Buteur pour son troisième match d'affilée, Damien Riat retrouve son flair au meilleur des moments. Mais le numéro 9 du LHC refuse les louanges.
"C'est vraiment l'équipe qui a fait la différence ce soir." Auteur du 3-2 décisif, Damien Riat ne tire pas la couverture à lui. Mais il accepte de raconter son but: "On est calme, on reste dans le milieu. On récupère le puck et je vois les Zurichois à la traîne. Robin (réd: Kovacs) fait un travail magnifique et me met un puck parfait sur la palette."
Le LHC s'est finalement imposé 4-2 et a infligé à Zurich sa première défaite des play-off. Les Vaudois ont aussi su battre Simon Hrubec à quatre reprises, un bel exploit au vu des séries réalisées par le gardien tchèque. "Il est gros dans le but, il prend beaucoup de place, analyse Damien Riat. Le truc c'est d'essayer de le faire bouger de gauche à droite, on l'a vu à la vidéo."
Au-delà de l'observation du gardien adverse, on a le sentiment que les Vaudois ont bien appris de leur défaite mardi. "Le premier match, on se regardait beaucoup entre les deux équipes, raconte le Genevois. Mais on a beaucoup analysé pour gommer nos erreurs. On sait qu'ils ont des joueurs techniques. Mais si on les contient, ils peuvent perdre des pucks et on ne leur a pas laissé grand-chose à l'intérieur."
Profiter des moments forts
Et les joueurs de Geoff Ward ont presque joué 60 minutes. "On en a joué 55, précise Riat. Parce que lors des cinq premières, ils sont venus forts."
Mais les Lions lausannois ont su marquer sur des moments forts et profiter du momentum en laissant peu de place à leurs adversaires en zone défensive. "On reste calme, on joue notre jeu et on saisit les opportunités quand elles se présentent", note encore l'ailier du LHC.
Le but va être maintenant de répéter l'opération samedi pour l'acte III après deux matches de très bonne facture. "Il n'y a pas de secret, on doit récupérer des pucks, bloquer des tirs et faire payer les petites erreurs", conclut-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Leschot
5 février 2018 à 20 h 40 min
Virer toute une équipe et dire que c’est la directrice qui était mobbée. Trop facile ! Alors pourquoi le président et le comité de la ligue ont refusé une médiation extérieure ? Comment peut-on aider des gens malades et aussi maltraiter ses collaborateurs ? Et ils vont engager des nouveaux qui se laisseront faire de peur d’être aussi virés. Non, non, ce n’est pas normal.
Marie
15 février 2018 à 21 h 09 min
Je suis choquée par ces nouvelles. Le personnel à la Médiane, rue Leschot, était toujours à l'écoute. Ils m'ont beaucoup soulagée pendant des périodes difficiles - le mésothéliome de mon compagnon. Les conférences sur divers sujets étaient très appréciées. Et aussi la compréhension du personnel que les ondes du Wi-Fi peut aggraver les cancers et autres maladies - ainsi, la Médiane a pris la décision de bannir le Wi-Fi des lieux, un des seuls endroits sans ondes à Genève !