseignante, Tanja Notaros.

L'hymne national serbe a également été interprété par une chorale de lycéens.

L'indignation publique suscitée par le drame de la gare de Novi Sad, largement perçu comme le symbole d'une corruption profondément ancrée, a alimenté la plus grande vague de manifestations en Serbie depuis les années 1990.

Des rassemblements de protestation ont eu lieu presque quotidiennement, attirant des centaines de milliers de personnes dans les grandes villes.

La pression exercée sur le gouvernement a conduit à la démission du Premier ministre et à la chute du gouvernement.

En réponse, le président Aleksandar Vucic a alterné appels au dialogue et accusations selon lesquelles les étudiants tenteraient de mener une "révolution de couleur".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 1 heure

Un automobiliste fonce dans une foule à un festival à Vancouver

Un automobiliste a foncé dans la foule lors d'un festival de rue samedi à Vancouver, au Canada. "Plusieurs personnes ont...

InternationalIl y a 3 heures

Premier ministre du Groenland au Danemark pour parler coopération

Le nouveau Premier ministre du Groenland, territoire autonome danois convoité par le président américain Donald...

SuisseIl y a 5 heures

Hausse de près de 40% des incidents racistes signalés en 2024

En 2024, 1211 cas de discrimination raciale ont été recensés, soit 335 de plus qu'un...

InternationalIl y a 5 heures

Après les funérailles du pape François, sa succession en question

Des fidèles pourront à partir de dimanche matin se recueillir sur la tombe du pape...

InternationalIl y a 6 heures

Le président de l'OLP Mahmoud Abbas se donne un possible successeur

Le président palestinien Mahmoud Abbas, 89 ans, a désigné samedi un proche conseiller, Hussein al-Cheikh,...

InternationalIl y a 7 heures

Des lycéens serbes manifestent à Novi Sad contre les cours en ligne

Des milliers de personnes dirigées par des lycéens ont bloqué samedi les rues de Novi...

InternationalIl y a 9 heures

Trump veut des canaux de Panama et Suez gratuits pour ses navires

Donald Trump a demandé samedi à ce que le passage des navires américains sur les...

SportIl y a 10 heures

Le FC Bienne en finale de la Coupe de Suisse

Il aura fallu attendre la 100e édition de la Coupe de Suisse pour saluer la...

SportIl y a 13 heures

Union retarde l'échéance, trois qualifiés connus

Trois des quatre demi-finalistes des play-off de SBL messieurs sont connus après l'acte III des...

SuisseIl y a 14 heures

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto samedi soir. Pour empocher le gros...